j’ai fait la traduction – comme d’habitude – avec un traducteur on line + un dictionnaire, mais elle a été particulièrement difficile; le texte, cependant, et vraiment important, du Zenit.org;
Donnée publication : 2006-11-10
Discours de
le Pape aux Évêques suisses
CITTA’ DEL VATICANO – vendredi, 10 novembre 2006 (ZENIT.org). –
Nous publions le discours qui Bénit XVI a prononcé ce vendredi en rencontrant les Évêques suisses.
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Éminences, Excellences, chers Confraternel ! Je voudrais avant tout vous saluer de coeur et exprimer ma joie, parce qu’il nous est donné de compléter maintenant la visite pastorale, interrompue en 2005, en ayant ainsi la possibilité de travailler encore une fois ensemble sur tout le panorama de questions qui nous préoccupent. J’ai encore un vivant souvenir de
la Visite à limina de 2005, lorsque dans
la Congrégation pour
la Doctrine de
la Foi nous avons parlé ensemble de problèmes qui seront nouvellement en discussion même dans ces jours. Elle est encore bien présente l’atmosphère d’engagement intérieur alors, pour faire en sorte que le Mot des Seigneur soit vit et rejoigne les coeurs des hommes de ce temps, parce que l’Église soit pleine de vie. Dans notre commune situation difficile à cause d’une culture sécularisée , nous cherchons à comprendre la mission confiée nous des Seigneur et à lui accomplir le mieux possible. Je n’ai pas pu préparer un vrai discours ; je voudrais maintenant, en vue des individuels grands complexes de problèmes que nous toucherons, faire seulement quelque « première tentative », qu’il n’entend pas présenter des affirmations définitives, mais veut seulement entamer l’entretien. Elle est celle-ci une rencontre entre les Évêques suisses et les divers Ministères de
la Curia, dans lesquels ils se rendent visibles et sont représentées les individuels secteurs de les nôtre épelle pastorale. À quelques de je eux voudrais chercher à offrir quelque commente. En accord avec mon passé, je commence avec
la Congrégation pour
la Doctrine de
la Foi, ou mieux : avec il craint de la foi. Déjà dans l’homélie j’ai cherché de dire que, dans tout le tourment de notre temps, la foi doit vraiment avoir la priorité. Il y à deux générations, elle pouvait peut-être être encore présupposée comme une chose naturelle : on croissait dans la foi ; elle, dans quelque mode, était simplement présente comme une partie de la vie et il ne devait pas être cherché particulièrement. Il avait besoin d’être modelé et approfondie, il apparaissait cependant comme une chose évident. Aujourd’hui il apparaît naturel le contraire, qui il n’y en fond a pas possible croire, que de fait Dieu il est absent. En tout cas, la foi de l’Église semble une chose lointaine du passé. Ainsi même des chrétiens actifs ont l’idée qu’il convienne choisir pour elle, de l’ensemble de la foi de l’Église, les choses qu’on retient encore soutenables aujourd’hui. Et surtout on nous donne à faire pour accomplir au moyen de l’engagement pour les hommes, pour ainsi dire, en même temps même son devoir vers Dieu. Ceci, cependant, est entame d’une espèce de « justification au moyen des oeuvres » : l’homme justifie si le même et monde dans lequel il déroule ce qui semble clairement nécessaire, mais manque la lumière intérieure et l’âme de tout. Donc je crois que soit important prendre nouvellement conscience du fait qui la foi est je centre de tout – « Fides tien toi salvum fecit » dit les Seigneur répétéement aux quelles il a guéri. Il n’est pas touche physique, n’est pas le geste extérieur qui décide, mais le fait que ces malades ont cru. Et même nous pouvons servir les Seigneur en mode vive seulement si la foi devient forte et il se rend présent dans son abondance. Je voudrais souligner dans ce conteste deux points cruciaux. Premier : la foi est surtout foi en Dieu. Dans le christianisme il ne s’agit pas d’un vraiment grand fardeau de choses divergées, mais tout ce qui dit Credo et que je développe de la foi a déroulé existe seulement pour rendre plus clair à notre vue la face de Dieu. Il existe et Il vit ; dans Nous lui croyons ; devant Lui, en vue d’Lui, dans être- avec Lui et d’Nous lui vivons. Et en Jésus Christ, Il est, pour ainsi dire, corporellement avec nous. Cette centralité de Dieu doit, en second lieu me, apparaître en mode complètement nouvelle dans tout les nôtre penser et actionner. Il est ce qu’ensuite âme même les activités qui, en cas contraire, peuvent facilement déchoir en activisme et devenir vide. Celle-ci est la première chose que je voudrais souligner : que la foi en réalité regarde décidément vers Dieu, et ainsi nous pousse aussi à regarder vers Dieu et à nous mettre en mouvement vers d’Lui. L’autre chose est que nous ne pouvons pas nous inventer mêmes la foi en la composant de pièces « soutenables », mais que nous croyons ensemble avec l’Église. Tout ce qui enseigne l’Église nous ne pouvons pas comprendre, tout ne doit pas être présent dans toute vie. Il est cependant important que nous sommes avec- croyants dans grand Moi de l’Église, dans le sien qui vit, en nous trouvant ainsi dans la grande communauté de la foi, dans ce grand sujet, dans lequel Tu de Dieu et Je de l’homme vraiment ils se touchent ; dans lequel le passé du mots de l’ Écriture devient présent, les temps compenetrano (con = avec + pénétrer) à événement, le passé est présent et, en s’ouvrant vers le futur, il laisse entrer en temps le fulgore de l’éternité, de l’Eternel. Cette forme complète de la foi, exprimée dans Credo, d’une foi dans et avec l’Église comme sujet vivant, dans lequel il actionne les Seigneur – cette forme de foi nous devrions chercher à mettre vraiment à centre de nos activités. Nous le voyons même aujourd’hui en mode très clair : je développe, là où il a été promu en mode exclusive sans nourrir l’âme, il apporte des dommages. Alors les capacités technicien croissent, oui, mais d’elles elles émergent surtout des nouvelles possibilités de destruction. Si ensemble avec l’aide en faveur des Pays dans de je développe, ensemble avec l’apprentissage de tout ce qui l’homme est capable de faire, de tout ce qui son intelligence a inventé et que sa volonté rend possible, il ne vient pas en même temps même éclairée son âme et n’arrive pas la force de Dieu, apprend surtout à se détruire. Et pour ceci, je crois, doit nouvellement se faire forte dans nous la responsabilité missionnaire: si nous sommes des joyeuse de notre foi, on sent obligé à en parler aux autres. Il est ensuite dans les mains de Dieu dans quelle mesure les hommes pourront l’accueillir. De ce j’argue voudrais maintenant passer à l’ »Éducation Catholique », en touchant deux secteurs. Une chose que, je pense, cause à tous nous une « préoccupation » dans le sens positif du terme, est le fait qui la formation théologique des futurs prêtres et des autres enseignants et des annonces de la foi doive être bon ; nous avons donc du besoin de bonnes Facultés théologiques, de bons séminaires majeurs et d’adéquats professeurs de théologie qui communiquent pas seulement des connaissances, mais forment à une foi intelligente, ainsi que foi devient intelligence et intelligence devient foi. À cet égard j’ai un désir très spécifique. Nos exégèse il a fait des grands progrès ; nous savons vraiment beaucoup sur développe des témoins, sur la subdivision des sources etc, savons quel signifié peut avoir eu le mot dans cette époque… Mais nous voyons même toujours de plus que les exégèse deviens historique- critique, s’il reste seulement historique- critique, il renvoie le mot dans le passé, la rend un mot des temps alors, un mot que, en fond, il ne nous parle pas tout à fait ; et nous voyons que le mot se réduit en fragments parce que, justement, elle se dénoue dans tant de sources différentes. Concilio, du Verbum, il nous a dit que la méthode historique- critique est une dimension essentielle des exégèse, parce qu’il fait une partie de la nature de la foi de l’instant qu’elle est « factum historicum » Nous ne croyons pas simplement à une idée ; le christianisme n’est pas une philosophie, mais un événement qui Dieu a posé dans ce monde, est une histoire qui Il en mode réelle a formé et forme comme histoire ensemble avec nous. Pour ceci, dans notre lecture de
la Bible j’attends historique doit vraiment être présent en son sérieux et exigence : nous devons effectivement reconnaître l’évènement et, justement, ceci « faire histoire » de la part de Dieu dans le sien actionner. Mais du Verbum il ajoute que l’Écriture, qui conséquente ment doit être lue en second lieu les méthodes historiques, doit être lue même comme unité et doit être lue dans la communauté vivante de l’Église. Ces deux dimensions manquent en grands secteurs des exégèse. L’unité d’une Écriture n’est pas un fait purement historique- critique, bien que l’ensemble, même du point de vue historique, soit un procès intérieur du Mot qui, lue et comprise toujours en mode nouvelle dans le cours suivant de relectures, continue à mûrir. Mais cette unité est dans définitive, justement, un fait théologique : celle-ci écrite est une unique Écriture, compréhensibles jusqu’au bout seulement si lus dans l’analogie des fidei comme unité dans laquelle il y a un progrès vers Christ et, inversement, Christ attrait à lui toute l’histoire ; et si, d’autre part, ceci a sa vitalité dans la foi de l’Église. Avec autres mots, il m’est beaucoup à coeur que les théologien apprennent à des légères et à des amères l’Écriture ainsi comme, en second lieu du Verbum, Concilio l’a voulu : qu’ils voient l’unité intérieure de l’Écriture – une chose aidée aujourd’hui des « exégèse canonique » (que sans autre on trouve encore dans un timide stade initial) – et qu’ensuite d’ils elle fassent une lecture spirituelle, qui n’est pas une chose extérieure de caractère édifiant, mais par contre se plonger intérieurement dans la présence du Mot. Il me semble épelle très important faire quelque chose en ce sens, contribuer pour qu’à côté, avec et dans les exégèse historique- critique elle soit donnée vraiment une introduction à l’Écriture vit comme actuel Mot de Dieu. Je ne sais pas comme le réaliser concrètement, mais je crois que, soit dans le domaine académique, soit dans le séminaire, soit dans un cours d’une introduction, on puisse trouver des déesses professeurs adaptés, pour qu’elle se produise cette rencontre actuelle avec l’Écriture dans foi de l’ Église – une rencontre sur la base de quel devient ensuite possible l’annonce. L’autre chose est les catéchèse qui, justement, dans les derniers cinquante ans environ, d’un coté, ont fait des grands progrès méthodologiques, de l’autre, cependant, s’est perdue beaucoup dans l’anthropologie et dans la recherche de points de référence, de sorte que on ne rejoigne souvent même pas plus les contenus de la foi. Je peux le comprendre : même au temps dans lequel j’étais vicaire – donc 56 il y à des ans – résultais déjà très difficile annoncer dans l’école pluraliste, avec beaucoup de parents et enfants pas croyants, la foi, parce qu’elle apparaissait un monde totalement étranger et irréel. Aujourd’hui, naturellement, la situation est encore aggravée. Toutefois il est important que dans les catéchèse, qui comprennent les milieux de l’école, de la paroisse, de la communauté etc, la foi continue à être pleinement valorisée, que c’est-à-dire les enfants apprennent vraiment qu’est-ce que soit « création », qu’est-ce que soit « histoire du salut » réalisé de Dieu, qu’est-ce que, qui soit Jésus Christ, ce qu’ils soient les Sacramenti, le quel soit objet de notre espoir… Je pense que nous tous devons, comme toujours, nous engager beaucoup pour un renouvellement des catéchèse, dans laquelle soit fondamental le courage de témoigner sa foi et de trouver les modalités pour qu’elle soit comprise et accueilli. Puisque l’ignorance religieuse a rejoint aujourd’hui un niveau épouvantable. Et toutefois, en Allemagne les enfants ont au moins dix ans de catéchèse, devraient donc en fond savoir beaucoup de choses. Pour ceci nous devons certainement réfléchir de manière sérieuse sur nos possibilités de trouver des voies pour communiquer, même si en mode simple, les connaissances, pour que la culture de la foi soit présente. Et maintenant quelque observation sur le « Culte divin ». L’Année Eucharistique, à cet égard, il nous a offerts beaucoup. Je peux dire que les Exhortation post-sinodale est à bon point. Il sera sûrement un grand enrichissement. En outre nous avons eu le document de
la Congrégation pour le Culte divin environ la juste célébration de l’Eucharistie, chose très importante. Je crois que suite à tout cela man main devient clair que
la Liturgie n’est pas une « auto- manifestation » de la communauté laquelle, comme il se dit, dans elle entre en scène, mais il est par contre sortir de la communauté des simple « être si- mêmes » et accéder au grand je banquette des pauvres, l’entrée dans la grande communauté vivante, dans laquelle Dieu mêmes nous il nourrit. Ce caractère universel de
la Liturgie doit entrer nouvellement dans la conscience de tous. Dans l’Eucharistie nous recevons une chose que nous ne pouvons pas faire, mais entrons par contre dans quelque chose de plus grand qui deviennent les nôtre, vraiment lorsque nous délivrons à cette chose plus grande en cherchant de célébrer
la Liturgie vraiment comme Liturgie de l’Église. Il est ensuite joint avec cela même le célèbre problème de l’homélie. Du point de vue purement fonctionnelle je peux le comprendre beaucoup bien : peut-être le curé est fatigue ou a prêché déjà répétée ment ou est âgé et ses charges dépassent ses forces. Si alors il y a un assistant pour le pastorale qu’il est très capable dans interpréter le Mot de Dieu en mode convaincante, viens spontané dire : parce qu’il ne devrait pas parler l’assistant pour le pastorale ; il réussit meilleure, et ainsi les gens en tirent majeur profit. Mais celle-ci, justement, est la vision purement fonctionnelle. Il faut par contre tenir compte du fait qui l’homélie n’est pas une interruption de
la Liturgie pour une partie discursif, mais qu’elle appartient à l’évènement sacramentale, en portant le Mot de Dieu dans le présent de cette communauté. Il est l’instant, où vraiment cette communauté comme sujet veut être appel en cause pour être portée à écoute et à l’acceptation du Mot. Cela signifie que l’homélie même fait une partie du mystère, de la célébration du mystère, et donc ne peut pas simplement être délié à lui. Surtout, cependant, je retiens même important que le prêtre ne soit pas réduit au Sacramento et à la juridiction – dans la conviction que tous les autres tâches pourraient être des thèses même d’autres – mais qu’on conserve l’intégrité de son fonction. Le sacerdoce est une chose même belle seulement s’il y a d’accomplir d’une mission qui est un tout un, dont ne peut pas se couper ici et là quelque chose. Et à cette mission il appartient déjà toujours – même dans le culte ancien- testamentaire – du devoir du prêtre de relier avec le sacrifice le Mot qui est une partie intégrant de l’ensemble. Dal je vise de vue purement pratique devons ensuite certainement pourvoir à fournir aux prêtres des de les aides nécessaires parce qu’ils puissent dérouler en mode juste même le ministère de
la Mot. En principe, cette unité intérieure soit de l’essence de
la Célébration eucharistique, soit de l’essence du ministère sacerdotal, est très importante. Selon il craint, que je voudrais toucher dans ce conteste, concerne le sacrement de
la Pénitence les pratique dans ceux-ci environ cinquante derniers ans de laquelle elle est progressivement diminuée. Des merci à Dieu existent cloître, abbayes et sanctuaires, vers lesquels les gens vont en pèlerinage et où leur coeur s’ouvre et il est même prêt à l’aveu. Ce Sacramento nous le devons vraiment apprendre de nouveau. Déjà d’un point de vue purement anthropologique il est important, d’une partie, reconnaître la coulpe et, de l’autre, exercer je pardonne. Le diffus manque d’une conscience de la coulpe est un phénomène préoccupant de notre temps. Le don du sacrement de
la Pénitence consiste donc pas seulement dans le fait que nous recevons pardonne, mais même dans le fait qu’on rend compte, avant tout, de notre besoin de je pardonne ; déjà avec cela nous sommes purifiés, nous transformons intérieurement et pouvons ensuite comprendre même mieux les autres et les pardonner. La reconnaissance de la coulpe est une chose élémentaire pour l’homme – il est malade si ne l’avertit pas plus – et aussi important elle est pour l’expérience libératrice de recevoir lui pardonne. Pour les deux les choses le sacrement de
la Réconciliation est le lieu décisif d’exercice. En outre là la foi devient une chose entièrement personnelle, ne se cache pas plus dans la collectivité. Si l’homme affronte le défi et, dans sa situation de besoin de je pardonne, se présente, pour ainsi dire, sans défense devant il y à Dieu, alors l’expérience émouvante d’une rencontre entièrement personnelle avec l’ amour de Jésus Christ. Finalement je voudrais encore m’occuper du ministère épiscopal. De ceci, en fond, nous avons implicitement déjà parlé constamment. Il me semble important que les Évêques, comme successifs des Apôtres, d’une partie portent vraiment la responsabilité des Églises locales qui les Seigneur les a confiées, en faisant en sorte que là l’Église comme Église de Jésus Christ croisse et vivent. De l’autre partie, ils doivent ouvrir les Églises locales à l’universel. Vues les difficultés que les Orthodoxes ont avec les Églises autocéphale, comme même les problèmes de nos amis protestants face à la désagrégation des Églises régionales, on rend compte de quel grand signifié ait l’universalité, combien soit important que l’Église s’ouvre à la totalité, en devenant dans l’universalité vraiment une unique Église. De ceci, d’autre part, il est capable seulement si dans le territoire le sien vraiment est vivant. Cette communion doit être alimentée des Évêques ensemble avec le Successeur de Pietro dans l’esprit d’une consciente succession au Collège des Apôtres. Tous nous devons nous forcer continûment de trouver dans ce rapport réciproque le juste équilibre, de sorte que l’Église locale ait vécu son authenticité et, en même temps, l’Église universelle de cela reçoive un enrichissement, pour que les deux offrent et reçoivent et ainsi il croisse l’Église des Seigneur. L’Évêque Grab a déjà parlé des fatigues de l’ oecuménisme ; il est un champ que je dois seulement vous confier au coeur de tous. Dans
la Suisse vous êtes posés à comparaison quotidiennement avec ce épelle qu’il est fatigant, mais crée même joie. Je pense qu’importants ils soient, d’un coté, les rapports personnels, dans lesquels nous nous reconnaissons et on estime un autre en mode immédiate comme croyants et, comme personnes spirituelles, nous nous purifions et nous nous aidons même mutuellement. De l’autre côté, il traite – comme il a déjà dit l’Évêque Grab – de se faire garants des valeurs essentielles, portantes, provenances de Dieu de notre société. Dans ce champ, tous ensemble – protestants, catholiques et orthodoxes – nous avons un grand épelle. Et ils sont joyeuse qui croisse la conscience de ceci. Dans l’occident elle est l’Église en Grèce qui, aussi en ayant de temps en temps quelque problème avec les Latins, dit toujours plus clairement : en Europe nous pouvons dérouler les nôtre épelle seulement si nous nous engageons ensemble pour le grand héritage chrétien. Même l’Église en Russie le voit toujours de plus et autant nos amis protestants sont conscients de ce fait. Je pense que, si nous apprenons à agir dans ce champ ensemble, nous pouvons réaliser une bonne partie d’unité même là où la pleine unité théologique et sacramentale il n’est pas encore possible. Pour conclure je voudrais des vous exprimer; encore une fois ma joie pour Le vôtre visite, vous souhaiter beaucoup d’entretiens fructueux pendant ces jours.
[ Traduction de l’original dans allemand distribuée du Saint Siège, © Copyright 2006 – Librairie Editrice Vatican