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12 décembre – NOTRE-DAME de GUADALUPE

12 décembre, 2006
du site EAQ, sur le site de Wikipedia autre notice: http://fr.wikipedia.org/wiki/Notre-Dame_de_Guadalupe

12 décembre 
NOTRE-DAME de GUADALUPE
Patronne de l’Amérique Latine
(1531)


Un samedi, 9 décembre 1531, un pieux Indien du nom de Juan Diego se rendait de son village à Mexico pour y satisfaire sa dévotion. Comme il passait au pied du Tepeyac, la plus haute des collines qui entourent la ville, il entendit tout à coup une musique céleste descendre jusqu’à lui.Irrésistiblement attiré vers le sommet de la colline, il en fait l’ascension et dans une lumière resplendissante bordée d’un iris aux plus vives couleurs, il aperçoit une Dame incomparablement belle, souriante et radieuse de bonté:
«Juan, Mon fils bien-aimé, dit l’Apparition, où vas-tu?
— Madame, je vais à Mexico entendre la messe en l’honneur de la Vierge.
— Ta dévotion m’est agréable, reprit l’Inconnue; Je suis cette Vierge, Mère de Dieu. Je désire que l’on me bâtisse ici un temple magnifique d’où je répandrai mes faveurs et ferai voir ma compassion envers tous ceux qui m’invoqueront avec confiance. Va trouver l’évêque de Mexico pour l’instruire de ma volonté.»
Juan Diego se hâte de transmettre le message, mais le prélat le prend pour un illuminé et le congédie. Diego retourne au Tepeyac, y retrouve la Vierge qui le renvoie une seconde fois auprès de l’évêque. Cette fois, on lui ménage meilleur accueil, mais l’ecclésiastique exige quelque témoignage certain de la volonté du ciel. Le dix décembre, Juan Diego revoit la Vierge qui promet le signe demandé pour le lendemain, mais Diego passe toute cette journée là auprès de son oncle gravement malade. Le douze décembre, pressé de trouver un prêtre à Mexico pour administrer les derniers sacrements au moribond, Diego passe rapidement devant la colline, mais au détour de la route, il se trouve subitement en présence de l’Apparition. «Ton oncle est guéri, dit la Très Sainte Vierge, va au haut de la colline cueillir des roses que tu donneras à l’évêque de Mexico.»

Ce n’était point la saison des fleurs et jamais la roche nue du Tepeyac n’avait produit de roses. L’humble paysan obéit néanmoins sans hésiter et trouva un merveilleux parterre de roses fraîches au sommet du monticule. Il en cueillit une brassée, et les tenant cachées sous son manteau, il s’achemina vers l’évêché. Lorsque Juan Diego fut introduit devant le prélat, deux miracles au lieu d’un frappèrent les yeux de l’évêque stupéfait: la gerbe de roses vermeilles et l’image de l’Apparition peinte à l’insu de Diego sur l’envers de son paletot. Aussitôt que leurs yeux rencontrèrent l’image bénie de la Sainte Vierge, tous les témoins du prodige tombèrent à genoux, muets de joie, sans pouvoir faire autre chose que d’admirer la beauté surhumaine de leur Mère du ciel. Se relevant, l’évêque enlève le manteau des épaules du pieux Mexicain et l’expose dans sa chapelle en attendant d’élever un sanctuaire qui puisse renfermer cette relique sacrée. Tous les habitants la ville se rassemblèrent à l’évêché pour honorer l’image miraculeuse que Marie elle-même venait de léguer si gracieusement à ses enfants de la terre.

Le jour suivant, treize décembre, l’évêque de Mexico se rendit sur la colline de l’Apparition suivi d’un grand concours de peuple. Il voulait voir l’endroit exact où la Très Sainte Vierge s’était montrée à son fils privilégié, Juan Diego. Ce dernier ne crut pas pouvoir le déterminer avec précision. Marie vint le tirer d’embarras par un nouveau miracle: une source jaillit soudainement, désignant le lieu précis de l’Apparition. Depuis, cette source n’a cessé de couler et d’opérer des guérisons miraculeuses.

La Reine du Ciel se montra une cinquième fois à son humble serviteur et lui révéla le titre sous lequel elle désirait être invoquée. «On m’appellera, dit-elle: Notre-Dame de Guadalupe». Ce mot venu d’Espagne, mais d’origine arabe, signifie: Fleuve de Lumière. Conformément à la demande de la Mère de Dieu, on éleva une grandiose basilique sur la colline du Tepeyac où l’on vénéra la sainte image de Marie imprimée dans le manteau du voyant. Tout au cours des âges, d’innombrables et éclatants miracles témoignèrent de l’inépuisable bonté de Notre-Dame de Guadalupe.

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Benoît XVI: la course aux énergies et l’euthanasie « menacent la paix »

12 décembre, 2006
du site:http://www.la-croix.com/afp.static/pages/061212123700.wnis1dbq.htm

12/12/2006 13:37

Benoît XVI: la course aux énergies et l'euthanasie
CITE DU VATICAN, 12 déc 2006 (AFP) – Benoît XVI: la course aux énergies et l’euthanasie « menacent la paix »
Les tensions et injustices provoquées par la course aux sources d’énergie ainsi que les « attentats à la vie » comme l’avortement ou l’euthanasie constituent une menace pour la paix du monde, estime le pape Benoît XVI dans son message annuel pour la paix publié mardi.

Dans ce message diffusé en prévision de la journée mondiale de la paix le 1er janvier, le pape insiste sur le caractère potentiellement dramatique des questions écologiques, en soulignant que « toute attitude irrespectueuse envers l’environnement porte préjudice à la convivialité humaine ».

Il relève également « que l’on ne peut pas disposer de la personne selon son bon plaisir », prenant partie dans le débat qui agite l’Italie et plusieurs autres pays occidentaux sur la possibilité de légiférer sur l’euthanasie.

Outre « les victimes des conflits armés, du terrorisme et des multiples formes de violence », il dénonce « les morts silencieuses provoquées par la faim, l’avortement, l’expérimentation sur les embryons et l’euthanasie ».

Le souverain pontife a intitulé son message: « la personne humaine, coeur de la paix ».

« Je suis en effet convaincu qu’en respectant la personne on promeut le paix et qu’en bâtissant la paix on jette les bases d’un authentique humanisme intégral », explique-t-il.

Pour la première fois aussi clairement, Benoît XVI dénonce « la destruction de l’environnement, son usage impropre ou égoïste et la mainmise violente sur les ressources de la terre », et notamment « la course aux ressources disponibles sans précédent » provoquée par « la raréfaction des approvisionnement énergétiques ».

« Que deviendront les populations de ces régions », demande le chef de l’Eglise catholique. « Quelles injustices et quelles oppositions provoquera la course aux ressources d’énergie ? Et comment réagiront les exclus de cette course ? ».

Le pape insiste aussi sur l’importance de la liberté religieuse comme facteur de paix et ajoute que « dans certains Etats » les chrétiens sont même « persécutés ».

Il dénonce par ailleurs « une certaine conception de Dieu (…) à l’origine de pratiques criminelles », quand la religion « s’est transformée en idéologie ».

« C’est un point qu’il faut rappeler avec clarté: une guerre au nom de Dieu n’est jamais acceptable », souligne Benoît XVI.

Face aux « formes inédites de violence » comme le terrorisme, il demande aux Etats de préserver les populations civiles du conflit, dans une référence au récent conflit au Liban.

Le pasume 36 ,…il m’a donné tant réconforte et même celle-ci matin a été ainsi,

12 décembre, 2006

ce matin, en priant avec le Bureau des lectures je me suis trouvée, comme tous les II mardis (dans la liturgie des heures en 4 semaines) le psaumes  36 (36/37), je dans mon bréviaire nous ai mis marque ainsi je peux  le reprendre lorsque je veux, le fait suis qu’en instants difficiles il m’a donné tant réconforte et même celle-ci matin a été ainsi, vous le propose, pour un commente j’attende de connaître un bibliste français, mais je pense que il est compréhensible, je vous donne ce lecture parce que elle m’aide, comme j’ai dis;

du site:

http://www.listabible.com/bible-sommaire.html

Mais je préfère la traduction de
la Bible de Jérusalem, que je ne peux pas copier, le site est:

http://bibliotheque.editionsducerf.fr/par%20page/84/TM.htm

Psaumes. Chapitre 37.

1 De David. Ne t’irrite pas contre les méchants, N’envie pas ceux qui font le mal.
2
Car ils sont fauchés aussi vite que l’herbe, Et ils se flétrissent comme le gazon vert.
3
Confie-toi en l’Éternel, et pratique le bien; Aie le pays pour demeure et la fidélité pour pâture.
4
Fais de l’Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton coeur désire.
5
Recommande ton sort à l’Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira.
6
Il fera paraître ta justice comme la lumière, Et ton droit comme le soleil à son midi.
7
Garde le silence devant l’Éternel, et espère en lui; Ne t’irrite pas contre celui qui réussit dans ses voies, Contre l’homme qui vient à bout de ses mauvais desseins.
8
Laisse la colère, abandonne la fureur; Ne t’irrite pas, ce serait mal faire.
9
Car les méchants seront retranchés, Et ceux qui espèrent en l’Éternel posséderont le pays.
10
Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.
11
Les misérables possèdent le pays, Et ils jouissent abondamment de la paix.
12
Le méchant forme des projets contre le juste, Et il grince des dents contre lui.
13
Le Seigneur se rit du méchant, Car il voit que son jour arrive.
14
Les méchants tirent le glaive, Ils bandent leur arc, Pour faire tomber le malheureux et l’indigent, Pour égorger ceux dont la voie est droite.
15
Leur glaive entre dans leur propre coeur, Et leurs arcs se brisent.
16
Mieux vaut le peu du juste Que l’abondance de beaucoup de méchants;
17
Car les bras des méchants seront brisés, Mais l’Éternel soutient les justes.
18
L’Éternel connaît les jours des hommes intègres, Et leur héritage dure à jamais.
19
Ils ne sont pas confondus au temps du malheur, Et ils sont rassasiés aux jours de la famine.
20
Mais les méchants périssent, Et les ennemis de l’Éternel, comme les plus beaux pâturages; Ils s’évanouissent, ils s’évanouissent en fumée.
21
Le méchant emprunte, et il ne rend pas; Le juste est compatissant, et il donne.
22
Car ceux que bénit l’Éternel possèdent le pays, Et ceux qu’il maudit sont retranchés.
23
L’Éternel affermit les pas de l’homme, Et il prend plaisir à sa voie;
24
S’il tombe, il n’est pas terrassé, Car l’Éternel lui prend la main.
25
J’ai été jeune, j’ai vieilli; Et je n’ai point vu le juste abandonné, Ni sa postérité mendiant son pain.
26
Toujours il est compatissant, et il prête; Et sa postérité est bénie.
27
Détourne-toi du mal, fais le bien, Et possède à jamais ta demeure.
28
Car l’Éternel aime la justice, Et il n’abandonne pas ses fidèles; Ils sont toujours sous sa garde, Mais la postérité des méchants est retranchée.
29
Les justes posséderont le pays, Et ils y demeureront à jamais.
30
La bouche du juste annonce la sagesse, Et sa langue proclame la justice.
31
La loi de son Dieu est dans son coeur; Ses pas ne chancellent point.
32
Le méchant épie le juste, Et il cherche à le faire mourir.
33
L’Éternel ne le laisse pas entre ses mains, Et il ne le condamne pas quand il est en jugement.
34
Espère en l’Éternel, garde sa voie, Et il t’élèvera pour que tu possèdes le pays; Tu verras les méchants retranchés.
35
J’ai vu le méchant dans toute sa puissance; Il s’étendait comme un arbre verdoyant.
36
Il a passé, et voici, il n’est plus; Je le cherche, et il ne se trouve plus.
37
Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit; Car il y a une postérité pour l’homme de paix.
38
Mais les rebelles sont tous anéantis, La postérité des méchants est retranchée.
39
Le salut des justes vient de l’Éternel; Il est leur protecteur au temps de la détresse.
40 L’Éternel les secourt et les délivre; Il les délivre des méchants et les sauve, Parce qu’ils cherchent en lui leur refuge. 

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La chaleur de la neige – poesie écrits ce nuit

12 décembre, 2006

 j’ai écrits une poesie ce nuit en italienne et en français ensamble, de tout mon coeur

La chaleur de la neige 12-12-06 

Je bouge assonée le regard 

Dans ma petite chambre, 

Vois un petit rouge -gorge 

est l’image d’un cadre 

semble que les petites notes 

 qui émettent soient  des profonds, 

 sages  conseillent pour moi ; 

 il me dit :  regarde toi le ciel 

 et tu verras qu’il est plein d’étoiles 

 qui observent : ils sont beaux, 

 regarde l’anges qu’on se fait admirer 

et, ce Dieu, que, prodigieusement,   on a fait enfant ; 

regarde toi la terre, elle 

est plein de neige, de celle-là 

que ne descend pas plus dans ta ville, 

 le froid blanc manteau est chaud, 

 comme l’Amour, qu’il n’a pas température 

 mais sens, caractérise de la bonté 

 dont il embrasse la terre ; 

regarde encore, sur la route, 

vers Jérusalem, blanc, 

caché de la candeur de la neige, 

Petit-Blanc-Fleur-Bénoît 

tout autour larmes raffermissez  brûlent pour lui ; 

cours que le Dieu Amour 

t’offre la chaleur de la neige 

Blancheur distillée de larmes 

Eternelles versées pour toi, 

la peur fuit et la confiance court  à ton aide, 

suis Ton Petit-Blanc-Fleur 

Et tu trouveras le chaud, repose de l’Eternel

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