Seigneur me reste toujours moins de ma vie passée
voilà une poésie : 7.11.06 , h.4,45 (traduction)
Seigneur me reste toujours moins de ma vie passée
Seigneur, me reste toujours moins de la vie passée, seulement Toi, tes Apôtres : Pierre et Paul et ton fils Benoît ; la vie m’est encore aimée, mais pas pouvoir elle au point de ne pas laisser pour venir de toi, et je le voudrais, parce que rien me suffit, sans de toi ; même si je fais de choses que, humainement, ou spirituellement, ils sont pour toi ou pour ton esclave Benoît, ils me semblent inutiles ; on demande si une pincée de folie est dans de moi, j’espère que soit folie pour toi, Seigneur et pour : « Benoît Mon amour » ; aides moi, comme il se ferait avec un enfant que a laissé le sein de la maman, et il sait, que sa vie, son Père, est Dieu, les amours du monde, donne de toi, sont, aussi, pour toi ; Il t’offre la sagesse de comprendre les choses comme don de ton amour, de ne pas être seule, non parce que je n’y a pas des personnes chez de moi, mais parce que tu est avec moi, parfait et sage, mon Dieu
Gabriella Proja
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.