Archive pour novembre, 2006

Programme du voyage du Pape Benoît XVI

13 novembre, 2006

du Zenith: 

2006-11-12

Turquie : Une visite sous le signe du dialogue œcuménique

Programme du voyage du pape Benoît XVI

ROME, Dimanche 12 novembre 2006 (ZENIT.org) – Le voyage de Benoît XVI en Turquie est sous le signe du dialogue œcuménique. En effet, le pape rencontrera le patriarche Bartholomaios Ier, et participera à la sainte liturgie de la saint André. Une déclaration conjointe est annoncée.Le pape rencontrera également, à la cathédrale arménienne apostolique, S. B. Mesrob II, puis le métropolite syro-orthodoxe.

En outre, le pape rencontrera le grand rabbin de Turquie.

Au cours de sa visite, le pape doit présider deux fois la messe, à Ephèse et à Istanbul, où il dînera avec les membres de la conférence des évêques catholiques de Turquie.

Enfin, le pape rencontrera trois autorités de l’Etat : le président, le vice premier ministre et le président pour les Affaires religieuses, ainsi que le Corps diplomatique.

La salle de presse du Saint-Siège a publié samedi le programme détaillé du voyage du pape en Turquie du mardi 28 novembre au vendredi 1er décembre.

En tout, le voyage sera l’occasion de huit déclarations, allocutions, discours ou homélies de Benoît XVI.

Voici le programme de chaque journée :

Mardi 28 novembre : Ankara

9 heures : Départ de l’aéroport romain Leonardo da Vinci, de Fiumicino
13 heures : Arrivée à l’aéroport international Esemboga d’Ankara
Visite du mausolée de Mustafa Kemal Atatürk (1881-1938)
Cérémonie de bienvenue et visite de courtoisie au président de la République
Rencontre avec le vice Premier ministre

Rencontre avec le président pour les Affaires religieuses
Premier discours de Benoît XVI (1)

Rencontre avec le Corps diplomatique
Deuxième discours de Benoît XVI (2)

Mercredi 29 novembre : Ephèse et Istanbul

Ephèse : Messe
Homélie de Benoît XVI (3)

Istanbul : Visite et prière à l’église patriarcale Saint-Georges et rencontre privée avec le patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomaios Ier
Salutation de Benoît XVI (4)

Jeudi 30 novembre : Istanbul

Divine liturgie en l’église patriarcale Saint-Georges
Discours du pape (5) et déclaration conjointe (6)

Visite au Musée de Sainte-Sophie

Visite de prière à la cathédrale arménienne apostolique et rencontre avec S. B. Mesrob II
Salutation de Benoît XVI (7)

Rencontre avec le Métropolite syro-orthodoxe

Rencontre avec le grand rabbin de Turquie

Rencontre et dîner avec les membres de la conférence épiscopale catholique

Vendredi 1er décembre : Istanbul

Messe en la cathédrale du Saint-Esprit
Homélie de Benoît XVI (8)

Cérémonie d’adieu à l’aéroport d’Istanbul

13 heures 15 : Départ pour Rome

14 h 45 : Arrivée à l’aéroport romain de Ciampino

Fuseaux horaires : il y a une heure de décalage entre l’Italie et la Turquie.
Italie: + 1 UTC
Turquie: + 2 UTC
Programme du voyage du Pape Benoît XVI dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI waves as he leads his weekly general audience in Saint Peter’s Square at the Vatican November 8, 2006. REUTERS/Max Rossi (VATICAN)

L’ « Angelus » de le Pape. L’appel contre la faim

12 novembre, 2006

du site italien Korazym: 

 L’ « Angelus » de le Pape. L’appel contre la faim d’Alexandre Renzo – de Mattia Blancs/12/11/2006

Appel de la papa contre la faim dans le monde, à travers l’appel à la responsabilité pour convertir le modèle de je développe global, mais même adopter des styles de vie et de je consomme des sobre, compatibles avec des critères de justice.

 Les mots du Saint Père à l’Angelus Domini dans
la XXXII Dimanche du Temps Ordinaire, 12 novembre 2006 Jamais donner  »pour escompté le pain quotidien  », mais  »reconnaître dans lui un don de la « Providence  ». Une partie de cette thèse la réflexion de la papa à l’Angelus, sur craint des ressources de la terre,  »un don destiné de Dieu pour l’entière famille humaine  ». Pourtant, 800 millions de personnes souffrent pour la faim, une situation qui  »ne fait pas signe à se résoudre  ». Qu’est-ce que faire, donc ? Pour Bénit XVI il est important  »éliminer les causes structurelles liées au système de gouvernement de l’économie mondiale  », mais même agir sur les comportements individuels, en adoptant  »des styles de vie et de je consomme  »différents.  »La Madonna – il prie la papa – nous aides à promouvoir dans chaque partie du globe la justice et la solidarité  ». Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus des Dominations : Chers frères et soeurs ! Aujourd’hui on célèbre en Italie l’annuelle Journée du Remerciement, qui a pour craint : « La terre : un don pour l’entière famille humaine « . Dans nos familles chrétiennes enseigne aux petits à se remercier toujours les Seigneur avant de prendre la nourriture, avec une brève prière et je marque de la croix. Cette coutume doit être conservée ou redécouverte, parce qu’il éduque à ne pas considérer comme acquis le « pain quotidien », mais à reconnaître dans lui un don de
la Providence. Nous devrions nous habituer à bénir le Créateur pour chaque chose : pour l’air et pour l’eau, précieux éléments qui sont à fondation de la vie sur notre planète ; comme pures pour les aliments que je traverse la fécondité de la terre Dieu nous offre pour notre subsistance. À ses disciples Jésus il a enseigné à prier en demandant au Père céleste pas « mien », mais à « notre » pain quotidien. Il a voulu ainsi que chaque homme on sente coresponsable de ses frères, parce qu’à personne il manque le nécessaire pour vivre. Les produits de la terre sont un don destiné de Dieu « pour l’entière famille humaine ». Et ici nous touchons un point beaucoup qui a mal : le drame de la faim qui, malgré même de récent soit affronté dans les plus hauts sièges institutionnels, comme les Nations Unies et en particulier FAO, reste toujours très grave. J’achève Rapport annuel de FAO a confirmé combien l’Église sait très bien de l’expérience directe des communautés et des missionnaires : que c’est-à-dire au-delà de 800 millions de personnes ils vivent dans état de sous-alimentation et trop de personnes, spécialement enfant, ils meurent de faim. Comment faire front à cette situation qui, aussi dénoncée répétée ment, ne fait pas signe à se résoudre, au contraire, pour certains vers on va en aggravant ? Certainement il faut éliminer les causes structurelles liées au système de gouvernement de l’économie mondiale, qui destine la plupart des ressources de la planète à une minorité de la population. Telle injustice a été stigmatisée en divergées occasions de vénérés mes Prédécesseur les Esclaves de Dieu : Paolo VI et Giovanni Paolo II. Pour peser sur large échelle il est nécessaire « de convertir » le modèle de développe global ; ils le demandent maintenant pas seulement le scandale de la faim, mais même les émergences ambiantes et énergétiques. Toutefois, chaque personne et chaque famille peut et doit faire quelque chose pour soulager la faim dans le monde en adoptant un style de vie et de je consomme compatible avec la sauvegarde de créé et avec des critères de justice vers qui il cultive la terre dans chaque Pays. Chers des frères et des soeurs, aujourd’hui,
la Journée du Remerciement nous invite, d’une partie, à rendre des merci à Dieu pour les fruits du travail agricole ; de l’autre, il encourage à nous engager concrètement pour vaincre flagelle de la faim. Nous aides les Vierge Marie à être reconnaissant pour les bénéfices de
la Providence et à promouvoir dans chaque partie du globe la justice et la solidarité.

d’Alexandre Renzo – de Mattia Blancs/12/11/2006

Appel de la papa contre la faim dans le monde, à travers l’appel à la responsabilité pour convertir le modèle de je développe global, mais même adopter des styles de vie et de je consomme des sobre, compatibles avec des critères de justice.

 Les mots du Saint Père à l’Angelus Domini dans
la XXXII Dimanche du Temps Ordinaire, 12 novembre 2006 Jamais donner  »pour escompté le pain quotidien  », mais  »reconnaître dans lui un don de la « Providence  ». Une partie de cette thèse la réflexion de la papa à l’Angelus, sur craint des ressources de la terre,  »un don destiné de Dieu pour l’entière famille humaine  ». Pourtant, 800 millions de personnes souffrent pour la faim, une situation qui  »ne fait pas signe à se résoudre  ». Qu’est-ce que faire, donc ? Pour Bénit XVI il est important  »éliminer les causes structurelles liées au système de gouvernement de l’économie mondiale  », mais même agir sur les comportements individuels, en adoptant  »des styles de vie et de je consomme  »différents.  »La Madonna – il prie la papa – nous aides à promouvoir dans chaque partie du globe la justice et la solidarité  ». Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus des Dominations : Chers frères et soeurs ! Aujourd’hui on célèbre en Italie l’annuelle Journée du Remerciement, qui a pour craint : « La terre : un don pour l’entière famille humaine « . Dans nos familles chrétiennes enseigne aux petits à se remercier toujours les Seigneur avant de prendre la nourriture, avec une brève prière et je marque de la croix. Cette coutume doit être conservée ou redécouverte, parce qu’il éduque à ne pas considérer comme acquis le « pain quotidien », mais à reconnaître dans lui un don de
la Providence. Nous devrions nous habituer à bénir le Créateur pour chaque chose : pour l’air et pour l’eau, précieux éléments qui sont à fondation de la vie sur notre planète ; comme pures pour les aliments que je traverse la fécondité de la terre Dieu nous offre pour notre subsistance. À ses disciples Jésus il a enseigné à prier en demandant au Père céleste pas « mien », mais à « notre » pain quotidien. Il a voulu ainsi que chaque homme on sente coresponsable de ses frères, parce qu’à personne il manque le nécessaire pour vivre. Les produits de la terre sont un don destiné de Dieu « pour l’entière famille humaine ». Et ici nous touchons un point beaucoup qui a mal : le drame de la faim qui, malgré même de récent soit affronté dans les plus hauts sièges institutionnels, comme les Nations Unies et en particulier FAO, reste toujours très grave. J’achève Rapport annuel de FAO a confirmé combien l’Église sait très bien de l’expérience directe des communautés et des missionnaires : que c’est-à-dire au-delà de 800 millions de personnes ils vivent dans état de sous-alimentation et trop de personnes, spécialement enfant, ils meurent de faim. Comment faire front à cette situation qui, aussi dénoncée répétée ment, ne fait pas signe à se résoudre, au contraire, pour certains vers on va en aggravant ? Certainement il faut éliminer les causes structurelles liées au système de gouvernement de l’économie mondiale, qui destine la plupart des ressources de la planète à une minorité de la population. Telle injustice a été stigmatisée en divergées occasions de vénérés mes Prédécesseur les Esclaves de Dieu : Paolo VI et Giovanni Paolo II. Pour peser sur large échelle il est nécessaire « de convertir » le modèle de développe global ; ils le demandent maintenant pas seulement le scandale de la faim, mais même les émergences ambiantes et énergétiques. Toutefois, chaque personne et chaque famille peut et doit faire quelque chose pour soulager la faim dans le monde en adoptant un style de vie et de je consomme compatible avec la sauvegarde de créé et avec des critères de justice vers qui il cultive la terre dans chaque Pays. Chers des frères et des soeurs, aujourd’hui,
la Journée du Remerciement nous invite, d’une partie, à rendre des merci à Dieu pour les fruits du travail agricole ; de l’autre, il encourage à nous engager concrètement pour vaincre flagelle de la faim. Nous aides les Vierge Marie à être reconnaissant pour les bénéfices de
la Providence et à promouvoir dans chaque partie du globe la justice et la solidarité.

poesie – à Pape Benoît – 11.11.06

11 novembre, 2006

C’est très difficile traduire un poésie en français, j’espère que elle est apprécié également -  je l’ai écrite à un heure de cette nuit

À Pape Benoît – 11-11-06

 °°° 

Petits plis du visage

Comme se courber du don

  °°° 

Il lisse la joue

 Détendue, innocente,

  °°° 

Il bat le cœur 

les heures divines

 °°°

  Doux et maternel Père

 Blanche-vêtu amour

°°°

Gabriella

ydomenica15ottobreperlacanonizzazione13.jpg

evangile de demaine 11-11-06 et commentaire

11 novembre, 2006

par EAQ: 

Evangile de Jésus-Christ selon saint Luc 16,9-15.

Eh bien moi, je vous le dis : Faites-vous des amis avec l’Argent trompeur, afin que, le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles.
Celui qui est digne de confiance dans une toute petite affaire est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est trompeur dans une petite affaire est trompeur aussi dans une grande.
Si vous n’avez pas été dignes de confiance avec l’Argent trompeur, qui vous confiera le bien véritable ?
Et si vous n’avez pas été dignes de confiance pour des biens étrangers, le vôtre, qui vous le donnera ?
Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il détestera le premier, et aimera le second ; ou bien il s’attachera au premier, et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’Argent. »
Les pharisiens, eux qui aimaient l’argent, entendaient tout cela, et ils ricanaient à son sujet.
Il leur dit alors : « Vous êtes, vous, ceux qui se présentent comme des justes aux yeux des hommes, mais Dieu connaît vos coeurs, car ce qui est prestigieux chez les hommes est une chose abominable aux yeux de Dieu.

 commentaire de l’Evangile

Saint Gaudence de Brescia (?-après 406), évêque
Sermon 18 ; PL 20, 973-975 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 442)
« Faites-vous des amis avec l’argent trompeur »

      Ces amis qui obtiendront notre salut sont évidemment les pauvres, car, selon la parole du Christ, c’est lui-même, l’auteur de la récompense éternelle, qui recueillera en eux les services que notre charité leur aura procurés. Dès lors, les pauvres nous feront bon accueil, non point en leur propre nom, mais au nom de celui qui, en eux, goûte le fruit rafraîchissant de notre obéissance et de notre foi. Ceux qui accomplissent ce service de l’amour seront reçus dans les demeures éternelles du Royaume des cieux, puisqu’aussi bien le Christ dira: « Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le royaume préparé pour vous depuis le commencement du monde. Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire » (Mt 25,34)…      Le Seigneur ajoute, finalement: « Et si vous n’avez pas été dignes de confiance pour des biens étrangers, le vôtre, qui vous le donnera ? » En effet, rien de ce qui est dans ce monde ne nous appartient vraiment. Car nous qui attendons la récompense future, nous sommes invités à nous conduire ici-bas comme des hôtes et des pèlerins, de façon que nous puissions tous dire au Seigneur avec assurance : « Je suis un étranger, un passant comme tous mes pères » (Ps 38,13).

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Découverte en Israël d’une église du IIIe siècle

10 novembre, 2006

(la découverte remonte à l’an passé), du site: 

http://www.patristique.org/article.php3?id_article=166

Découverte en Israël d’une église du IIIe siècle

Des détenus israéliens chargés de creuser le sol en vue d’agrandir la prison de Megiddo (nord d’Israël), ont fait une découverte exceptionnelle : des mosaïques chrétiennes du IIIe siècle qui, selon les archéologues responsables de ce chantier, recouvraient le sol d’une église, peut-être la plus ancienne de Terre sainte.« Ce qui est clair aujourd’hui, c’est qu’il s’agit des plus anciens restes archéologiques d’une église en Israël, peut-être même dans toute la région, voire dans le monde entier, c’est encore trop tôt pour le dire », s’est enthousiasmé, dimanche 6 novembre, Yotam Tepper, l’archéologue en chef de ces fouilles.Ce qui fait le caractère exceptionnel de la découverte, c’est la période à laquelle remontent ces ruines : le IIIe siècle, soit des décennies avant que l’empereur Constantin ne légalise le christianisme dans l’Empire byzantin. Jusqu’à présent, aucune trace d’église n’était avérée avant le IVe siècle.Les autorités israéliennes sont restées interloquées par cette découverte, jusqu’au premier ministre, Ariel Sharon qui a parlé d’ »une histoire incroyable ».Le Vatican s’est exclamé devant ce petit miracle archéologique. « Une découverte de cette sorte rendra Israël plus intéressant pour tous les chrétiens, pour l’Eglise à travers le monde entier », s’est félicité l’archevêque Pietro Sambi, émissaire du Vatican à Jérusalem. « S’il est avéré que cette église et ces splendides mosaïques datent du IIIe siècle, ce serait l’une des églises les plus anciennes du Proche-Orient. »L’église a été découverte non loin du site d’Armageddon Deux mosaïques à l’intérieur de l’église – dont l’une représentant un poisson, ancien symbole chrétien ayant précédé la croix – racontent l’histoire d’un officier romain et d’une femme nommée Aketous qui a fait un don pour la construction de l’église en mémoire « de Dieu, Jésus Christ ».La découverte de morceaux de poterie du IIIe siècle, le style d’écriture grecque utilisée dans les inscriptions, les anciens motifs géométriques représentés sur les mosaïques et la présence d’un poisson plutôt que de la croix laissent penser que l’église n’était plus en activité au IVe siècle, a expliqué M. Tepper.L’endroit où a été découverte l’église, non loin du lieu présenté par le Nouveau Testament comme étant le site d’Armageddon – lieu où, à la fin du monde, se rassembleront et seront anéanties les forces hostiles à Dieu, selon l’Apocalypse de saint Jean – paraît plausible puisqu’on sait qu’un évêque était actif dans la région à l’époque, a précisé M. Tepper, qui travaille pour l’Autorité israélienne chargée des antiquités.Une cinquantaine de prisonniers israéliens avaient été conduits dans la prison de haute sécurité de Megiddo, où sont également détenus des centaines de prisonniers palestiniens, pour effectuer les travaux d’excavation, avant que ne débutent les travaux d’extension de la prison proprement dits.Ramil Razilo et Meimon Biton, les deux détenus israéliens qui sont tombés les premiers sur les précieuses mosaïques, ont cru au départ qu’ils retiraient de simples débris sans intérêt. Mais, ils ont vite changé d’avis lorsqu’est apparu au bout de leurs pelles le bord de la mosaïque très élaborée.Une question se pose à présent : qui, de l’Autorité des antiquités ou de l’administration pénitentiaire, va s’adjuger le site au bout du compte ? Les autorités israéliennes aimeraient bien transformer ce site archéologique en attraction touristique, mais pour cela il faudrait déplacer soit la mosaïque, soit la prison. Mais les travaux visent à y installer quelque 1.200 détenus de haute sécurité palestiniens supplémentaires… En attendant que les deux administrations se concertent et tranchent, les fouilles se poursuivent.

Sources 

:La-Croix.com 

image du même site:

Découverte en Israël d’une église du IIIe siècle dans sujets interessants aujourd'hui meggido2

Un calendrier de Benoît XVI pour les orphelins du Rwanda

10 novembre, 2006

du Zenith.org: 

2006-11-09

Un calendrier de Benoît XVI pour les orphelins du Rwanda

Initiative sans précédent de « Famiglia Cristiana »

ROME, Jeudi 9 novembre 2006 (ZENIT.org) –

Pour la première fois dans l’histoire moderne de la papauté, les photos d’un souverain pontife illustreront un calendrier dont la vente financera un projet pour les orphelins du Rwanda.L’initiative est italienne, elle est due à l’hebdomadaire catholique des Editions San Paolo « Famiglia Cristiana » qui publiera ce calendrier intitulé « Un an avec le pape » avec son édition du 23 novembre prochain, au prix de 5 euros.Un euro ira à la « Cité des enfants de Nazareth » de Mbare, au Rwanda qui accueille les orphelins, en majorité victimes du génocide et de la guerre civile.Le pape Benoît XVI a choisi lui-même le projet à soutenir : un projet réalisé grâce à l’argent récolté par l’Obole de Saint-Pierre, et inauguré le 2 novembre 1998 par le cardinal Alfonso Lopez Trujillo, président du conseil pontifical de la Famille.

En vue de ce calendrier, le pape a invité le photographe de « Famiglia Cristiana », Giancarlo Giuliani, à passer une journée avec lui dans sa résidence de Castelgandolfo, en août dernier.

Famiglia Cristiana a sélectionné 14 des clichés de Giancarlo Giuliani et présente le calendrier en annonçant : « Tu verras un pape nouveau chaque jour ».

Ainsi, pas de photos en studio ni de trucage, mais un vrai reportage photo sur une journée du pape.

Le « calendrier de la solidarité » est une initiative lancée par Famiglia Cristiana en 2002, avec l’idée de relier chacun des 12 mois avec une personnalité et un projet solidaire.

En 2006, l’hebdomadaire italien a demandé au pape d’indiquer lui-même un projet qui lui tienne à cœur : c’est donc Benoît XVI qui a choisi la Cité des enfants de Nazareth.

du site de « Famiglia Cristiana » italienne

Un calendrier de Benoît XVI pour les orphelins du Rwanda dans sujets interessants aujourd'hui calendario_copertina

un image du calendrier

 dans sujets interessants aujourd'hui

In this handout picture made available Wednesday, Nov. 8, 2006 by Italian Catholic weekly Famiglia Cristiana (Catholic Family) shows one of the photos from the Pope’s Benedict XVI 2007 calendar. He has already been spotted as a fashion follower, from his signature shades and shoes, to his ermine trimmed velvet robes, but now Pope Benedict XVI is trying his hand at modeling for a 2007 calendar to come out later this month. For each calendar sold, 1 euro (US$1.28) will go to the charity. (AP Photo/Famiglia Cristiana, Giancarlo Giuliani, HO)

Discours de le Pape aux Évêques suisses

10 novembre, 2006

j’ai fait la traduction – comme d’habitude – avec un traducteur on line + un dictionnaire, mais elle a été particulièrement difficile;  le texte, cependant, et vraiment important, du Zenit.org; 

Donnée publication : 2006-11-10

Discours de
le Pape aux Évêques suisses

CITTA’ DEL VATICANO – vendredi, 10 novembre 2006 (ZENIT.org). – 

Nous publions le discours qui Bénit XVI a prononcé ce vendredi en rencontrant les Évêques suisses.

 * * *

Éminences, Excellences, chers Confraternel ! Je voudrais avant tout vous saluer de coeur et exprimer ma joie, parce qu’il nous est donné de compléter maintenant la visite pastorale, interrompue en 2005, en ayant ainsi la possibilité de travailler encore une fois ensemble sur tout le panorama de questions qui nous préoccupent. J’ai encore un vivant souvenir de
la Visite à limina de 2005, lorsque dans
la Congrégation pour
la Doctrine de
la Foi nous avons parlé ensemble de problèmes qui seront nouvellement en discussion même dans ces jours. Elle est encore bien présente l’atmosphère d’engagement intérieur alors, pour faire en sorte que le Mot des Seigneur soit vit et rejoigne les coeurs des hommes de ce temps, parce que l’Église soit pleine de vie. Dans notre commune situation difficile à cause d’une culture sécularisée , nous cherchons à comprendre la mission confiée nous des Seigneur et à lui accomplir le mieux possible. Je n’ai pas pu préparer un vrai discours ; je voudrais maintenant, en vue des individuels grands complexes de problèmes que nous toucherons, faire seulement quelque « première tentative », qu’il n’entend pas présenter des affirmations définitives, mais veut seulement entamer l’entretien. Elle est celle-ci une rencontre entre les Évêques suisses et les divers Ministères de
la Curia, dans lesquels ils se rendent visibles et sont représentées les individuels secteurs de les nôtre épelle pastorale. À quelques de je eux voudrais chercher à offrir quelque commente. En accord avec mon passé, je commence avec
la Congrégation pour
la Doctrine de
la Foi, ou mieux : avec il craint de la foi. Déjà dans l’homélie j’ai cherché de dire que, dans tout le tourment de notre temps, la foi doit vraiment avoir la priorité. Il y à deux générations, elle pouvait peut-être être encore présupposée comme une chose naturelle : on croissait dans la foi ; elle, dans quelque mode, était simplement présente comme une partie de la vie et il ne devait pas être cherché particulièrement. Il avait besoin d’être modelé et approfondie, il apparaissait cependant comme une chose évident. Aujourd’hui il apparaît naturel le contraire, qui il n’y en fond a pas possible croire, que de fait Dieu il est absent. En tout cas, la foi de l’Église semble une chose lointaine du passé. Ainsi même des chrétiens actifs ont l’idée qu’il convienne choisir pour elle, de l’ensemble de la foi de l’Église, les choses qu’on retient encore soutenables aujourd’hui. Et surtout on nous donne à faire pour accomplir au moyen de l’engagement pour les hommes, pour ainsi dire, en même temps même son devoir vers Dieu. Ceci, cependant, est entame d’une espèce de « justification au moyen des oeuvres » : l’homme justifie si le même et monde dans lequel il déroule ce qui semble clairement nécessaire, mais manque la lumière intérieure et l’âme de tout. Donc je crois que soit important prendre nouvellement conscience du fait qui la foi est je centre de tout – « Fides tien toi salvum fecit » dit les Seigneur répétéement aux quelles il a guéri. Il n’est pas touche physique, n’est pas le geste extérieur qui décide, mais le fait que ces malades ont cru. Et même nous pouvons servir les Seigneur en mode vive seulement si la foi devient forte et il se rend présent dans son abondance. Je voudrais souligner dans ce conteste deux points cruciaux. Premier : la foi est surtout foi en Dieu. Dans le christianisme il ne s’agit pas d’un vraiment grand fardeau de choses divergées, mais tout ce qui dit Credo et que je développe de la foi a déroulé existe seulement pour rendre plus clair à notre vue la face de Dieu. Il existe et Il vit ; dans Nous lui croyons ; devant Lui, en vue d’Lui, dans être- avec Lui et d’Nous lui vivons. Et en Jésus Christ, Il est, pour ainsi dire, corporellement avec nous. Cette centralité de Dieu doit, en second lieu me, apparaître en mode complètement nouvelle dans tout les nôtre penser et actionner. Il est ce qu’ensuite âme même les activités qui, en cas contraire, peuvent facilement déchoir en activisme et devenir vide. Celle-ci est la première chose que je voudrais souligner : que la foi en réalité regarde décidément vers Dieu, et ainsi nous pousse aussi à regarder vers Dieu et à nous mettre en mouvement vers d’Lui. L’autre chose est que nous ne pouvons pas nous inventer mêmes la foi en la composant de pièces « soutenables », mais que nous croyons ensemble avec l’Église. Tout ce qui enseigne l’Église nous ne pouvons pas comprendre, tout ne doit pas être présent dans toute vie. Il est cependant important que nous sommes avec- croyants dans grand Moi de l’Église, dans le sien qui vit, en nous trouvant ainsi dans la grande communauté de la foi, dans ce grand sujet, dans lequel Tu de Dieu et Je de l’homme vraiment ils se touchent ; dans lequel le passé du mots de l’ Écriture devient présent, les temps compenetrano  (con = avec + pénétrer) à événement, le passé est présent et, en s’ouvrant vers le futur, il laisse entrer en temps le fulgore de l’éternité, de l’Eternel. Cette forme complète de la foi, exprimée dans Credo, d’une foi dans et avec l’Église comme sujet vivant, dans lequel il actionne les Seigneur – cette forme de foi nous devrions chercher à mettre vraiment à centre de nos activités. Nous le voyons même aujourd’hui en mode très clair : je développe, là où il a été promu en mode exclusive sans nourrir l’âme, il apporte des dommages. Alors les capacités technicien croissent, oui, mais d’elles elles émergent surtout des nouvelles possibilités de destruction. Si ensemble avec l’aide en faveur des Pays dans de je développe, ensemble avec l’apprentissage de tout ce qui l’homme est capable de faire, de tout ce qui son intelligence a inventé et que sa volonté rend possible, il ne vient pas en même temps même éclairée son âme et n’arrive pas la force de Dieu, apprend surtout à se détruire. Et pour ceci, je crois, doit nouvellement se faire forte dans nous la responsabilité missionnaire: si nous sommes des joyeuse de notre foi, on sent obligé à en parler aux autres. Il est ensuite dans les mains de Dieu dans quelle mesure les hommes pourront l’accueillir. De ce j’argue voudrais maintenant passer à l’ »Éducation Catholique », en touchant deux secteurs. Une chose que, je pense, cause à tous nous une « préoccupation » dans le sens positif du terme, est le fait qui la formation théologique des futurs prêtres et des autres enseignants et des annonces de la foi doive être bon ; nous avons donc du besoin de bonnes Facultés théologiques, de bons séminaires majeurs et d’adéquats professeurs de théologie qui communiquent pas seulement des connaissances, mais forment à une foi intelligente, ainsi que foi devient intelligence et intelligence devient foi. À cet égard j’ai un désir très spécifique. Nos exégèse il a fait des grands progrès ; nous savons vraiment beaucoup sur développe des témoins, sur la subdivision des sources etc, savons quel signifié peut avoir eu le mot dans cette époque… Mais nous voyons même toujours de plus que les exégèse deviens historique- critique, s’il reste seulement historique- critique, il renvoie le mot dans le passé, la rend un mot des temps alors, un mot que, en fond, il ne nous parle pas tout à fait ; et nous voyons que le mot se réduit en fragments parce que, justement, elle se dénoue dans tant de sources différentes. Concilio, du Verbum, il nous a dit que la méthode historique- critique est une dimension essentielle des exégèse, parce qu’il fait une partie de la nature de la foi de l’instant qu’elle est « factum historicum » Nous ne croyons pas simplement à une idée ; le christianisme n’est pas une philosophie, mais un événement qui Dieu a posé dans ce monde, est une histoire qui Il en mode réelle a formé et forme comme histoire ensemble avec nous. Pour ceci, dans notre lecture de
la Bible j’attends historique doit vraiment être présent en son sérieux et exigence : nous devons effectivement reconnaître l’évènement et, justement, ceci « faire histoire » de la part de Dieu dans le sien actionner. Mais du Verbum il ajoute que l’Écriture, qui conséquente ment doit être lue en second lieu les méthodes historiques, doit être lue même comme unité et doit être lue dans la communauté vivante de l’Église. Ces deux dimensions manquent en grands secteurs des exégèse. L’unité d’une Écriture n’est pas un fait purement historique- critique, bien que l’ensemble, même du point de vue historique, soit un procès intérieur du Mot qui, lue et comprise toujours en mode nouvelle dans le cours suivant de relectures, continue à mûrir. Mais cette unité est dans définitive, justement, un fait théologique : celle-ci écrite est une unique Écriture, compréhensibles jusqu’au bout seulement si lus dans l’analogie des fidei comme unité dans laquelle il y a un progrès vers Christ et, inversement, Christ attrait à lui toute l’histoire ; et si, d’autre part, ceci a sa vitalité dans la foi de l’Église. Avec autres mots, il m’est beaucoup à coeur que les théologien apprennent à des légères et à des amères l’Écriture ainsi comme, en second lieu du Verbum, Concilio l’a voulu : qu’ils voient l’unité intérieure de l’Écriture – une chose aidée aujourd’hui des « exégèse canonique » (que sans autre on trouve encore dans un timide stade initial) – et qu’ensuite d’ils elle fassent une lecture spirituelle, qui n’est pas une chose extérieure de caractère édifiant, mais par contre se plonger intérieurement dans la présence du Mot. Il me semble épelle très important faire quelque chose en ce sens, contribuer pour qu’à côté, avec et dans les exégèse historique- critique elle soit donnée vraiment une introduction à l’Écriture vit comme actuel Mot de Dieu. Je ne sais pas comme le réaliser concrètement, mais je crois que, soit dans le domaine académique, soit dans le séminaire, soit dans un cours d’une introduction, on puisse trouver des déesses professeurs adaptés, pour qu’elle se produise cette rencontre actuelle avec l’Écriture dans foi de l’ Église – une rencontre sur la base de quel devient ensuite possible l’annonce. L’autre chose est les catéchèse qui, justement, dans les derniers cinquante ans environ, d’un coté, ont fait des grands progrès méthodologiques, de l’autre, cependant, s’est perdue beaucoup dans l’anthropologie et dans la recherche de points de référence, de sorte que on ne rejoigne souvent même pas plus les contenus de la foi. Je peux le comprendre : même au temps dans lequel j’étais vicaire – donc 56 il y à des ans – résultais déjà très difficile annoncer dans l’école pluraliste, avec beaucoup de parents et enfants pas croyants, la foi, parce qu’elle apparaissait un monde totalement étranger et irréel. Aujourd’hui, naturellement, la situation est encore aggravée. Toutefois il est important que dans les catéchèse, qui comprennent les milieux de l’école, de la paroisse, de la communauté etc, la foi continue à être pleinement valorisée, que c’est-à-dire les enfants apprennent vraiment qu’est-ce que soit « création », qu’est-ce que soit « histoire du salut » réalisé de Dieu, qu’est-ce que, qui soit Jésus Christ, ce qu’ils soient les Sacramenti, le quel soit objet de notre espoir… Je pense que nous tous devons, comme toujours, nous engager beaucoup pour un renouvellement des catéchèse, dans laquelle soit fondamental le courage de témoigner sa foi et de trouver les modalités pour qu’elle soit comprise et accueilli. Puisque l’ignorance religieuse a rejoint aujourd’hui un niveau épouvantable. Et toutefois, en Allemagne les enfants ont au moins dix ans de catéchèse, devraient donc en fond savoir beaucoup de choses. Pour ceci nous devons certainement réfléchir de manière sérieuse sur nos possibilités de trouver des voies pour communiquer, même si en mode simple, les connaissances, pour que la culture de la foi soit présente. Et maintenant quelque observation sur le « Culte divin ». L’Année Eucharistique, à cet égard, il nous a offerts beaucoup. Je peux dire que les Exhortation post-sinodale est à bon point. Il sera sûrement un grand enrichissement. En outre nous avons eu le document de
la Congrégation pour le Culte divin environ la juste célébration de l’Eucharistie, chose très importante. Je crois que suite à tout cela man main devient clair que
la Liturgie n’est pas une « auto- manifestation » de la communauté laquelle, comme il se dit, dans elle entre en scène, mais il est par contre sortir de la communauté des simple « être si- mêmes » et accéder au grand je banquette des pauvres, l’entrée dans la grande communauté vivante, dans laquelle Dieu mêmes nous il nourrit. Ce caractère universel de
la Liturgie doit entrer nouvellement dans la conscience de tous. Dans l’Eucharistie nous recevons une chose que nous ne pouvons pas faire, mais entrons par contre dans quelque chose de plus grand qui deviennent les nôtre, vraiment lorsque nous délivrons à cette chose plus grande en cherchant de célébrer
la Liturgie vraiment comme Liturgie de l’Église. Il est ensuite joint avec cela même le célèbre problème de l’homélie. Du point de vue purement fonctionnelle je peux le comprendre beaucoup bien : peut-être le curé est fatigue ou a prêché déjà répétée ment ou est âgé et ses charges dépassent ses forces. Si alors il y a un assistant pour le pastorale qu’il est très capable dans interpréter le Mot de Dieu en mode convaincante, viens spontané dire : parce qu’il ne devrait pas parler l’assistant pour le pastorale ; il réussit meilleure, et ainsi les gens en tirent majeur profit. Mais celle-ci, justement, est la vision purement fonctionnelle. Il faut par contre tenir compte du fait qui l’homélie n’est pas une interruption de
la Liturgie pour une partie discursif, mais qu’elle appartient à l’évènement sacramentale, en portant le Mot de Dieu dans le présent de cette communauté. Il est l’instant, où vraiment cette communauté comme sujet veut être appel en cause pour être portée à écoute et à l’acceptation du Mot. Cela signifie que l’homélie même fait une partie du mystère, de la célébration du mystère, et donc ne peut pas simplement être délié à lui. Surtout, cependant, je retiens même important que le prêtre ne soit pas réduit au Sacramento et à la juridiction – dans la conviction que tous les autres tâches pourraient être des thèses même d’autres – mais qu’on conserve l’intégrité de son fonction. Le sacerdoce est une chose même belle seulement s’il y a d’accomplir d’une mission qui est un tout un, dont ne peut pas se couper ici et là quelque chose. Et à cette mission il appartient déjà toujours – même dans le culte ancien- testamentaire – du devoir du prêtre de relier avec le sacrifice le Mot qui est une partie intégrant de l’ensemble. Dal je vise de vue purement pratique devons ensuite certainement pourvoir à fournir aux prêtres des de les aides nécessaires parce qu’ils puissent dérouler en mode juste même le ministère de
la Mot. En principe, cette unité intérieure soit de l’essence de
la Célébration eucharistique, soit de l’essence du ministère sacerdotal, est très importante. Selon il craint, que je voudrais toucher dans ce conteste, concerne le sacrement de
la Pénitence les pratique dans ceux-ci environ cinquante derniers ans de laquelle elle est progressivement diminuée. Des merci à Dieu existent cloître, abbayes et sanctuaires, vers lesquels les gens vont en pèlerinage et où leur coeur s’ouvre et il est même prêt à l’aveu. Ce Sacramento nous le devons vraiment apprendre de nouveau. Déjà d’un point de vue purement anthropologique il est important, d’une partie, reconnaître la coulpe et, de l’autre, exercer je pardonne. Le diffus manque d’une conscience de la coulpe est un phénomène préoccupant de notre temps. Le don du sacrement de
la Pénitence consiste donc pas seulement dans le fait que nous recevons pardonne, mais même dans le fait qu’on rend compte, avant tout, de notre besoin de je pardonne ; déjà avec cela nous sommes purifiés, nous transformons intérieurement et pouvons ensuite comprendre même mieux les autres et les pardonner. La reconnaissance de la coulpe est une chose élémentaire pour l’homme – il est malade si ne l’avertit pas plus – et aussi important elle est pour l’expérience libératrice de recevoir lui pardonne. Pour les deux les choses le sacrement de
la Réconciliation est le lieu décisif d’exercice. En outre là la foi devient une chose entièrement personnelle, ne se cache pas plus dans la collectivité. Si l’homme affronte le défi et, dans sa situation de besoin de je pardonne, se présente, pour ainsi dire, sans défense devant il y à Dieu, alors l’expérience émouvante d’une rencontre entièrement personnelle avec l’ amour de Jésus Christ. Finalement je voudrais encore m’occuper du ministère épiscopal. De ceci, en fond, nous avons implicitement déjà parlé constamment. Il me semble important que les Évêques, comme successifs des Apôtres, d’une partie portent vraiment la responsabilité des Églises locales qui les Seigneur les a confiées, en faisant en sorte que là l’Église comme Église de Jésus Christ croisse et vivent. De l’autre partie, ils doivent ouvrir les Églises locales à l’universel. Vues les difficultés que les Orthodoxes ont avec les Églises autocéphale, comme même les problèmes de nos amis protestants face à la désagrégation des Églises régionales, on rend compte de quel grand signifié ait l’universalité, combien soit important que l’Église s’ouvre à la totalité, en devenant dans l’universalité vraiment une unique Église. De ceci, d’autre part, il est capable seulement si dans le territoire le sien vraiment est vivant. Cette communion doit être alimentée des Évêques ensemble avec le Successeur de Pietro dans l’esprit d’une consciente succession au Collège des Apôtres. Tous nous devons nous forcer continûment de trouver dans ce rapport réciproque  le juste équilibre, de sorte que l’Église locale ait vécu son authenticité et, en même temps, l’Église universelle de cela reçoive un enrichissement, pour que les deux offrent et reçoivent et ainsi il croisse l’Église des Seigneur. L’Évêque Grab a déjà parlé des fatigues de l’ oecuménisme ; il est un champ que je dois seulement vous confier au coeur de tous. Dans
la Suisse vous êtes posés à comparaison quotidiennement avec ce épelle qu’il est fatigant, mais crée même joie. Je pense qu’importants ils soient, d’un coté, les rapports personnels, dans lesquels nous nous reconnaissons et on estime un autre en mode immédiate comme croyants et, comme personnes spirituelles, nous nous purifions et nous nous aidons même mutuellement. De l’autre côté, il traite – comme il a déjà dit l’Évêque Grab – de se faire garants des valeurs essentielles, portantes, provenances de Dieu de notre société. Dans ce champ, tous ensemble – protestants, catholiques et orthodoxes – nous avons un grand épelle. Et ils sont joyeuse qui croisse la conscience de ceci. Dans l’occident elle est l’Église en Grèce qui, aussi en ayant de temps en temps quelque problème avec les Latins, dit toujours plus clairement : en Europe nous pouvons dérouler les nôtre épelle seulement si nous nous engageons ensemble pour le grand héritage chrétien. Même l’Église en Russie le voit toujours de plus et autant nos amis protestants sont conscients de ce fait. Je pense que, si nous apprenons à agir dans ce champ ensemble, nous pouvons réaliser une bonne partie d’unité même là où la pleine unité théologique et sacramentale il n’est pas encore possible. Pour conclure je voudrais des vous exprimer;  encore une fois ma joie pour Le vôtre visite, vous souhaiter  beaucoup d’entretiens fructueux pendant ces jours.
 

[ Traduction de l’original dans allemand distribuée du Saint Siège, © Copyright 2006 – Librairie Editrice Vatican

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Liturgie. Les évêques veulent calmer le jeu

9 novembre, 2006

Je mets ce contribue prise du site:

 http://www.temoignagechretien.fr/journal/article.php?num=3226&categ=Croire

écrit de une personne que je ne connais pas, mais intéressant, je vous le présente, mais voudrais dire, encore, d’avoir confiance en le Pape, qu’il connais bien les difficulté et ne ferai pas des chose non pondérée et désagréable, je vous assure de ce;

Liturgie. Les évêques veulent calmer le jeu   par Jérôme Anciberro

LES FAITS
Rassemblés à Lourdes du 4 au 9 novembre pour leur 43e assemblée plénière, les évêques de France ont particulièrement travaillé sur trois dossiers préparés de longue date (« Les différences structurantes de la vie sociale », l’enseignement catholique et « le ministère des prêtres diocésains et la communauté paroissiale »). Mais la question de l’accueil des traditionalistes et de la libéralisation de la messe de Pie V, bien que non prévue au programme, a également occupé une place importante dans les discussions entre évêques. À l’heure où plusieurs prélats font publiquement part de leurs réserves sur ce sujet extrêmement sensible, certaines mises au point ont pu être faites, notamment par Jean-Pierre Ricard, président de la conférence épiscopale.
L’ANALYSE
La décision de libéraliser pour les prêtres la possibilité de dire la messe selon le missel de 1962 n’a pas encore été prise. Le motu proprio annoncé n’a pas été signé. Son projet va faire l’objet de consultations diverses. Nous pouvons faire part, dès maintenant, de nos peurs et de nos souhaits. » Cet extrait du discours d’ouverture de l’assemblée de Lourdes prononcé le 4 novembre par Jean-Pierre Ricard laisse penser que le volontarisme romain en faveur du traditionalisme catholique en matière liturgique marque le pas. Il est cependant peu vraisemblable que le pape renonce à ce fameux motu proprio (décret) libéralisant la messe tridentine. Bien que ce texte n’ait pas encore été signé ou rendu public, l’annonce en a été suffisamment précise pour qu’il soit désormais devenu quasiment impossible pour le pape de revenir en arrière. Cela serait perçu comme une reculade, ce que Benoît XVI, de toute façon convaincu de la valeur actuelle de l’ancien rite, doit bien sûr s’efforcer d’éviter. Reçu à Rome le 26 octobre dernier, quelques jours après Jean-Marie Lustiger, Jean-Pierre Ricard aura sans doute convaincu le pape que la situation en France était sérieusement tendue sur cette question du traditionalisme liturgique. Une réalité qui, vue de Rome, n’était peut-être pas perçue avec toute l’acuité requise. Car au-delà des argumentations théologiques apportées à un débat qui, en surface, est d’ordre liturgique, c’est bien l’état des relations entre les cercles traditionalistes et le reste de l’Église de France qui pose question. En premier lieu, parce que la mise en cause constante de l’épiscopat français par les traditionalistes, plus ou moins directement selon leur proximité avec les intégristes de la Fraternité Saint-Pie X et selon les diocèses, a pris un tour qui rend difficile la belle communion que chaque camp affirme rechercher. Les traditionalistes, qui se sentent pousser des ailes depuis l’avènement de Benoît XVI, tentent de diffuser l’idée d’une opposition entre Rome et l’épiscopat français, et se présentent volontiers comme persécutés par des évêques néo-gallicans frondeurs et gagnés à un modernisme effréné. Pour qui connaît un peu l’épiscopat français, d’une prudence qui confine souvent à l’effacement, ce genre de schéma prête évidemment à sourire.
En second lieu, même si les courants traditionalistes ne représentent qu’une minorité des catholiques pratiquants de France, leur poids relatif, pour des raisons historiques, est sans commune mesure avec ce qu’il est dans d’autres pays. C’est à Bordeaux qu’a été fondé l’Institut du Bon-Pasteur. Pas à Naples ou à Stuttgart ! Laisser le champ libre aux traditionalistes en France aurait des effets – quels qu’ils soient – beaucoup plus importants qu’ailleurs, notamment en ce qui concerne la relation de l’Église toute entière aux enseignements du concile Vatican II. Tout laisse donc penser que le motu proprio qui s’annonce sera bien plus modéré qu’il n’avait été supposé. Le contrôle des évêques sur les célébrations tridentines pourrait, par exemple, être réaffirmé, même si c’est sous d’autres modalités que celles actuellement prévues par le motu proprio Ecclesia Dei Adflicta de 1988.
Jean-Pierre Ricard a justement expliqué le 6 novembre que la commission romaine Ecclesia Dei, chargée des relations avec les traditionalistes en rupture avec Rome, avait été saisie du dossier. Le président de la Conférence épiscopale française, qui est membre de cette commission, aura peut-être ainsi la possibilité de donner son avis, chose qui ne paraissait pas évidente jusqu’à ces derniers jours…

Avis: Le discours aux Éveques Suisse…

9 novembre, 2006

j’ai lu soit sur Zenith, soit sur Chatolique.org et sur autres sites, qui le discours à des Évêques suisses n’ont pas été prononcés, mais, aussi, je l’ai sur la « Radio Vaticana » en italien, j’aurais voulu le mettre en traduction parce que sur le site du Saint Siège il y a, mais maintenant attends pour voir quel texte suis celui-là effectivement correspondant avec le discours du Pape,

Pape Benoît – « …le fait que la capacité de la scienze à prevoir et à contrôller ne soit jamais utilisée contre la vie humaine et sa dignité »

9 novembre, 2006

du « Agenzia Fides »: 

VATICAN – L’Eglise “considère de son devoir d’insister sur le fait que la capacité de la science à prévoir et à contrôler ne soit jamais utilisée contre la vie humaine et sa dignité » : l’exhortation du Pape Benoît XVI à l’Académie Pontificale des Sciences

Cité du Vatican (Agence Fides) – « Certains ont vu dans le progrès de la science et de la technologie moderne l’une des principales causes de la laïcisation et du matérialisme… le christianisme ne suppose pas un conflit inévitable entre la foi surnaturelle et le progrès scientifique… Si nous pensons, par exemple, que la science moderne, en prévoyant les phénomènes naturels, a contribué à la protection de l’environnement, au progrès des pays en voie de développement, à la lutte contre les épidémies et à l’augmentation de l’espérance de vie, il apparaît évident qu’il n’y a pas de conflit entre la Providence de Dieu et l’entreprise humaine. En effet, nous pouvons dire que le travail de prévoir, de contrôler et de gouverner la nature, que la science aujourd’hui rend plus réalisable par rapport au passé, est en soi une partie du plan du Créateur ». Le Saint-Père Benoît XVI l’a rappelé le 6 novembre quand il a reçu en audience les participants de l’Assemblée Plénière de l’Académie Pontificale des Sciences, qui avait pour thème « La prévisibilité de la science : performances et limites ».
Le Saint-Père a souligné que « l’homme ne peut mettre dans la science et dans la technologie une confiance radicale et inconditionnelle jusqu’à croire que le progrès scientifique et technologique puisse expliquer toute chose et répondre pleinement à tous ses besoins existentiels et spirituels. La science ne peut remplacer la philosophie et la révélation, répondant dans un monde exhaustif aux demandes les plus radicales de l’homme ». D’autre part le Pape a mis l’accent sur les responsabilités éthiques du savant, dont les conclusions « doivent être conduites dans le respect de la vérité et dans l’honnête reconnaissance des performances mais aussi des inévitables limites de la méthode scientifique ». Ce qui permet d’éviter « les prévisions inutilement alarmantes » mais aussi le silence devant les problèmes authentiques.
« Chers Académiciens, notre monde continue à vous regarder vous et vos collègues pour comprendre clairement les possibles conséquences des importants phénomènes naturels » a poursuivi le Pape Benoît XVI, citant les continuelles menaces de l’environnement qui frappent des populations entières, et la nécessité de découvrir des sources énergétiques alternatives, « sûres, accessibles à tous ». Le Saint-Père a ajouté : « Les savants trouveront le soutien de l’Eglise dans leurs efforts pour affronter de telles questions, puisque l’Eglise a reçu de son divin Fondateur la tâche de guider la conscience des personnes vers le bien, la solidarité et la paix. Pour cette raison elle considère de son devoir d’insister sur le fait que la capacité de la science à prévoir et à contrôler ne soit jamais utilisée contre la vie humaine et sa dignité, mais qu’elle soit toujours mise à son service, au service des générations présentes et de celles à venir ».
Enfin le Pape a souligné que la méthode scientifique avait des limites et ne pouvait donc prétendre « fournir une présentation complète, déterministe, de notre avenir et du développement de chaque phénomène ». La philosophie et la théologie « pourraient apporter une importante contribution à cette question ». « En même temps – a conclu le Pape Benoît XVI – il y a un niveau plus haut qui nécessairement transcende toutes les prévisions scientifiques, à savoir le monde humain de la liberté et de l’histoire. Tandis que le cosmos physique peut avoir son développement spatio-temporel, seule l’humanité, au sens strict, a une histoire, l’histoire de sa liberté. La liberté, comme la raison, est une partie précieuse de l’image de Dieu en nous, et ne peut jamais être réduite à une analyse déterministe. Nier cette transcendance au nom d’une prétendue capacité absolue de la méthode scientifique de prévoir et de conditionner le monde humain comporterait la perte de ce qui est humain dans l’homme et, ne reconnaissant pas son unicité et sa transcendance, pourrait ouvrir dangereusement la porte à son exploitation ». (S.L.) (Agence Fides 7/11/2006 – Lignes 47, Mots 687)

Pape Benoît -

Pope Benedict XVI waves as he is driven through the crowd, waving a Bavarian flag, left, prior to his weekly general audience in St.Peter’s Square at the Vatican, Wednesday, Nov. 8, 2006. (AP Photo/Plinio Lepri)

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