Archive pour le 16 décembre, 2006

Saint Bernard – « La parole incarnée »

16 décembre, 2006

du site Famille Saint Charbel (libanese):

La Parole incarnée

O Vierge,

Réponds une parole et reçois la Parole :

Profère la tienne et conçois l’être divin…

O Vierge bienheureuse,

Ouvre ton cœur à la foi,

Tes lèvres à la louange,

Tes entrailles à ton Créateur…

Lève-toi,

Cours,

Ouvre ;

Lève-toi par la foi,

Cœurs par l’amour,

Ouvre par la louange.

Que la Parole qui,

Dès l’origine était auprès de Dieu,

Se fasse chair en ma chair selon ta parole.

Que s’accomplisse en moi non pas la parole proférée qui est

transitoire,

Mais cette Parole que j’ai conçue pour qu’elle demeure…

Qu’elle ne soit pas seulement perceptible à mes oreilles,

Mais visible à mes yeux,

Palpable à mes mains et que je puisse la porter dans mes bras.

Que ce soit la Parole incarnée et vivante…

Saint Bernard;

Saint Bernard -

photo du même site

DISCOURS DU PAPE BENOÎT XVI À L’OCCASION DE LA RENCONTRE AVEC SA BÉATITUDE ANTONIOS NAGUIB

16 décembre, 2006

du Zenith:

DISCOURS DU PAPE BENOÎT XVI
À L’OCCASION DE LA RENCONTRE
AVEC SA BÉATITUDE ANTONIOS NAGUIB
PATRIARCHE D’ALEXANDRIE DES COPTES CATHOLIQUES

Vendredi 15 décembre 2006

Béatitude,
Vénérés Frères dans l’Épiscopat,
Chers Fils et Filles de l’Église copte catholique,

Après votre élection au siège patriarcal d’Alexandrie des Coptes catholiques, Béatitude, votre première visite officielle au Successeur de Pierre est un moment de grâce pour l’Église. Je vous remercie des paroles que vous venez de m’adresser concernant votre Patriarcat et de votre prière pour mon ministère. Je me réjouis de vous rencontrer ici, entouré des Évêques de votre patriarcat, de prêtres et de fidèles, pour célébrer la «communio ecclesiastica» que j’ai eu la joie de vous accorder le 6 avril dernier. Je vous salue tous chaleureusement, vous qui êtes venus participer à ce grand moment de communion fraternelle et d’unité de l’Église copte catholique avec le Siège apostolique. Je profite de cette occasion, pour saluer Sa Béatitude le Cardinal Stéphanos II, Patriarche émérite, que je suis heureux d’accueillir, lui qui a consacré sa vie au service de Dieu et de l’Église copte catholique.

C’est dans la célébration de la Divine Liturgie que se manifeste le mieux la communion dans le Christ, qui fait de nous des frères. C’est là que s’exprime en plénitude la communion entre tous les catholiques, autour du Successeur de Pierre. Vous êtes, Béatitude, le Père et le Chef de l’Église copte catholique d’Alexandrie, siège prestigieux honoré au cours des cinq premiers siècles comme premier patriarcat après Rome. Votre communauté patriarcale est porteuse d’une riche tradition spirituelle, liturgique et théologique – la tradition alexandrine –, dont les trésors font partie du patrimoine de l’Église : elle a été bénéficiaire de la prédication de l’évangéliste saint Marc, interprète de l’Apôtre Pierre ; un lien particulier de fraternité lie ainsi votre Patriarcat au Siège de Pierre. Je veux donc vous assurer de ma prière et de mon soutien pour «la charge particulière» que le Concile œcuménique Vatican II confiait aux Églises orientales catholiques : «Faire progresser l’unité de tous les chrétiens, surtout des chrétiens orientaux» (Orientalium ecclesiarum, n. 24), notamment avec vos frères de l’Église copte orthodoxe. De même, vous avez un rôle important dans le dialogue interreligieux, pour développer la fraternité et l’estime entre chrétiens et musulmans, et entre tous les hommes.

Béatitude, en devenant Patriarche, vous avez conservé votre prénom, Antonios, qui rappelle le grand courant du monachisme, né en Égypte et que la tradition rattache à l’œuvre de saint Antoine, puis à celle de saint Pacôme. Grâce à l’apport occidental de saint Benoît, le monachisme est devenu un arbre géant qui a porté des fruits abondants et magnifiques dans le monde entier. En évoquant l’Église copte, comment ne pas penser aux écrivains, aux exégètes et aux philosophes, tels Clément d’Alexandrie et Origène, mais aussi aux grands patriarches, confesseurs et docteurs de l’Église, tels Athanase et Cyrille, dont les noms illustres scandent à travers les siècles la foi d’un peuple fervent. Vous avez sans cesse à suivre leurs traces, en développant la recherche théologique et spirituelle propre à votre tradition.

Dans le monde actuel, votre mission est d’une grande importance pour vos fidèles et pour tous les hommes, auxquels l’amour du Christ nous presse d’annoncer la Bonne Nouvelle. Je salue, en particulier, votre attention à l’éducation humaine, spirituelle, morale et intellectuelle de la jeunesse à travers un réseau scolaire et catéchétique de qualité, qui constitue un service de la société tout entière. Je souhaite vivement que cet engagement éducatif soit toujours davantage reconnu, afin que les valeurs fondamentales soient transmises, dans le souci de l’identité propre des écoles catholiques; les jeunes d’aujourd’hui pourront ainsi devenir des hommes et des femmes responsables dans leurs familles et dans la société, et désireux de construire une plus grande solidarité et une plus ardente fraternité entre toutes les composantes de la nation. Transmettez aux jeunes toute mon estime et toute mon affection, en leur rappelant que l’Église et la société tout entière ont besoin de leur enthousiasme et de leur espérance.

Je vous invite à intensifier la formation des prêtres et des nombreux jeunes qui souhaitent se consacrer au Seigneur. La vitalité des communautés chrétiennes dans le monde d’aujourd’hui réclame des pasteurs selon le cœur de Dieu, qui soient de vrais témoins du Verbe de Dieu et des guides pour aider les fidèles à enraciner, toujours plus profondément, leur vie et leur mission dans le Christ !

Je sais la place que tient la vie consacrée dans votre Église. Que la pauvreté, la chasteté et l’obéissance vécues selon les conseils évangéliques soient un témoignage et un appel à la sainteté pour le monde d’aujourd’hui ! Puissent les membres des Instituts consacrés poursuivre leurs missions, notamment auprès des jeunes et des personnes les plus délaissées dans la société.

Au terme de notre rencontre, je vous adresse, Béatitude, des vœux fraternels pour que 1′Esprit Saint vous éclaire dans l’exercice de votre charge, qu’il vous console dans les difficultés et qu’il vous procure la joie de voir grandir en ferveur et en nombre votre Église patriarcale. Au début de votre ministère, je veux vous redire à tous les paroles du Christ aux disciples: «Sois sans crainte, petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume» (Lc 12, 32). Tandis que j’adresse à travers vous mes chaleureuses salutations à l’ensemble du peuple égyptien, je vous confie tous à l’intercession de la Vierge Marie et de tous les saints coptes. De grand cœur, je vous accorde, ainsi qu’aux Évêques et à tous les fidèles de votre patriarcat, une affectueuse Bénédiction apostolique.

avec aujourd’hui après-midi entame dans la semaine de Noël,

16 décembre, 2006

Maintenant, avec aujourd’hui après-midi entame dans la semaine de Noël, pendant que je me réserve de faire vous aux souhaits la semaine prochaine, désire vous dire que, aussi en continuant à suivre Papa Bénoît aurai les jours plus pleins des choses à faire et de liturgie à suivre, et de prières ;

de choses à faire parce qu’au-delà de l’arbre de Noël, de lorsque ils sont née, nous faisons le presèpe, c’est-à-dire nous le construisons, comme mieux il nous réussit, mon oncle faisait des crèches artistiques, nous peut-être, mais belles et adaptes pour nous rappeler des Noël, je ai déjà fait projetions, dessine comme schéma, un peu de matériel pour construire, et voilà ;

j’ai mis un petit enfant Jésus, même celle-ci un vieux et actuel usage, dans ma chambre sur mon bureau, le petit est très jolie et il est voisin à moi, à mes livres de prières, à mes livres de étudie, sous une carré de Marie Maman de Jésus, de San Paul, de Papa Benoît, ne trouvais pas quelque chose qu’elle me plaisait à lui mettre sous al posé de la paille, seul ce matin ai trouvé un petit porte-monnaie d’étoffe avec un côté dessiné et brodé artistiquement, je ne sais pas s’il vient da l’Afrique ou da l’Asie, cependant, avec peu d’ouate interne a le porte-monnaie est devenu un beau petit matelas pour l’enfant Jésus ;

j’ai envoyé les souhaits de Natale, ai utilisé les billets – très jolis – de l’UNICEF – pour tous, il les a envoyés même aux personnes qui, vraiment m’ont fait souffrir, j’espère avoir demandé à Dieu la paix pour toutes les injustice coups et de pouvoir amères qui m’ont faite souffrir, et, pour ce que j’ai pu, dans le nom des Seigneur j’ai donné la paix ;


dans toute Rome très beaucoup d’on donne à faire pour préparer des crèches, dans les maisons, naturellement dans les paroisses, dans les Basiliques, sur les places : à Place « Navona » et, évidemment, à Place San Pietro, quelques de ces crèches ils sont très beaux et espère de les pouvoir photographier et, peut-être, faire des petit « reportage » de ceux qui m’est des plu dont plus entre ceux je pourrai voir, cependant pourra vous offrir celui ensemble de photo seulement après Noël parce que je crois que d’abord il sera impossible ;

j’ai d’une partie même les nouveaux calendriers – choisis avec soin entre des plus beaux parce qu’ils font compagnie – à attaquer à la fin de l’an, naturellement la partie plus grosse, même dans ce cas, il l’aura la liturgie avec « Toi Deum » à la fin de l’an ;

donc je désire suivre – comme toujours, mes deux petits « Blog » : italien et français, toutefois peut-être et espère, qu’ils portent caractérise des Noël, au contraire de ces Noël 2006 et de comme je lui vis, peut-être avec un peu plus de paix par rapport à l’an passé ;