« Habemus papam ». Vingt mois après, un retraite de Bénoît XVI
je rapporte l’articule du journal l’ « Espresso » » qui a même les site on line, de Sandro Magister, je crois d’avoir mis même un autre ; le journaliste regarde à Pape Bénoît et j’en retraite que – à moi – il plaît beaucoup, je vous le traduis (toujours comme je peux) même si j’étudie de nouveau le français écrit – mais il faut temps – parce qu’il me semble très adhérent à la personne de le Pape:
« Habemus papam ». Vingt mois après, un retraite de Bénoît XVI
ne cherche pas l’applaudissement, ne haranguent pas les foules, pourtant il est très populaire. Son secret il l’a expliqué même : elle est « l’obéissance à la vérité, pas à la dictature des opinions communes » de Sandro Magister
ROME, 12 décembre 2006 – à vingt mois de son élection à pape, Bénoît XVI a maintenant devenu des cas de étudie à niveau mondial. Un indice en tel sens est retraite en mots et images qui en donné au volume « Bénoît XVI, l’aube d’une nouvelle papauté », sorti dans ces jours en même temps en italien et en angles. Il publie le volume les White Star, des éditrice reliée au National Géographique Society. Ils sont des auteurs un grand en photographie italien, Gianni Giansanti, déjà celebret pour avoir photographié Jean Paul II, et le chef rédacteur du siège romain de « Time », Jeff Israely. Il écrit entre autre Israely : « Les gestes de le sien prédécesseur ont impressionné le monde. Benoît XVI fait par contre à nouvelle avec la force de sa prose. Mais ses mots ne représentent pas un pur exercice intellectuel : ils sont une manifestation de sa foi et une humanité. Dans le messager il se rend visible le message « . Il est le même jugement qu’on a lu sur « l’express » dans retraite du pape Joseph Ratzinger publié à la veille de son voyage en Turquie : « Jean Paul II dominait la scène. Benoît XVI offre aux foules son nu mot. Mais soin de déplacer l’attention à quelque chose qui est au-delà si de même « . Beaucoup plus que ceci il va cependant dit et spécifié, pour cueillir le profil original de l’actuelle pape. Voilà ici de suivi je retraite de Bénit XVI sorti sur « le exprimé » n. 47 du 30 novembre 2006 : Bénoît XVI, des pape a armés de « chasteté » de Sandro Magister.
Les nombres parlent. Bénit XVI est la pape plus populaire de l’histoire, si pour je peuple on entend ce qu’il attrait comme un aimant dans place San Pietro, chaque dimanche à l’Angelus et chaque mercredi à l’audience générale, de Rome et de toute la terre. Les présences sont systématiquement plus que doubles par rapport à ces de le sien prédécesseur Jean Paul II, qu’ il à son tour avait pulvérisé chaque record. Mais ce qui plus étonne est tresse entre question et offerte. Produit de passé que Bénoît XVI offre aux foules est fait de son nu mot. À l’Angelus, deux fois sur trois, pape Joseph Ratzinger explique l’Évangile de la messe de cette dimanche à un auditoire qui tout et pas toujours ne va pas à messe. Il l’explique avec des mots simples, mais qu’ils exigent de l’attention et ils l’obtiennent. Pendant qu’il parle, silence en place San Pietro il est impressionnant. Et au terme de très brève homélie il entame instantanément la prière de l’Angelus, même pas un instant d’intervalle. Qu’elle est sa mode, réussie, pour ne pas faire bondir l’applaudissement. Ceci viendra, mais au terme de tout, à l’instant des saluts en diverses langues. De papa, Bénit XVI ne concède rien aux schémas qui l’étiquetaient de cardinal. Il ne foudroie pas de condamnations, pas lance anathèmes. Il raisonne inflexible, mais calmé. Ses critique à la modernité ou aux « pathologies » qui il relèvent même dans l’Église les argue. Même pour ceci il a presque fais devenir muet le progressisme catholique : pas parce qu’il il lui ait devenu ami, mais parce qu’il ne réussit pas à lui rebattre avec des sujets de paire solidité persuasive. Benoît XVI ne montre pas tout à fait de se sentir écrasé de la comparaison avec le sien prédécesseur. Il ne l’imite pas en rien. Jean Paul II ne se promenait pas, il avais un allure majestueuse . Pape Ratzinger avec des pas svelte va droit au but. Jean Paul II dominait la scène. Bénoît XVI soigne de déplacer l’attention à quelque chose qui est au-delà si de même. Mémorable il reste veille nocturne avec le million de jeunes aperçus en Allemagne, dans l’août de 2005, d’abord grande épreuve médiatique affrontée de la nouveau pape. Pour beaucoup d’interminables minutes Benoît XVI est dans silence, en genou, devant l’hostie consacrée poste sur l’autel. Mais mal parti il ne met pas les jeunes. Il met les réalisateurs et les chroniqueurs télévisés, qu’ils ne savent plus qu’est-ce que dire ou faire pour remplir ce « vide » avec lequel la pape a bouleversé la prévu kermesse. Il est la premier pape théologue dans l’histoire de l’Église. Mais il sait enseigner théologie même aux simples. Même aux enfants. Un des formulaires communiqués vous de son invention est le coup et répondu improvisés avec les plus différents auditoire. Il l’a fait même avec des dizaines de milliers d’enfants de la première communion, âge moyen 9 ans, réunis en place San Pietro. Un enfant la question : « Ma catéchiste il m’a dit que Jésus est présent dans l’eucharistie. Mais comme ? Je ne le vois pas! ». Répondue. « Oui, nous ne le voyons pas, mais il y a tant de choses que nous ne voyons pas et qu’ils existent et ils sont essentiels. Par exemple, nous ne voyons pas notre raison. Toutefois nous avons la raison « . Avec la raison Bénit XVI a ouvert une partie audace. Sur le rapport entre la raison et la foi il a établi l’asse du discours devenu plus célèbre et contesté de son premier an et de moyen de pontificaux : le « lectio magistralis » de lui tenue à l’université de Ratisbona les 12 septembre de 2006. Il n’est pas hasardé dire que Ratzinger est une pape illuministe, parce qu’il même a déclaré de vouloir prendre les défenses de l’illuminisme dans une époque où à la raison ils sont restés peu de défenseurs. Qui s’attendait de trouver dans l’ex chef de l’ex Sant’Uffizio un paladin fidéiste du dogme est servi. Pour il n’y a pas seulement Jérusalem, il y a même les Atene des philosophes grecs aux origine de la foi chrétienne. Bénit XVI ne craint pas de mettre sous sévère critique les religions, à commencer de celle chrétienne, vraiment au nom de la raison. Entre raison et religion il veut qu’on établisse un mutuel rapport de contrôle et purification. Les deux tiers de sa leçon de Ratisbona les a dédiés vraiment à critiquer les phases dans lesquelles le christianisme s’est distancier de ses fondations rationnelles. Et à l’islam il a proposé qu’il fait le même : qu’il tresse la foi avec la raison, unique pour le séparer de la violence ; 38 des penseurs musulmans de beaucoup de pays et de différents courants lui ont répondu avec une lettre ouverte qui toute seule vaut plus que mille dialogues cérémonial. En partie en donnant raison à le sien tu raisonnes. La leçon de Ratisbona n’est pas l’unique teste que Benoît XVI a écrit de son poing, sans donner écoute à des experts qui sûrement ils le lui auraient purgé. Même le discours sur le Shoah prononcé à Auschwitz et à Birkenau était tout le sien. Et ponctuellement même il est allé rencontre à des contestation et polémiques, politiques et théologiques, de hébreux, de laïques et de chrétiens. De papa, Ratzinger agit souvent avec une imprudence que personne ne lui suspectait. Et parce que de ce le sien le parler à « opportune et importune » il a ainsi expliqué glissé 6 octobre dans une homélie aux trente spécialistes de la commission théologique internationale : « Il me vient en menthes très beau mot de la première lettre san de Pietro, dans le premier capitule, verset 22. Dans latin il sonne ainsi : ‘Castificantes animas nostras en oboedentia veritatis ‘. L’obéissance à la vérité devrait à ` castificare’notre âme, et ainsi guider au droit mot et à la droite action. En d’autres termes, parler pour trouver des applaudissements, parler en s’orientant à quel les hommes veulent sentir, parler en obéissance à la dictature des opinions communes, est considéré comme une façon de prostitution du mot et de l’âme. La ‘castità ‘à laquelle il fait allusion l’apôtre Pierre est ne pas se soumettre à ces standards, n’est pas chercher les applaudissements, mais chercher l’obéissance à la vérité. Et je pense que celle-ci soit la vertu fondamentale du théologue, cette discipline même dure de l’obéissance à la vérité qui nous fait des collaborateurs de la vérité, bouche de la vérité, parce que nous ne nous parlons pas dans ce fleuve de mots d’aujourd’hui mais, réellement purifiés et rendus chastes avec l’obéissance à la vérité, la vérité parles dans nous. Et nous pouvons ainsi être vraiment des porteurs de la vérité « . Bénit XVI est fait ainsi. On sent tellement revêtu de cette armure de « chasteté » à ne pas craindre de contaminations. À quelqu’un il donna scandale lorsque elle reçut en audience privée à Castel Gandolfo la belliqueuse Oriana Fallaci. Mais un an après a voulu rencontrer même Henri Kissinger, le plus réaliste des amateur du Realpolitik. Le prince des théologie anti-romains, de Hans Küng, a été autre de ses hôtes à surprise. Bénit XVI n’est pas vraiment type qui des contestation, une satire, une fatwa puisse faire trembler. »
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