Archive pour novembre, 2006

« Ma Joie! » Sainte Thérèse de Lisieux

4 novembre, 2006

Ma Joie!

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Il est des âmes sur la terre

Qui cherchent en vain le bonheur

Mais pour moi, c’est tout le contraire

La joie se trouve dans mon cœur

Cette joie n’est pas éphémère

Je la possède sans retour

Comme une rose printanière

Elle me sourit chaque jour.

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Vraiment je suis par trop heureuse,

Je fais toujours ma volonté…

Pourrais-je n’être pas joyeuse

Et ne pas montrer ma gaîté ?…

Ma joie, c’est d’aimer la souffrance,

Je souris en versant les pleurs

J’accepte avec reconnaissance

Les épines mêlées aux fleurs.

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Lorsque le Ciel bleu devient sombre

Et qu’il semble me délaisser,

Ma joie, c’est de rester dans l’ombre

De me cacher, de m’abaisser.

Ma joie, c’est la Volonté Sainte

De Jésus mon unique amour

Ainsi, je vis sans nulle crainte

J’aime autant la nuit que le jour.

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Ma joie, c’est de rester petite

Aussi quand je tombe en chemin

Je puis me relever bien vite

Et Jésus me prend par la main

Alors le comblant de caresses

Je Lui dis qu’Il est tout pour moi

Et je redouble de tendresses

Lorsqu’Il se dérobe à ma foi.

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Si parfois je verse des larmes

Ma joie, c’est de les bien cacher

Oh ! Que la souffrance a de charmes

Quand de fleurs on sait la voiler !

Je veux bien souffrir sans le dire

Pour que Jésus soit consolé

Ma joie, c’est de le voir sourire

Lorsque mon cœur est exilé…

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Ma joie, c’est de lutter sans cesse

Afin d’enfanter des élus.

C’est le cœur brûlant de tendresse

De souvent redire à Jésus :

« Pour Toi, mon Divin petit Frère

« Je suis heureuse de souffrir

« Ma seule joie sur cette terre

« C’est de pouvoir Te réjouir.

« Longtemps encore je veux bien vivre

« Seigneur, si c’est la Ton désir

« Dans le Ciel je voudrais Te suivre

« Si cela Te faisait plaisir.

« L’amour, ce feu de la Patrie

« Ne cesse de me consumer

« Que me font la mort ou la vie ?

« Jésus, ma joie, c’est de T’aimer ! »

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Sainte Thérèse De Lisieux

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Je désire mettre sur ce Blog quelque page de le livre « Dieu nous est proche »…

4 novembre, 2006

Je désire mettre sur ce Blog quelque page de le livre « Dieu nous est proche » Edition Parole et Silence, 2003 que est le titre que j’ai mis pour ce Blog ; je vous écris da le chapitre XIII « M’approcher de toi fait mon bonheur », j’ai écris un peu, une page – peut-être – et  je continuerai un peu pour jour, comme je je saurai faire : 

puisque les commencer de les chapitre : 

« J’attends la résurrection de morts et la vie du monde à venir. C’est ce que nous disons, dimanche après dimanche, dans le symbole de Nicée Constantinople. Attendons-nous réellement cette résurrection ? Et la vie éternelle ? Les statistique nous disent que beaucoup de chrétien, même parmi les pratiquants, ont abandonné la foi en la vie éternelle ou la considèrent du moins comme une chose peu sure. Les chiffres seraient encore plus inquiétants si nous posions des question comme celles-ci : cette attente, a-t-elle un impact pratique dans notre vie ? La prospective du pouvoir vivre éternellement, , la trouvons-nous consolante et belle ou nous parait-elle-vague et irréelle, et même pas tellement désirable ? Hans Urs Von Balthasar a posé ainsi la question : « Comme si un tendon a lui (= à l’homme moderne) avait été coupé, de sorte qu’il ne peu plus, comme autre fois, courir vers le but, comme si on lui avait rogné les ailes et que face à la transcendance, son esprit avait un organe atrophié. D’où cela peut-il venir ? » Certes le regard sur la vie au- delà de la mort n’est pas si absent qu-il pourrait paraître à première  vue. Le désir de revoir les personnes aimée est vivant de nos jours aussi. Le pressentiment qu’il pourrait y avoir un jugement auquel notre vie doit pouvoir résister nous traverse inévitablement l’esprit quand nous faisons quelque chose que nous reconnaissons comme un mal. 

suivant texte demain ou lendemain, au revoir

je fais de mon mieux et…

3 novembre, 2006

Pour aujourd’hui ce tout – je pense en effet – de ne mettre pas d’autre chose parce que il y a, oui, de nouvelles, mais quelque site français l’ai déjà mis e je ajutera le texte que je pense les plus intéressant ; N’est pas facile – alors que j’ai  plus d’une notice – choisir un ou deux et, entre elle, celle-là le plus captivant ;C’est que je désire mettre le Parole de Pape Benoît qu’elle sont les plus important et plus sage et tout ce que est vivant (cela que est autour de Lui) et quelque photo ;

J’espère de faire un bon remerciement a Dieu qui a donne a nous ce Pape  et en service de partager  amour et de compréhension entre nous ;

bonsoir,

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La visite du Saint Père à la université « Gregoriana » ce matin

3 novembre, 2006

Je vous traduit le discours du Pape Benoît de ce matin àla Pontifical Université « Gregoriana », comme les autres fois avec le traducteur, mais j’avais corrige le texte avec le correcteur automatique du Word et un vocabulaire français, j’espère que ce fois ce plus compréhensible, le texte et vraiment important, peut-être da étudier de nouveau, du site Vatican:   

VISITE DU SAINT PERE À
LA PONTIFICAL UNIVERSITÉ GREGORIANA DISCOURS DE SA SAINTETÉ BÉNIT XVI
Vendredi, 3 novembre 2006 Monsieur Cardinaux, vénérés des Frères dans l’Épiscopat et dans le Sacerdoce, chers Professeurs et chers étudiant ! Ils sont lie de me rencontrer aujourd’hui avec vous. Un premier salue va vraiment à vous, étudiants, que je vois nombreux en ce élégant et austère quadriportique, mais que je sais être présents même en différentes salles et dans je contacte avec nous traverse des écrans et des haut-parleurs. Chers jeunes, je vous remercie pour les sentiments exprimés de vos représentants et de vous même ! Dans un certain sens l’Université est vraiment le vôtre. Elle, depuis le loin 1551, lorsque Sant’Ignazio de Loyola la fonda, existe pour vous, pour les étudiants. Toutes les énergies dépensées de vos Professeurs et les Professeurs, dans l’enseignement et dans la recherche, sont pour vous. Pour elles sont les préoccupations et les efforts quotidiens du Recteur Magnifique, des Vices Recteurs, des Doyens et des Garnisons. Vous de ceci êtes conscient et suis certain qu’en vous êtes même reconnaissants. Un spécial salue va ensuite au Cardinal Zenon Grocholewski. Puisque  Préfet de
la Congrégation pour l’Éducation Catholique, il est le Grand Chancelier de cette Université et représente dans elle le Romain Pontife (cfr Statuta Universitatis, art. 6, § 2) Vraiment pour ceci mien prédécesseur Pieux XI, de vénérée mémoire, déclarait l’Université Gregoriana « plenissimo iure ac nominations » pontificia (cfr Lett. ap. Gregorianam studiorum, en AAS 24,1932 ], 268). L’histoire même du Collège Romain et de l’Université Gregoriana, le sien aide, comme il rappelait au P. Recteur dans salue qu’il m’a tourné, est la fondation de ce statut entièrement détail. Il salue le Rev. P. Peter- Hans Kolvenbach, S.J., qui, comme Preposito Général de
la Compagnie de Jésus, est le Vice Grand Chancelier de l’Université et a le soin plus immédiat que cette oeuvre, que je ne doute pas de qualifier comme un des plus grands services qui
la Compagnie de Jésus font à l’Église universelle. Il salue les bienfaiteurs ici présents. Le Freundeskreis der Gregoriana d’Allemagne, le Gregorian University Foundation de Newyork,
la Fondation  »
la Gregoriana » de Rome, et autres groupes de bienfaiteurs. très chers, j’y suis reconnaissant pour combien généreusement des fées pour soutenir cette oeuvre que le Saint Sede a confié et continue à confier à
la Compagnie de Jésus. Il salue les Pères jésuites qui ici déroulent leur enseignement avec encomiabile ésprit d’abnegation et l’austérité de vie ; avec eux il salue les autres Professeurs, en étendant ma pensée même aux Pères et aux Frères du Pontifical Institut Biblique et du Pontifical Institut Oriental, qui, ensemble à
la Gregoriana, forment un consortium académique (cfr Pieux XI, M.p. Quod maxime, 30 septembre (1928) prestigieux pour combien il conforme pas seulement l’enseignement, mais même le patrimoine du livre  des trois bibliothèques, fournies de fonds spécialisés incomparables. Il salue finalement le personnel pas professeur de l’Université, qui a voulu faire sentir sa voix à travers du ce Secrétaire Général, que je remercie. Le personnel professeur quotidiennement ne déroule pas un service caché, mais très important pour la mission qui
la Gregoriana est appelée à accomplir pour mandat du Saint Siège. À chaque d’il eux va mon cordial encouragement. Avec joie je me trouve dans ce quadriportique, que j’ai traversé en diverses occasions. Je me rappelle particulièrement de la défense de la thèse du Père Lohfink pendant Concilio, à la présence de beaucoup de Cardinaux et même de pauvres Experts comme moi. Il m’est cher rappeler particulièrement le temps dans lequel, en étant professeur Ordinaire de Dogmatique et d’Histoire du Dogme prés de l’Université de Regensburg, je fus invité en 1972 du alors Recteur Hervé Carrier S.J. à des tendres un cours aux étudiants du II Cycle de la spécialisation de Théologie Dogmatique. J’ai tenu un cours sur très sainte Eucharistie. Avec la familiarité alors, je dis vous, chers Professeurs et des étudiants, que la fatigue de j’étudie et de l’enseignement, pour avoir sens en relation au Règne de Dieu, doit être soutenus des vertus des théologal. En effet, l’objet immédiat de la science théologique, dans ses différentes spécifications, est Dieu même, qui s’est révélé en Jésus Christ, Dieu avec une face humaine. Même lorsque, comme dans le Droit canonique et dans l’Histoire de l’Église, l’objet immédiat est Peuple de Dieu dans sa dimension visible et historique, les analyse approfondie de la matière pousser de nouveaux à la contemplation, dans la foi, du mystère de Christ rené. Il est Lui que, présent dans son Église, la mène entre les évènements du temps vers la plénitude eschatologique, un poteau vers lequel nous nous promenons soutenus de l’espoir. Il ne suffit pas, cependant, connaître Dieu ; pour le pouvoir réellement rencontrer, on doit même amères. La connaissance doit devenir amour. J’étudie de
la Théologie, du Droit canonique et de l’Histoire de l’Église elle n’est pas seulement connaissance des proposition de la foi dans leur formulation historique et dans leur application il pratique, mais elle est même toujours intelligence d’eux dans la foi, dans l’espoir et dans la charité. Seulement l’Esprit scrute les profondeurs de Dieu (cfr 1 Cor 2,10), donc seulement dans j’écoute de l’Esprit on peut scruter la profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu (cfr Rm 11,33). L’Esprit s’écoute dans la prière, lorsque le coeur s’ouvre à la contemplation du mystère de Dieu, qui on il s’est révélé dans le Fils Jésus Christ, image du Dieu invisible (cfr Avec 1,15), constitué Chef de Église et de Seigneur de toutes les choses (cfr Ef 1.10 ; Avec 1,18). L’Université Gregoriana, depuis le sien tu causes avec le Collège Romain, on est distinct pour étudie de la philosophie et de la théologie. Il serait trop le long d’énumérer des noms des éminent philosophes et théologien qui on sont des succédant sur les bureaux de cette Centrum académique ; à nous eux devrions ajouter même ceux de célèbres canoniste et de historiens de l’Église, qui ont dépensé leurs énergies entre celles-ci murent prestigieuses. Tous ont contribué grandement à progresser des sciences d’elles cultivez et donc ils ont offert un précieux service au Siège Apostolique dans l’accomplissement de sa fonction doctrinale, discipliner et pastorale. Avec se développement des temps nécessairement ils changent les perspectives. Ne peut aujourd’hui pas ne pas tenir compte de la comparaison avec la culture séculaire, qui dans beaucoup de parties du monde tend toujours plus pas seulement à nier chaque marque de la présence de Dieu dans la vie de la société et de l’individuel, mais avec des divers moyens, qui désorientent et offusquent la droite conscience de l’homme, cherche à ronger sa capacité de se mettre dans écoute de Dieu. On ne peut pas compter, ensuite, du rapport avec les autres religions, qui se révèle constructif seulement s’il évite chaque ambiguïté qui dans quelque mode affaiblisse le contenu essentiel de la foi chrétienne en Christ uniques Salvatore de tous les hommes (cfr At 4,12) et dans l’Église Sacramento nécessaire de salut pour toute l’humanité (cfr Dich. Dominus Iesus, nn. 13-15 ; 20-22 : AAS 92,2000 ], 742-765). Je ne peux pas dans cet instant oublier les autres sciences humaines que dans celle-ci insigne des Universités sont cultivées, sur la sillage de la glorieuse tradition académique du Collège Romain. Quel grand prestige ait assumé le Collège Romain dans le champ des mathématiques, de la physique, de l’astronomie, est tous à connu. Bâts se rappeler que du calendrier, soi-disant « Gregoriano », parce que voulu de mien prédécesseur Gregorio XIII, actuellement dans j’emploie partout, fut élaboré dans les 1582 du P. Cristoforo Clavio, professeur du Collège Romain. Bâts même faire de la mention del P. Matteo Frisée, qu’elle porta fin dans la lointaine Chine, ensemble alla son témoignage de foi, le savoir acquis comme disciple del P. Clavio. Aujourd’hui ces disciplines plus ne sont cultivées dans
la Gregoriana, mais sont succéder autres sciences humaines, la quelle la psychologie, les sciences sociales, la communication sociale. Avec il eux veut être plus profondément compris l’homme soit dans sa dimension personnelle profonde, que dans sa dimension extérieure de constructeur de la société, dans justice et dans paix, et de comunicatore (l’homme comme celui que communique) de la vérité. Vraiment parce que des telles sciences concernent l’homme ne peuvent pas compter de la référence à Dieu. En effet, l’homme, soit dans son intériorité qui dans son extériorité, ne peut pas être pleinement comprise s’il ne se reconnaît pas ouvert à la trascendence Je prive de sa référence à Dieu, l’homme ne peut pas répondre aux questions fondamentales qu’elles agitent et agiteront toujours son coeur en ce qui concerne le fin et donc au sens de son existence. Il n’est conséquentement possible introduire dans la société ces valeurs éthiques qui seuls peuvent garantir une cohabitation digne de l’homme. Je destine de l’homme sans sa référence à Dieu ne peut pas qu’être la désolation de l’angoisse qui mène au désespoir. Seulement en référence au dieu-Amour, qui s’est révélé en Jésus Christ, l’homme peut trouver le sens de son existence et les vies dans l’espoir, aussi dans l’expérience des maux qui blessent son existence personnelle et de la société dans laquelle il vit. L’espoir fait en sorte que l’homme ne se ferme pas dans un nihilisme paralysant et stérile, mais elle s’ouvre all’ engage généreux dans la société dans laquelle vit pour la pouvoir améliorer. Il est épelle que Dieu a confié à l’homme dans lui créer à son image et ressemblance, épelle que remplit chaque homme de plus grande dignité, mais même d’une immense responsabilité. Il est dans cette perspectif que vous, Professeurs et Professeurs de
la Gregoriana, vous êtes appelés à former les étudiants que l’Église vous confie. La formation intégrale des jeunes est un des apostolats traditionnels de
la Compagnie de Jésus depuis le sien causes ; pour ceci elle est une mission dont fin dall’inizio le Collège Romain on a fait chargé. La confiance à
la Compagnie de Jésus, à Rome prés du Siège Apostolique, du Collège Germanique, du Séminaire Romain, du Collège Ungarico, unis au Germanique, du Collège Inglese, du Collège Grec, du Collège Scozzese et du Collège Irlandese, avait le but d’assurer une formation du clergé de ces nations, où elle était déferlée l’unité de la foi et la communion avec le Siège Apostolique. Toujours ces Collèges envoient, ou presque exclusivement ou en bon nombre, leurs élèves à l’Université Gregoriana, en continuité avec cette mission originaire. À des tels Collèges mentionnés le long de l’histoire on en a ajouté beaucoup d’autres. Combien jamais absorbant est donc j’épelle qu’il grève sur vos épaules, chers Professeurs et Professeurs ! Opportunément donc, après profonde réflexion vous avez rédigé une « Déclaration de Buts », essentiel pour une institution comme le vôtre, parce qu’il indique synthétiquement sa nature et mission. Sur sa de base étais en portant à terme le renouvellement des Statuts de l’Université et des Règlements Générales, comme même des Statuts et des Règlements des différentes Facultés, d’Instituts et de Centres. Ceci contribuera à mieux définir l’identité de
la Gregoriana, en permettant la rédaction de programmes académiques plus adéquats à l’accomplissement de la mission qui lui est sa. Une mission facile et difficile ensemble. Facile, parce que l’identité et la mission de
la Gregoriana sont claires depuis ses premières origines, sur la de base des indications réaffirmées de tant de Romains Pontifier, entre lesquels bien seize furent des élèves de cette Université. Mission au même temps difficile, parce qu’il suppose constant fidélité à son histoire et tradition, pour ne pas perdre ses racines historiques, et ensemble ouverture à la réalité actuelle pour répondre, après un attentif décernement, avec esprit créateur aux nécessités de l’Église et du monde d’aujourd’hui. Comme Université ecclésiastique pontifical, cette Centre académique est engagée à sentir en Ecclésia et cum Ecclésia. Il est un engagement qui naît de l’amour pour l’Église, notre Mère et Épouse de Christ. Nous devons le lui aimer comme Christ même a aimé, en assumant sur nous les souffrances du monde et de l’Église pour compléter ce qui manque aux souffrances de Christ dans notre chair (cfr Avec le 1,24). Est ainsi qu’on peut former les nouvelles générations de prêtres, de religieux, de laïques engagés. Il est juste en effet se demander à quel type de prêtre on veut former les étudiants, à quel type de religieux ou de religieuse, de laïque ou de laïque. Certainement il est votre but, chers Professeurs et Professeurs, former des prêtres doctes, mais prêts au même temps à consommer leur vie dans servir avec coeur indivis, dans l’humilité et dans l’austérité de la vie, tous ceux qui les Seigneur confiera à leur ministère. Ainsi vous entendez offrir une formation intellectuel solide religieux et religieuses, pour qu’elles sachent vivre dans la joie les consécration dont Dieu les a faites don, et à des proposer comme je marque eschatologique de cette vie future à laquelle tous nous sommes appelés. Également, vous voulez préparer laïques et laïques, qu’avec compétence ils sachent dérouler des services et des bureaux dans l’Église et, avant tout, être je fermente du Règne de Dieu dans la sphère du temporel. Dans cette perspectif, vraiment cet an l’Université a donné entame à un programme interdisciplinaire pour former les laïques à vivre leur vocation spécifiquement ecclésiale d’engagement éthique dans la sphère publique. La formation, toutefois, est même vos responsabilités, chers étudiant. J’étudie certainement demande constant montai et abnégation. Mais vraiment pour cette route la personne forme au sacrifice et au sens du devoir. En effet ce que vous apprenez aujourd’hui est ce que vous demain communiquerez, lorsque il vous sera confié de l’Église le ministère sacré ou autres services et bureaux à avantage de la communauté. Ce qui dans chaque circonstance pourra donner à joie à votre coeur sera la conscience de toujours cultiver les rectitude d’intention, merci à laquelle on a la certitude d’avoir cherché et fait seulement la volonté de Dieu. Évidemment, tout ceci demande purification du coeur et décernement. Chers des fils de Sant’Ignazio, encore une fois
la Papa vous confie cette Université, oeuvre ainsi importante pour l’Église universelle et pour tant d’Églises particulières. Elle constitue toujours d’une priorité entre les priorités des apostolats de
la Compagnie de Jésus. Il est dans l’ ambiant universitaire de Paris que Sant’Ignazio de Loyola et ses premiers copains mûrirent le désir ardent d’aider les âmes en aimant et en servant Dieu dans tout, à sa majeure gloire. Poussé de l’intérieure motion de l’Esprit, Sant’Ignazio vint à Rome, centre de
la Christianité, du siège du Successeur de Pietro, et ici il fonda le Collège Romain, première Université de
la Compagnie de Jésus. L’Université Gregoriana est aujourd’hui l’ ambiant universitaire dans lequel il se réalise en mode pleine et évidente, encore à distance de 456 ans, du désir de Sant’Ignazio et de ses premiers copains d’aider les âmes amères et au servir à Dieu dans tout, à sa majeure gloire. S’ils disaient qu’ici, entre celles-ci il mure, se réalise combien
la Papa Giulio III le 21 Juillet 1550 fixaient dans la « formule des Instituts », en établissant que chaque membre de
la Compagnie de Jésus est tenu « sub à crucis vexillo Deo militaire, et seule Domine ac Ecclesiae Ipsius sponsae, sub Romain Pontificales, Christi en terris Vicario, servir », en s’engageant « potissimum… à des fidei defensionem et propagationem, et profectum animarum en vie et doctrina christiana, pour publicas praedicationes, lectiones et aliud quodcumque verbes du ministerium…  » (Lett. ap. Exposcit debitum, 1). Cette spécificité charismatique de
la Compagnie de Jésus, exprimée institutionnellement dans le quatrième vote de disponibilité totale au Romain Pontefice dans n’importe quel chose Le veut commander « à profectum animarum et fidei propagationem » (ibid., n. 3), trouve réalisation même dans le fait qui le Preposito Général de
la Compagnie de Jésus appelle de tout le monde les Jésuites plus aptes parce qu’ils déroulent épelle de Professeurs dans cette Université. L’Église, consciente comme il est que ceci peut comporter le sacrifice d’autres oeuvres et services, aussi valide pour les fins qui
la Compagnie proposent de se rejoindre, est à elle sincèrement grille et désire que
la Gregoriana conserve l’ésprit ignaziano que l’âme, exprimé dans sa méthode pédagogique et dans position des études. très chers, avec affection de Père je confie à tous vous, que vous êtes les composantes vivantes de l’Université Gregoriana – Professeurs et Professeurs, étudiants, personnel pas professeur bienfaiteurs et amis – aux intercession de Sant’Ignazio de Loyola, de San Roberto Bellarmino et de Charmée Vierge Marie, Reine de
la Compagnie de Jésus, qui dans les armes de l’Université est indiqué avec titre de Sedes Sapientiae. Avec ces sentiments à tout imparto (Il donne), à propitiateur (feminen) de copieuses faveurs célestes, à l’Apostolique Bénédiction.
 
La visite du Saint Père à la université  dans sujets interessants aujourd'hui

Pope Benedict XVI greets faithful during his visit at the Pontifical Gregorian University in Rome, Friday, Nov. 3, 2006. Turkish Police on Thursday detained a man who fired shots into the air outside the Italian consulate to protest an upcoming visit by Pope Benedict XVI, and the suspect later told television he wanted to ‘strangle » the Pope with his bare hands. The Pontiff is scheduled to visit Turkey between Nov. 28 and Dec. 1. It would be Benedict’s first visit as Pope to a predominantly Muslim country, just two months after he provoked widespread anger by quoting an emperor who characterized the Prophet Muhammad’s teachings as ‘evil and inhuman. » (AP Photo/Alessandra Tarantino)———————–Pope Benedict XVI is greeted by faithful as he leaves the Pontifical Gregorian University in Rome, Friday, Nov. 3, 2006. Turkish Police on Thursday detained a man who fired shots into the air outside the Italian consulate to protest an upcoming visit by Pope Benedict XVI, and the suspect later told television he wanted to ‘strangle » the Pope with his bare hands. The Pontiff is scheduled to visit Turkey between Nov. 28 and Dec. 1. It would be Benedict’s first visit as Pope to a predominantly Muslim country, just two months after he provoked widespread anger by quoting an emperor who characterized the Prophet Muhammad’s teachings as ‘evil and inhuman. » (AP )(photo/Alessandra Tarantino)   

 Pope Benedict blesses a baby as he leaves the Pontifical Gregorian University in Rome November 3, 2006. REUTERS/Giampiero Sposito (ITALY)

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Pontifical Université « Gregoriana, exteriéur

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Homélie di Pape Benoît à l’occasion du premier anniversaire de la mort de Jean-Paul II

2 novembre, 2006

aujourd’hui après-midi (2-10-06) le Pape va alla crypte du San Pietro pour prier sur le tombe de Pape, pour notre méditation j’ai pris cette homélie, du site Vatican: 

CHAPELLE PAPALE À L’OCCASION DU PREMIER ANNIVERSAIRE
DE LA MORT DE JEAN-PAUL II

HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI

Place Saint-Pierre
Lundi 3 avril 2006

 

Chers frères et soeurs!

En ces jours est particulièrement vivante dans l’Eglise et dans le monde la mémoire du Serviteur de Dieu Jean-Paul II, à l’occasion du premier anniversaire de sa mort. Avec la veillée mariale d’hier, nous avons revécu le moment précis où, il y a un an, eut lieu sa pieuse disparition, tandis que nous nous retrouvons aujourd’hui sur cette même Place Saint-Pierre pour offrir le Sacrifice eucharistique en mémoire de son âme élue. Je salue avec affection, avec les Cardinaux, les Evêques, les prêtres et les religieux, les nombreux pèlerins venus de tant d’endroits, en particulier de Pologne, pour lui témoigner leur estime, leur affection et leur profonde reconnaissance. Nous voulons prier pour ce bien-aimé Pontife, en nous laissant éclairer par la Parole de Dieu que nous venons d’entendre.

Dans la première lecture, tirée du Livre de la Sagesse, il nous a été rappelé quel est le destin final des justes:  un destin de bonheur surabondant, qui récompense sans limite pour les souffrances et les épreuves affrontées au cours de la vie. « Dieu les a mis à l’épreuve – affirme l’auteur sacré – et il les a trouvés dignes de lui; comme l’or au creuset, il les a éprouvés, comme un parfait holocauste, il les a agréés » (3, 5-6). Le terme d’ »holocauste » fait référence au sacrifice au cours duquel la victime était entièrement brûlée, consumée par le feu; il s’agissait donc d’un signe de don total à Dieu. Cette expression biblique nous fait penser à la mission de Jean-Paul II, qui a fait don à Dieu et à l’Eglise de son existence et a vécu la dimension sacrificielle de son sacerdoce en particulier dans la célébration de l’Eucharistie. Parmi les invocations qui lui étaient chères, en figure une, tirée des « Litanies de Jésus Christ Prêtre et Victime », qu’il voulut placer à la fin de l’ouvrage Don et Mystère, publié à l’occasion du 50 anniversaire de son sacerdoce (cf. pp. 113-116):  « Iesu, Pontifex qui tradidisti temetipsum Deo oblationem et hostiam – Jésus, Pontife qui t’offris toi-même à Dieu comme don et victime, prends pitié de nous ». Combien de fois il répéta cette invocation! Celle-ci exprime bien le caractère profondément sacerdotal de toute sa vie. Il n’a jamais caché son désir de devenir toujours plus un avec le Christ Prêtre, à travers le Sacrifice eucharistique, source d’inlassable dévouement apostolique.

A la base de ce don total de soi figurait naturellement la foi. Dans la seconde Lecture, que nous venons d’entendre, saint Pierre utilise lui aussi l’image de l’or éprouvé par le feu et l’applique à la foi (1 P 1, 7). En, effet, dans les difficultés de la vie, c’est surtout la qualité de la foi de chacun qui est éprouvée et vérifiée:  sa solidité, sa pureté, sa cohérence avec la vie. Et bien, le regretté Pontife, que Dieu avait doté de multiples dons humains et spirituels, en passant à travers le creuset des difficultés apostoliques et de la maladie, est apparu toujours plus comme un « roc » de la foi. Ceux qui ont eu l’occasion de le fréquenter de près ont presque pu toucher du doigt sa foi honnête et solide qui, si elle a impressionné le cercle de ses collaborateurs, n’a pas manqué de diffuser, au cours de son long Pontificat, son influence bénéfique sur toute l’Eglise, dans un crescendo qui a atteint son point culminant au cours des derniers mois et jours de sa vie. Une foi convaincue, forte et authentique, libre des peurs et des compromis, qui a gagné le coeur de tant de personnes, grâce également aux nombreux pèlerinages apostoliques dans tant de parties du monde, et en particulier grâce à ce dernier « voyage » qu’a été son agonie et sa mort.

La page de l’Evangile qui a été proclamée nous aide à comprendre un autre aspect de sa personnalité humaine et religieuse. Nous pourrions dire que, en tant que Successeur de Pierre, il a imité de façon particulière, parmi les Apôtres, Jean, le « disciple bien-aimé » qui demeura sous la Croix auprès de Marie, à l’heure de l’abandon et de la mort du Rédempteur. Les voyant près de la Croix – raconte l’évangéliste – Jésus les confia l’un à l’autre:  « Femme, voici ton Fils!… Voici ta mère » (Jn 19, 26-27). Ces paroles du Seigneur mourant étaient particulièrement chères à Jean-Paul II. Comme l’Apôtre évangéliste, lui aussi a voulu prendre Marie dans sa maison:  « et ex illa hora accepit eam discipulus in sua » (Jn 19, 27). L’expression « accepit eam in sua » est particulièrement riche de sens:  elle indique la décision de Jean de faire participer Marie à sa propre vie afin de faire l’expérience que celui qui ouvre son coeur à Marie, est en réalité accueilli par Elle et lui appartient. La devise inscrite sur le blason pontifical du Pape Jean-Paul II, Totus tuus, résume bien cette expérience spirituelle et mystique, dans une vie totalement orientée vers le Christ au moyen de Marie:  « ad Iesum per Mariam ».

Chers frères et soeurs, ce soir, notre pensée revient avec émotion au moment de la mort du bien-aimé Pontife, mais dans le même temps, notre coeur est comme poussé à regarder vers l’avenir. Nous sentons résonner dans notre âme ses invitations répétées à avancer sans peur sur le chemin de la fidélité à l’Evangile pour être les messagers et les témoins du Christ dans le troisième millénaire. Ses exhortations incessantes à coopérer généreusement à la réalisation d’une humanité plus juste et plus solidaire, à être des artisans de paix et des bâtisseurs d’espérance nous reviennent à l’esprit. Notre regard reste toujours fixé sur le Christ qui est « le même hier, aujourd’hui et à jamais » (He 13, 8), qui guide solidement son Eglise. Nous avons cru à son amour et c’est la rencontre avec Lui « qui donne à la vie un nouvel horizon et par là son orientation décisive » (Deus caritas est, n. 1). Que la force de l’Esprit de Jésus soit pour tous, chers frères et soeurs, comme elle le fut pour le Pape Jean-Paul II, une source de paix et de joie. Et que la Vierge Marie, Mère de l’Eglise, nous aide à être en toute circonstance, comme lui, des apôtres inlassables de son divin Fils et des prophètes de son amour miséricordieux. Amen! 

photo du mon Blog italien, le tombeau de Jean-Paul II    

Homélie di Pape Benoît à l'occasion du premier anniversaire de la mort de Jean-Paul II dans prière Giovanni%20Paolo%20II%20-%20tomba

Une méditation réealiste et confiante sur la mort: le Psaume 48 – Pape Jean-Paul II

2 novembre, 2006

du site:

 http://www.inxl6.org/article1839.php

Une méditation réaliste et confiante sur la mort : le Psaume 48

A l’approche de la fête de la Toussaint et de la commémoration des fidèles défunts, la liturgie des Vêpres offre la lecture du Psaume 48. Le Pape Jean-Paul II a récemment consacré deux audiences à une méditation de ce Psaume qui, dénonçant l’illusion de pouvoir « acheter la mort », ouvre un horizon d’espérance et d’immortalité.

Jean-Paul II
28/10/2004

  •  
      Psaume 48 (49)
      Les richesses sont trompeuses
          

      2. Écoutez ceci, tous les peuples,
      entendez bien, habitants de l’univers,

      3. gens illustres, gens obscurs,
      riches et pauvres, tous ensemble.

      4. Ma bouche dira des paroles de sagesse,
      les propos clairvoyants de mon coeur ;

      5. l’oreille attentive aux proverbes,
      j’exposerai sur la cithare mon énigme.

      6. Pourquoi craindre aux jours de malheur
      ces fourbes qui me talonnent pour m’encercler,

      7. ceux qui s’appuient sur leur fortune
      et se vantent de leurs grandes richesses ?

      8. Nul ne peut racheter son frère
      ni payer à Dieu sa rançon :

      9. aussi cher qu’il puisse payer,
      toute vie doit finir.

      10. Peut-on vivre indéfiniment
      sans jamais voir la fosse ?

      11. Vous voyez les sages mourir :
      comme le fou et l’insensé ils périssent,
      laissant à d’autres leur fortune.

      12. Ils croyaient leur maison éternelle, +
      leur demeure établie pour les siècles ;
      sur des terres ils avaient mis leur nom.

      13. R/ L’homme comblé ne dure pas :
      il ressemble au bétail qu’on abat.

Dans la première partie, la réflexion se développe à partir d’une situation de difficulté. Le juste doit affronter des « jours tristes », car « la malice [des pervers] me talonne et me cerne », eux « qui se prévalent du surcroît de leur richesse ».

La conclusion à laquelle le juste parvient est formulée comme une sorte de proverbe, que l’on retrouvera également dans le final de l’ensemble du Psaume. Elle résume de façon claire le message dominant de la composition poétique : « L’homme dans son luxe ne comprend pas, il ressemble au bétail muet ». En d’autres termes, « la grande richesse » n’est pas un avantage, au contraire ! Il vaut mieux être pauvre et uni à Dieu.

Dans le proverbe semble retentir la voix austère d’un antique sage de la Bible, l’Ecclésiaste ou Qohélet, lorsqu’il décrit le destin apparemment semblable de toute créature vivante, celui de la mort, qui rend complètement vaine la tentative de s’agripper de façon frénétique aux choses terrestres : « Comme il était sorti du sein de sa mère tout nu, il s’en retournera, comme il était venu. De son travail il n’a rien retiré qui lui reste en main… Car le sort de l’homme et le sort de la bête sont un sort identique: comme meurt l’un, ainsi meurt l’autre… Tout s’en va vers un même lieu » (Qo 5, 14; 3, 19.20).

Un profond aveuglement s’empare de l’homme lorsqu’il pense pouvoir éviter la mort en se donnant du mal pour accumuler des biens matériels : ce n’est pas pour rien que le Psalmiste parle d’un « manque de compréhension » au caractère presque bestial.

Quoi qu’il en soit, ce thème sera abordé par toutes les cultures et par toutes les spiritualités et il sera exprimé en substance de façon définitive par Jésus qui déclare : « Attention ! Gardez-vous de toute cupidité, car, au sein même de l’abondance, la vie d’un homme n’est pas assurée par ses biens » (Lc 12, 15). Il raconte ensuite la célèbre parabole du riche insensé, qui accumule des biens à n’en plus finir sans imaginer le piège que la mort lui tend déjà (Lc 12, 16-21).

La première partie du Psaume est entièrement centrée précisément sur cette illusion qui envahit le cœur de l’homme riche. Celui-ci est convaincu de réussir à « acheter » également la mort, tentant presque de la corrompre, un peu comme il a fait pour obtenir toutes les autres choses, c’est-à-dire le succès, le triomphe sur les autres dans le domaine social et politique, la prévarication impunie, la satiété, le confort, les plaisirs.

Mais le Psalmiste n’hésite pas à qualifier cette aspiration de sottise. Il utilise un terme qui possède une valeur également financière, « rachat » : « Mais l’homme ne peut acheter son rachat ni payer à Dieu sa rançon: il est coûteux le rachat de son âme, et il manquera toujours pour que l’homme survive et jamais ne voit la fosse ».

Le riche, qui s’agrippe à son immense fortune, est convaincu qu’il réussira à dominer également la mort, de la même façon qu’il a dominé tout et chacun grâce à l’argent. Mais quelle que soit l’importance de la somme qu’il est prêt à offrir, son destin ultime sera inexorable. En effet, comme tous les hommes et les femmes, riches ou pauvres, sages ou sots, il devra aller dans la tombe, comme cela est également arrivé aux puissants, et il devra laisser sur terre l’or qu’il a tant aimé, ces biens matériels qu’il a tant idolâtrés.

Jésus insinuera cette question inquiétante dans l’esprit de ses auditeurs : « Que pourra donner l’homme en échange de sa propre vie ? » (Mt 16, 26). Aucun échange n’est possible, car la vie est un don de Dieu, qui « tient en son pouvoir l’âme de tout vivant et le souffle de toute chair d’homme » (Jb 12, 10).

Parmi les Pères qui ont commenté le Psaume 48, une attention particulière doit être consacrée à saint Ambroise, qui en élargit le sens dans une plus ample vision, précisément à partir de l’invitation initiale du Psalmiste : « Écoutez ceci, tous les peuples, prêtez l’oreille, tous les habitants du monde ».

L’ancien Évêque de Milan commente : « Nous reconnaissons ici, précisément au début, la voix du Seigneur sauveur qui appelle les peuples à l’Église, afin qu’ils renoncent au péché, qu’il deviennent des disciples de la vérité et qu’ils reconnaissent le bénéfice de la foi ». Du reste, « tous les cœurs des diverses générations humaines étaient souillés par le venin du serpent et la conscience humaine, esclave du péché, n’était pas en mesure de s’en détacher ». C’est pourquoi le Seigneur, « de sa propre initiative, promet le pardon dans la générosité de sa miséricorde, afin que le coupable n’ait plus peur, mais, pleinement conscient, se réjouisse de devoir à présent devenir le serviteur du Seigneur bon, qui a su pardonner les péchés et récompenser les vertus ».

Dans ces paroles du Psaume, l’on entend retentir l’invitation évangélique : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai. Chargez-vous de mon joug » (Mt 11, 28). Ambroise poursuit : « Comme une personne qui viendra visiter les malades, comme un médecin qui viendra soigner les plaies, c’est ainsi qu’il nous présente la cure, afin que les hommes perçoivent sa bonté et accourent avec un empressement confiant pour recevoir le remède de la guérison… Il appelle tous les peuples à la source de la sagesse et de la connaissance, il promet à tous la rédemption, afin que personne ne vive dans l’angoisse, que personne ne vive dans le désespoir ».

  •  
      14. Tel est le destin des insensés
      et l’avenir de qui aime les entendre :
          

      15. troupeau parqué pour les enfers
      et que la mort mène paître.
      A l’aurore, ils feront place au juste ;
      dans la mort, s’effaceront leurs visages :
      pour eux, plus de palais !

      16. Mais Dieu rachètera ma vie aux griffes de la mort :
      c’est lui qui me prendra.

      17. Ne crains pas l’homme qui s’enrichit,
      qui accroît le luxe de sa maison :

      18. aux enfers il n’emporte rien ;
      sa gloire ne descend pas avec lui.

      19. De son vivant, il s’est béni lui-même :
      « On t’applaudit car tout va bien pour toi ! »

      20. Mais il rejoint la lignée de ses ancêtres
      qui ne verront jamais plus la lumière.

      21 R/ L’homme comblé qui n’est pas clairvoyant
      ressemble au bétail qu’on abat.

La deuxième partie du Psaume 48 condamne l’illusion engendrée par l’idolâtrie de la richesse. Il s’agit de l’une des tentations constantes de l’humanité : en se raccrochant à l’argent, considéré comme doté d’une force invincible, l’homme a l’illusion de pouvoir « acheter également la mort », en l’éloignant de lui.

En réalité, la mort fait irruption avec sa capacité de détruire toute illusion, écartant chaque obstacle, brisant toute confiance en soi-même et faisant avancer les riches et les pauvres, les souverains et les sujets, les sots et les sages vers l’au-delà. C’est une image efficace que le Psalmiste utilise en représentant la mort comme un pasteur qui conduit d’une main ferme le troupeau des créatures corruptibles. Le Psaume 48 nous propose donc une méditation réaliste et sévère sur la mort, point d’arrivée inéluctable et fondamental de l’existence humaine.

Souvent, nous cherchons par tous les moyens à ignorer cette réalité, en éloignant cette pensée de notre esprit. Mais cette tentative est non seulement inutile, mais également inopportune. En effet, la réflexion sur la mort se révèle bénéfique, car elle relativise de nombreuses réalités secondaires que nous avons malheureusement placées au niveau d’absolu, comme précisément la richesse, le succès, le pouvoir… C’est pourquoi un sage de l’Ancien Testament, le Siracide, avertit : « Dans tout ce que tu fais souviens-toi de ta fin et tu ne pécheras jamais ».

Mais voilà qu’apparaît dans notre Psaume un tournant décisif. Si l’argent ne réussit pas à nous « racheter » de la mort, il y a cependant quelqu’un qui peut nous racheter de cet horizon sombre et dramatique. Le Psalmiste dit en effet : « Mais Dieu rachètera ma vie aux griffes de la mort :
c’est lui qui me prendra »
.

C’est ainsi que s’ouvre pour le juste un horizon d’espérance et d’immortalité. A la question placée au début du Psaume (« Pourquoi craindre ? »), est à présent donnée la réponse : « Ne crains pas quand l’homme s’enrichit ».

Le juste, pauvre et humilié dans l’histoire, lorsqu’il parvient à la frontière ultime de la vie, est sans biens, n’a rien à verser comme « rançon » pour arrêter la mort et se soustraire à son étreinte glaciale. Mais voilà la grande surprise : Dieu lui-même verse une rançon et arrache son fidèle des mains de la mort, car Il est le seul qui puisse vaincre la mort, inexorable à l’égard des créatures humaines.

C’est pourquoi le Psalmiste invite à « ne pas craindre » et à ne pas envier le riche toujours plus arrogant dans sa gloire car, parvenu à la mort, il sera dépouillé de tout, il ne pourra emporter avec lui ni or ni argent, ni gloire ni succès. Le fidèle, en revanche, ne sera pas abandonné par le Seigneur, qui lui indiquera « le chemin de vie, devant ta face, plénitude de joie, en ta droite, délices éternelles » (Ps 15, 11).

Nous pourrions alors placer en conclusion de la méditation sapientielle du Psaume 48, les paroles de Jésus, qui nous décrit le véritable trésor qui défit la mort : « Ne vous amassez point de trésors sur la terre, où la mite et le ver consument, où les voleurs percent et cambriolent. Mais amassez-vous des trésors dans le ciel: là, point de mite ni de ver qui consument, point de voleurs qui perforent et cambriolent. Car où est ton trésor, là aussi sera ton cœur » (Mt 6, 19-21).

Dans le sillage des paroles du Christ, saint Ambroise, dans son Explication sur le Psaume 48, répète de façon claire et ferme l’inconsistance des richesses : « Ce sont toutes des choses caduques et elles ont plus tôt fait de s’en aller que de venir. Un trésor de ce genre n’est qu’un rêve. Tu te réveilles et il a déjà disparu, car l’homme qui réussira à faire passer l’ivresse de ce monde et à acquérir la sobriété de la vertu, méprise toutes ces choses et n’accorde aucune valeur à l’argent ».

L’Évêque de Milan nous invite donc à ne pas nous laisser attirer naïvement par les richesses et par la gloire humaine : « Ne crains rien, même lorsque tu apprendras que s’est accrue de façon démesurée la gloire de quelque puissante famille ! Saches regarder à fond avec attention, et elle t’apparaîtra vide si elle ne possède pas en elle une miette de la plénitude de la foi ». De fait, avant que le Christ ne vienne, l’homme était perdu et vide : « La chute catastrophique de cet antique Adam nous a vidés, mais elle nous a remplis de la grâce du Christ. Il s’est vidé lui-même pour nous remplir et pour faire habiter dans la chair de l’homme la plénitude de la vertu ». Saint Ambroise conclut que précisément pour cette heure, avec saint Jean, nous pouvons nous exclamer : « Oui, de sa plénitude nous avons tous reçu, et grâce pour grâce » (Jn 1, 16). 

Traduction de l’italien par zenit.org. Extraits.
Psaume : traduction litiurgique © AELF

Dieu createur, du site:

http://www.chiesa2000.com/2tre_ord/spirit/spir03.htmUne méditation réealiste et confiante sur la mort: le Psaume 48 - Pape Jean-Paul II dans commentaire à la Sacrée Écriture pour le jour courant DIO%20PADRE%2001b

 

evangile et comméntaire pour le jour de défunt

2 novembre, 2006

du site EAQ:

Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 25,31-46.

« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.
Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres :
il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche.
Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : ‘Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde.
Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !’
Alors les justes lui répondront : ‘Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu…? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?’
Et le Roi leur répondra : ‘Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.’
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : ‘Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges.
Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.’
Alors ils répondront, eux aussi : ‘Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?’
Il leur répondra : ‘Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces petits, à moi non plus vous ne l’avez pas fait.’
Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »

Saint Aphraate ( ?-vers 345), moine et évêque à Ninive, près de Mossoul dans l’actuel Irak
Les Exposés, n° 22 (trad. Sc 359, p. 841s)

Nos défunts vivent pour lui

Les gens pieux, sages et bons ne sont pas effrayés par la mort, à cause de la grande espérance qu’ils ont devant eux. Ils pensent tous les jours à la mort comme à un exode, et au dernier jour où seront enfantés les fils d’Adam. L’apôtre Paul dit : « La mort a régné depuis Adam jusqu’à Moïse, même en ceux qui n’ont pas péché, ainsi est-elle passée en tout les fils d’Adam » (Rm 5,14.12)… Elle est passée aussi en tous les hommes de Moïse à la fin du monde. Cependant Moïse a proclamé que son règne serait aboli ; la mort pensait emprisonner tous les hommes et régner sur eux pour toujours…, mais quand le Très Saint a appelé Moïse du sein du buisson, il lui a dit : « Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob » (Ex 3,6). Entendant ces paroles, la mort a été ébranlée, a tremblé de crainte et a compris…que Dieu est le roi des morts et des vivants et qu’il viendrait un temps où les hommes échapperaient à ses ténèbres. Et voici que Jésus notre Sauveur a répété cette parole aux saducéens et leur a dit : « Il n’est pas un Dieu des morts ; tous vivent pour lui » (Lc 20,38)…

Car Jésus est venu, le meurtrier de la mort ; il a revêtu un corps de la descendance d’Adam, a été fixé à la croix et a goûté la mort. Elle a compris qu’il allait descendre chez elle. Toute troublée, elle a verrouillé ses portes, mais lui a brisé ses portes, est entré chez elle et a commencé à lui arracher ceux qu’elle détenait. Les morts, voyant la lumière dans les ténèbres, ont levé la tête hors de leur prison et ont vu la splendeur du Roi Messie… Et la mort, voyant les ténèbres commencer à se dissiper et des justes ressusciter, a appris qu’à l’achèvement du temps il ferait sortir de son pouvoir tous les captifs

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« autumnal maple leaves »

1 novembre, 2006

 Photo National Geografic

Coventry, Vermont, 1997

Photograph by Michael S. Yamashita

The beauty of autumnal maple leaves appears through a screen door. Just as the green summer fattens and strengthens the creatures of Vermont, fall cuts crisply into the bounty by sending migrating animals south, silencing chirping birds and insects, and running deer and bear out of the forests until hunting season ends.

(Text adapted from and photograph shot on assignment for, but not published in, « Vermont: Suite of Seasons, » September 1998, National Geographic magazine)

le texte de l’Homélie du Pape pour la fête des Toutssaint dans la Basilique de Saint Pierre

1 novembre, 2006

Le texte integral de l’homélie du Pape Benoît dans la messe de ce matin à Saint Pierre pour Toutssaint (avec un traducteur on line et avec les erreur et les « italianisme »), du site Korazym :

http://www.korazym.org/

ROME – Solennità de Tous les Saints : Bénit XVI célèbre le Saint Messa dans la Basilique Vatican et d’abord dans le cours de l’omelia et ensuite dans la réflexion qui précède elle la récite de l’Angelus médite sur la réalité de la sainteté. Je teste intégral de l’omelia prononcée dans le cours du Saint Messa dans la Basilique Vatican:

« Chers frères et soeurs, notre célébration eucharistiqueca s’est ouverte avec les esortazione « Réjouissons-nous tous dans les Signore ». La liturgie nous invite à partager la joie céleste des saints, à en savourer la joie. Les saints ne sont pas une exiguë chaste d’élus, mais une foule sans nombre, vers laquelle la liturgie nous exhorte aujourd’hui levare au regard. Dans telle multitude il n’y a pas seulement les saints officiellement reconnus, mais les baptisés de chaque époque et la nation, qui ont cherché d’accomplir avec amore et la fidélité la volonté divine. De la grande partie d’eux nous ne connaissons les faces et même pas les noms, mais avec les yeux de la foi nous les voyons risplendere, comme astres pleins de gloire, dans le firmament de Dieu. Cet aujourd’hui l’Église fête sa dignité de « mère des saints, image de la ville superna » (éternelle- italienne du 1800)  (à Manzoni), et manifeste sa beauté de épouse immaculée de Christ, de source et de modèle de toute sainteté. Elles ne les manquent pas certes des fils riottosi (rétifs) et même rebelles, mais il est dans les saints qu’elle reconnaît ses traits caractéristiques, et vraiment dans eux elle savoure sa joie plus profonde. Dans la première Lecture, l’auteur du livre de l’Apocalypse les décrit comme « une multitude immense, qui personne pouvait compter, de chaque nation, de razza, peuple et langue » (Ap 7,9). Ce je peuple comprend les saints de l’Ancien Testament, à partir des juste Abele et du fidèle Patriarche Abramo, ceux du Nouveau Testament, les nombreux martyres de j’entame du christianisme et les bienheureux et les saints des siècles suivants, jusqu’à à témoins de Christ de notre époque. Il les unit tous la volonté d’incarner dans leur existence l’Évangile, sous l’impulsion de l’eternel animateur de Peuple de Dieu qui est l’Ésprit Saint. Mais « à quelles esclaves notre éloge aux saints, à que les nôtre je rends de gloire, à que cette notre même solennità? ». Avec cette question il commence une célèbre omelia san de Bernardo pour le giorno de Tous les Saints. Elle est question qui nous pourrait se poser même aujourd’hui. Et actuel même elle est répondue que le Saint nous offre : « Nos saints – il dit – n’ont pas besoin de nos honneurs et rien vient à eux de notre culte. Pour une partie mienne, je dois confesser que, lorsque je pense les saints, on sens brûler de grands désirs « (Disc. 2 ; Oeuvre Omnia Cisterc. 5, 364ss). Voilà donc signifié de l’odierna solemnité : en regardant au lumineux exemple des saints risvegliare dans nous le grand désir d’être comme les saints : heureux de vivre voisins à Dieu, dans sa lumière, dans grande famille des amis de Dieu. Être Saint signifie : vivre dans la proximité avec Dieu, vies dans sa famille. Et celle-ci est la vocation de nous tous, avec vigueur réaffirmée de Concilio Vatican II, et aujourd’hui reproposée en mode solennelle à notre attention. Mais comme nous pouvons devenir des saints, amis de Dieu ? À l’interrogatif il peut se répondre d’abord en négatif : pour être saint il ne faut pas accomplir des actions et des oeuvres extraordinaires, né posséder des carismi exceptionnels. Elle est ensuite répondue dans positif : il est nécessaire avant tout d’écouter Jésus et ensuite le suivre sans se perdre d’esprit face aux difficultés. « S’il veut me servir – Il nous met en garde – il me suive, et où il est moi, là il sera même mon esclave. Si m’esclaves, le Père il le honorera « (Gv 12,26). Qui a confiance en Lui et il l’aime avec sincérité, comme le grain enterré dans la terre, il accepte de mourir à elle même. Il en effet sait que qui cherche à avoir sa vie pour si même elle la perd, et qui se donne, il se perd, il trouve vraiment ainsi la vie (Cfr Gv 12.24- 25). l’expérience de l’Église montre que chaque forme de sainteté, aussi en suivant tracée différente, passe toujours pour de la croix, du renoncement si à même. Les biographies des saints décrivent à hommes et femmes qui, dociles aux projets divins, ont affronté parfois des épreuves et des souffrances indescrivibili (indescriptible), persécutions et martyre. Ils ont perseverato dans leur engagement, « ils sont passés à travers les grandes tribolazione – loi dans l’Apocalypse – et ont lavé leurs vêtements en les rendant candides avec le sang de l’Agneau » (v. 14). Leurs noms sont écrits dans le livre de la vie (cfr Ap 20,12) ; ils eternelle demeure est le Paradis. L’exemple des saints est pour nous un encouragement à suivre les mêmes traces, à expérimenter la joie de quel il a confiance en Dieu, parce que l’unique vraie cause de tristesse et d’infelicità pour l’homme est vies lointaine d’Lui. La sainteté exige force constant, mais il est possible à tous parce que, plus qu’oeuvre de l’homme, il est d’abord don de Dieu, trois fois Saint (cfr Is 6,3). Dans la seconde Lecture, l’apôtre Giovanni observe : « Vous voyez quel grand amour nous a donné le Père pour être appelé des fils de Dieu, et nous sommes réellement! » (1 Gv 3,1). Est Dieu, donc, que pour premier il nous a aimés et en Jésus il nous a rendus ses fils adoptes vous. Dans notre vie tout est don de le sien amour : comment rester indifférents devant un ainsi grand mystère ? Comment ne pas répondre à l’amour du Père céleste avec une vie de fils reconnaissants ? En Christ il nous a faits don de tout si même, et il nous appelle à une relation personnelle et profonde avec Lui. Combien plus par conséquent nous imitons Jésus et Nous lui restons unis, très plus entrons dans le mystère de la sainteté divine. Nous découvrons d’être aimé d’Lui en mode infinie, et ceci nous pousse, à la nôtre tourne, à amères les frères. Amères il implique toujours un acte de renoncement si à des mêmes, « perdre si mêmes », et vraiment ainsi il nous rend heureux. Ainsi nous sommes arrivés à l’Évangile de cette fête, à l’annonce des Béatitudes qui peu fait avons senti risuonare dans cette Basilique. Il dit Jésus : Charmés les pauvres en ésprit, charmés affligés, les mythes, charmés ceux qui ont de la faim et des soies de la justice, les miséricordieux, charmés les purs de coeur, les opérateurs de paix, persécutés pour cause de la justice (cfr Mt 5.3-10). En vérité, le Bienheureux pour excellence il est seulement Lui, Jésus. Il est Lui, en effet, le vrai pauvre en ésprit, affligé, le doux, l’affamé et désiré de justice, le miséricordieux, le pur de coeur, l’opérateur de paix ; il est Lui persécuté à cause de la justice. Les Béatitudes nous montrent la physionomie spirituelle de Jésus et ainsi ils expriment son mystère, le mystère Morte et de Risurrezione, de Passion et de joie des Risurrezione. Ce mystère, qui est mystère de la vraie béatitude, nous invite à la sequela de Jésus et ainsi au chemin vers d’elle. Dans la mesure dans laquelle nous accueillons sa proposition et nous nous posons à sa sequela – chacune dans ses circonstances – même nous pouvons participer de sa béatitude. Avec l’impossible lui devient possible et même un chameau passe pour la cruna de l’aiguille (cfr Mc 10,25) ; avec son aide, seul avec son aide nous est donné de devenir parfait comme est parfait le Père céleste (cfr Mt 5,48). Chers frères et soeurs, nous entrons maintenant dans le coeur de la Célébration éucharistique, stimule et nourriture de sainteté. Sous peu on fera à présent dans la mode plus haut Christ, vraie Vies, auxquelles, comme aux tralci (sarment), ils sont unis les fidèles qui sont sur la terre et les saints du ciel. Plus d’étreinte par conséquent sera la communion de l’Église pellegrinante dans le monde avec l’Église triomphante dans la gloire. Dans le Prefazio proclameremo (de proclamer) que les saints sont pour nous amis et modèles de vie. Invochiamoli parce qu’ils nous aident à les imiter et engageons nous à répondre avec générosité, comme ils les ont faits, alla divine appelée. Invochiamo spécialement Marie, Mère des Signore et miroir de toute sainteté. Elle, le Tout Saint, tu nous fais fidèles des disciples de son fils Jésus Christ ! Amen.
———————————- 
Le teste intégral des mots du Saint Padre avant récite de l’ « Angelus Domini ».

Chers frères et soeurs, nous célébrons aujourd’hui la solennità de Tous les Saints et demain nous commémorerons les fidèles défunts. Ces deux répétitions liturgiche, beaucoup senties, nous offrent une singulière opportunité pour méditer sur la vie eternelle. L’uomo moderne l’attend encore cette vie eternelle, ou retient qu’elle appartienne à une mythologie maintenant dépassée ? Dans notre temps, plus que dans le passé, il s’est tellement absorbé des choses terrene, que talora réussit difficile penser à Dieu comme protagoniste de l’histoire et de notre même vie. L’existence humaine cependant, pour sa nature, est tendue à quelque chose de plus grand, qui la dépasse ; il est insopprimibile dans l’être humain l’anelito à la justice, à la vérité, au bonheur plein. Devant l’énigme des mortes, ils sont vivant dans beaucoup le désir et l’éspoir de retrouver dans l’au-delà ses chers. Comme aussi elle est fort la conviction d’un jugement final qui rétablisse la justice, l’attente d’une définitive comparaison dans laquelle à chacune il soit donné combien lui a dû. « Vie eternelle » pour nous chrétiens elle n’indique pas cependant seulement une vie qui dure toujours, mais plutôt une nouvelle qualité d’existence, pleinement plongée dans l’amore de Dieu, qui libre du mal et des mortes et nous pose en communion sans fin avec tous les frères et des soeurs qui participent des mêmes Amore. L’éternité, par conséquent, peut être déjà présente à centre de la vie terrena et temporel, lorsque l’âme, au moyen de la grâce, est jointe à Dieu, son j’achève de la fondation. Tout passe, seulement Dieu pas muette. Il dit un Salmo : « Ils viennent moins ma chair et mon coeur ; / mais la roche de mon coeur est Dieu,/est Dieu mon sort toujours « (Sal 72/73,26). Tous les chrétiens, appelés à la sainteté, est des hommes et des femmes qui vivent solidement ancrés à cette » Roche « ; ils ont les pieds sur la terre, mais le coeur déjà dans le Ciel, la définitive demeure des amis de Dieu. Chers frères et soeurs, nous méditons sur ces réalités avec l’esprit tourne vers les nôtre achève et définitif je destine, qu’il donne sens aux situations quotidiennes. Nous ravivons le joyeux sentiment de la communion des saints et les lasciamoci attirer d’eux vers le but de notre existence : la rencontre tu fais à visage avec Dieu. Nous prions que celui-ci soit l’héritage de tous les fidèles défunts, pas seulement de nos chers, mais même de toutes les âmes, spécialement ces plus oubliées et besogneuses de la misericordia divine. Les Vergine Marie, Reine de Tous les Saints, tu nous guides à choisir à tout instant la vie eternelle, la « vie du monde qui viendront » – comme nous disons dans Credo ; un monde déjà inauguré des risurrezione de Christ, et nous pouvons dont hâter l’venue avec notre conversion sincère et des oeuvres de charité.
————————–
Le salutation à les pèlerins de langue français
 Je salue avec joie les pèlerins de langue française, en particulier les Orphelins Apprentis d’Auteuil, venus nombreux à l’occasion du 140e anniversaire de la Fondation d’Auteuil. Rendant grâce pour l’engagement des éducateurs, j’invite les jeunes à grandir avec confiance sous le regard de Dieu, qui veut les aider à développer le meilleur d’eux-mêmes et à marcher dans la voie de la sainteté, à l’exemple du Bienheureux Daniel Brottier et de tous les saints que nous fêtons aujourd’hui. Que Dieu vous bénisse tous!  
 

Angelus Domini (in latino)

Angelus Domini nuntiavit Marìae,
et concepit de Spiritu Sancto.
Ave Maria …

Ecce Ancilla Domini,
fiat mihi secundum verbum tuum
Ave Maria …

Et Verbum caro factum est,
et habitavit in nobis.
Ave Maria …

Ora pro nobis, sancta Dei Genitrix.
Ut digni efficiamur promissionibus Christi.
Gratiam tuam, quaesumus, Domine,
mentibus nostris infunde;
ut qui, angelo nuntiante,
Christi Filii tui incarnationem cognovimus,
per passionem eius et crucem,
ad resurrectionis gloriam perducamur.
Per eundem Christum Dominum nostrum.
Amen.
Gloria Patri …

 

 

le texte de l'Homélie du Pape pour la fête des Toutssaint dans la Basilique de Saint Pierre dans fête 

Pope Benedict XVI holds his papal staff as he arrives for a Mass in St. Peter’s Basilica at the Vatican on the occasion of the Roman Catholic festivity of All Saints Day, Wednesday Nov. 1, 2006. The pontiff is scheduled to visit Turkey from Nov. 28 to Dec. 1 2006. (AP Photo/Alessandra Tarantino)

 

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