Archive pour novembre, 2006

Dossier sur le préservatif remis à la Doctrine de la Foi

22 novembre, 2006

du Zenith:

2006-11-21

Pastorale de la santé :

Dossier sur le préservatif remis à la Doctrine de la Foi

De l’opportunité ou non d’une déclaration

ROME, Mardi 21 novembre 2006 (ZENIT.org) –

Un dossier sur la question du préservatif a été remis par le cardinal Javier Lozano Barragan à la congrégation pour la Doctrine de la Foi, à la demande de Benoît XVI, a indiqué le cardinal mexicain, président du conseil pontifical pour la Pastorale de la Santé.

Le cardinal Lozano Barragan a en effet révélé cette information à la presse lors de la présentation ce matin au Vatican du congrès pour la lutte contre les maladies infectieuses.

Il a souligné qu’il s’attendait en effet toujours à ce que l’on pose la question du préservatif dès que l’on parle du sida, mais que son dicastère est uniquement « pastoral » et n’a aucune autorité doctrinale pour se prononcer sur la question.

Il précisait également que le dossier une fois remis, c’est à l’autorité doctrinale – la congrégation et ultimement le pape, à partir du travail de réflexion de celle-ci – de décider s’il est opportun ou non que l’Eglise se prononce du point de vue doctrinal sur la question.

Il a souligné, en citant « Familiaris Consortio », qu’aucune prise de position de l’Eglise ne doit donner à penser qu’elle encouragerait des conduites légères en matière de morale sexuelle.

Le dossier du cardinal Lozano comprend, a-t-il précisé, non seulement les données objectives sur l’usage du préservatif mais aussi tout un éventail des positions pastorales adoptées dans le monde, des plus rigides aux plus souples. S’agissant d’un dossier « interne » à usage « privé », le cardinal Barragan n’en a pas dit davantage.

Mais il répétait qu’une fois la synthèse faite, « ce n’est pas à nous de juger » s’il est nécessaire de se prononcer ou s’il est opportun de ne pas répondre. Par exemple, le pape Jean-Paul II, rappelons-le, n’a pas prononcé le mot de préservatif dans ses discours. Les questions préalables seront donc: faut-il ne rien dire ? Dire quelque chose ? Et si « oui », dire quoi ?

Le cardinal Lozano Barragan s’est dit confiant dans la « sagesse spéciale » du pape Ratzinger et du « charisme » du successeur de Pierre assisté spécialement par l’Esprit Saint dans son ministère.

Il pourrait ne pas y avoir de réponse officielle. La réponse doit-elle venir du niveau suprême de l’Eglise ? Ou laissée à la pastorale des diocèses ? Car, pour ce qui est d’une éventuelle réponse au dossier le cardinal Lozano Barragan a souligné qu’il ne s’agit en aucune façon d’« exiger » mais seulement d’« espérer ». Et qu’en tout cas s’il devait y avoir une réponse, ce serait une réponse qui « aide les catholiques et ne lèse personne ».

Sainte Cecile – memoire -

22 novembre, 2006

Cultures > Musique  

Du site :  

http://www.inxl6.org/article3148.php 

Cultures > Musique   

Nuits de
la Sainte Cécile, trois concerts spirituels prestigieux pour la patronne des musiciens  

Pour la fête de Sainte Cécile le 22 novembre, trois hauts lieux spirituels s’unissent pour valoriser le patrimoine spirituel de la musique sacrée. Pierre Gueydier
16/11/2006 Notre Dame de Paris (75), le sanctuaire de Sainte Anne d’Auray (56) et la cathédrale de Metz (57) proposent autour de la fête liturgique de sainte Cécile une série de concerts spirituels.
Excellence musicale, diversité des répertoires et méditation spirituelle seront réunis grâce à la collaboration des maîtrises d’enfants et d’adultes, des organistes et des instrumentistes de ces trois sanctuaires.Notre Dame de Paris proposera le 21 novembre à 20h30, des oeuvres de Purcell, Britten et Kodaly avec la maîtrise, le choeur d’adultes et l’ensemble instrumental sous la direction de Lionel Sow, Sylvain Dieudonné et Yves Castagnet au grand Orgue.
La Basilique de Sainte Anne d’Auray donnera des vêpres en l’honneur de Sainte Cécile le 24 novembre à 18h avec la maîtrise sous la direction de Richard Quesnel
La maîtrise de la cathédrale de Metz, placée sous la direction de Christophe Bergossi fera entendre des oeuvres dédiées à Sainte Cécile le 25 novembre à 17h. Sainte Cécile est une chrétienne romaine du 3ème siècle. Peu d’élements historiques sont connus à son sujet, ses reliques furent transférées au IXème siècle dans une église romaine proche du Tibre en l’église Sainte Cécile au Transtevere. Mais la tradition fait de cette vierge martyre la patronne des musiciens et des chanteurs elle qui « chantait dans son cœur la gloire de Dieu » selon ses hagiographes. 

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Je cherchai aussi:  

Commentaire du Saint Augustin aux Psaumes,  IIme lecture d’aujourd’hui pour Sainte Cécile :  

 7.« et bénissez Dieu sur la harpe, et chantez-le sur le psaltérion à dix cordes».8. « Chantez-lui un cantique nouveau (Ps. XXXII, 3 ) ». Dépouillez-vous du vieil homme: vous connaissez le cantique nouveau. Le nouvel homme, la nouvelle alliance, voilà le cantique nouveau. Le cantique nouveau n’est point l’héritage du vieil homme: il n’y a pour l’apprendre que les hommes nouveaux, qui ont rajeuni le vieil homme dans la grâce, et qui appartiennent au Nouveau Testament, c’est- à-dire au royaume des cieux. C’est vers lui que notre amour exhale ses soupirs, à lui qu’il chante ses cantiques. Qu’il chante ce cantique, non de la voix, mais par les actions de la vie. « Chantez-lui un cantique nouveau, chantez-le sagement ». Chacun se demande : comment chanter à Dieu ? Oui, chantez, mais qu’il n’y ait aucun désaccord; Dieu ne peut souffrir que l’on blesse ses oreilles. Chante sagement, ô mon frère. Devant un habile musicien qui doit t’écouter; que l’on te dise Chante pour lui plaire, situ crains de chanter parce que tut es dépourvu de science musicale, et qu’un (301) artiste peut trouver en toi des défauts inaperçus pour un ignorant: qui se flattera de chanter avec harmonie, pour Dieu, qui juge du chantre avec tant de sagacité, qui pénètre dans tous les détails, qui écoute si attentivement? Quand votre chant sera-t-il assez harmonieux, pour n’offenser en rien des oreilles si délicates ? Voici qu’il vous prescrit lui-même la manière de chanter; ne cherchez point les paroles comme si vous pouviez en trouver pour expliquer ce qui plaît à Dieu. Chantez « par vos transports ». Pour Dieu, bien chanter, c’est chanter dans la joie. Mais qu’est-ce que chanter avec transport? C’est comprendre que des paroles sont impuissantes à rendre le chant du coeur. Voyez ces travailleurs qui chantent soit dans les moissons, soit dans les vendanges, soit dans tout autre labeur pénible : ils témoignent d’abord leur joie par des paroles qu’ils chantent; puis, comme sous le poids d’une grande joie que des paroles ne sauraient exprimer, ils négligent toute parole articulée et prennent la marche plus libre de sons confus. Cette jubilation est donc pour le coeur un son qui signifie qu’il ne peut dire ce qu’il conçoit et enfante. Or, à qui convient cette jubilation, sinon à Dieu qui est ineffable? Car on appelle ineffable ce qui est au-dessus de toute expression. Mais si, ne pouvant l’exprimer, vous- devez néanmoins parler de lui, quelle ressource avez-vous autre que la jubilation, autre que cette joie inexprimable du coeur, cette joie sans mesure, qui franchit les bornes de toutes les syllabes?  « Chantez harmonieusement, chantez dans votre jubilation ».  

Sainte Cecile - memoire - dans saints Maderno%20-%20Santa%20Cecilia%20(Roma)

Santa Cecilia – Stefano Maderno – Chiesa di Santa Cecilia – Roma

BÉNIT XVI – Audience Gènéral: « Paul – la centralité de Jésus Christ »

22 novembre, 2006

Traduction  de la catéchèse d’aujourd’hui avec un traducteur on line et le contrôle orthographique du Word ( et moi) ; 

Du 8.11.06, mercredi, sur le site Vatican la traduction en français de le catéchèse du Pape est intégral;  

BÉNIT XVI  AUDIENCE GÉNÉRALE 

Place San Pietro Mercredi, 8 novembre 2006    Paul – la centralité de Jésus Christ 

Chers frères et soeurs, dans les catéchèse précédent, il y à quinze jours, j’ai cherché de tracer les lignes essentielles de la biographie de l’apôtre Paolo. Nous avons vu comme la rencontre avec Christ sur la route de Damas ait littéralement révolutionné sa vie. Christ devenue son ragions d’être et je motive profond de tout son travail apostolique. Dans ses lettres, après le nom de Dieu, qui apparaît plus que 500 fois, le nom qui sont mentionnées plus souvent il est cela que Christ (380 fois). Il est donc important qu’on rend compte de ce que Jésus Christ puisse peser dans la vie d’un homme et donc même dans notre même vie. En réalité, Christ Jésus est le sommet de l’histoire salvifique et donc le vrai point discriminant même dans je dialogue avec les autres religions. En regardant à Paul, nous pourrions formuler ainsi l’interrogatif de fond : comment se produit la rencontre d’un être humain avec Christ ? Et dans qu’il consiste le rapport qui en dérive ? Répondue donnée de Paolo il peut être compris en deux instants. En premier lieu, Paolo nous aide à comprendre la valeur absolument fondante et irremplaçable de la foi. Voilà ce qu’il écrit dans
la Lettre les Romains : « Nous retenons que l’homme est justifié pour la foi, indépendamment des oeuvres de
la Loi » (3.28). Et ainsi aussi dans
la Lettre aux Galati : « L’homme n’est pas justifié des oeuvres de
la Loi, mais seulement pour du moyen de la foi en Jésus Christ ; donc nous nous avons crus même en Jésus Christ pour être justifiés de la foi en Christ et pas des oeuvres de
la Loi, puisque des oeuvres de
la Loi il ne sera jamais justifié non aucun « (2.16). « Être justifié » il signifie être rendus juste, c’est-à-dire être accueilli de la justice miséricordieuse de Dieu, et entrer en communion avec Lui, et par conséquent pouvoir établir un rapport beaucoup plus j’authentifie avec tous nos frères : et celui sur la de base d’un total je pardonne de nos péchés. Eh bien, Paul dit avec toute clarté qui cette condition de vie ne dépend pas de nos éventuelles oeuvres bonnes, mais d’une pure grâce de Dieu : « Nous sommes justifiés gratuitement pour sa grâce, en vertu des rédemption réalisée de Christ Jésus » (Rm 3,24). Avec ces mots Saint Paul exprime le contenu fondamental de sa conversion, la nouvelle direction de sa vie résultante de sa rencontre avec le Christ rené. Paolo, avant la conversion, n’avait pas été un homme lointain de Dieu et de sa Loi. Au contraire, il était observant, avec une observance fidèle jusqu’au fanatisme. Dans la lumière de la rencontre avec Christ il comprit, cependant, qu’avec ceci il avait cherché de construire si même, sa justice, et qu’avec toute cette justice il avait vécu pour si même. Il comprit qu’un nouvel orientation de sa vie était absolument nécessaire. Et cet nouvel orientation nous le trouvons exprimé dans ses mots : « Cette vie que je vis dans la chair je la vis dans la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimé et a donné si même pour moi » (Gal 2, 20). Paolo, donc, il ne vit plus pour lui, pour sa justice. Il vit de Christ et avec Christ : en donnant si même, plus en ne cherchant pas et en construisant si même. Celle-ci est la nouvelle justice, le nouvel orientation offert nous des Seigneur, offert nous de la foi. Devant la croix du Christ, expression extrême de ses autodonazione, il n’y a personne qui puisse vanter si même, sa justice faite d’elle, pour elle ! Ailleurs Paolo retenissant (retenir) Geremia, explicite cette pensée en écrivant : « Qui se vante des orgueils dans les Seigneur » (1 Cor 1.31 = Ger 9,22s) ; ou bien : « Quant à il n’y ait pas autre vante que dans la croix des Seigneur notre Jésus Christ, pour moyen dont le monde pour a été crucifié comme moi pour le monde » (Gal 6,14). En réfléchissant sur qu’il veut dire justification pas pour les oeuvres mais pour la foi, nous sommes ainsi arrivés à la deuxième composante qui définit l’identité chrétienne décrite Saint Paul dans sa vie. Identité chrétienne qui se compose vraiment de deux éléments : ceci ne pas se chercher de soi, mais se recevoir Christ et à s’offrir avec Christ, et ainsi participer personnellement à l’événement de Christ même, jusqu’à se plonger dans Lui et à partager aussi bien ses mortes combien sa vie. Il est ce qui Paolo écrit dans
la Lettre les Romains : « Nous avons été baptisés dans ses mortes… avons été enterrés avec lui… avons été complètement unis à lui… Ainsi même vous considérez vous morts au péché, mais en vivant pour Dieu en Christ Jésus « (Rm 6,3.4.5.11). Vraiment cette dernière expression est symptomatique : pour Paul, en effet, ne suffit pas de dire que les chrétiens sont des baptisés ou des croyants ; pour il est aussi important dire qu’ils sont » en Christ Jésus « (cfr même Rm 8,1.2.39 ; 12.5 ; 16,3.7.10 ; 1 Cor 1.2,3, etc). Autres fois il renverse les termes et écrit que « Christ il est dans nous/vous » (Rm 8.10 ; 2 Cor 13,5) ou « dans moi » (Gal 2,20). Ces mutuelle compénétration entre Christ et la chrétien, caractéristique de l’enseignement de Paolo, complète son discours sur la foi. La foi, en effet, aussi en nous unissant intimement à Christ, souligne la distinction entre nous et Lui. Mais, en second lieu Paul, la vie du chrétien a aussi une composante que nous pourrions dire ` mystique’, puisqu’il comporte des identification de nous avec Christ et de Christ avec nous. En ce sens, l’Apôtre arrive même à qualifier nos souffrances comme les « souffrances de Christ dans nous » (2 Cor 1,5), ainsi que nous « portons toujours et partout dans notre corps les mortes de Jésus, parce que même la vie de Jésus se manifeste dans notre corps » (2 Cor 4,10). Tout ceci nous devons le baisser dans notre vie quotidienne en suivant l’exemple de Paolo qui a vécu toujours avec ce grand respire spirituel. D’une partie, la foi doit nous maintenir dans une constante attitude d’humilité face à Dieu, au contraire d’adoration et d’éloge dans le sien tu confrontes. En effet, ce que nous sommes puisque chrétiens nous le lui devons seulement et à sa grâce. Puisque rien et personne ne peut prendre sa place, faut donc que rien à autre et à aucun autre nous rendons l’hommage que le rendons Nous. Aucun idole doit contaminer notre univers spirituel, autrement au lieu de jouir de la liberté acquise retomberions dans une forme de humiliant de l’esclavage. De l’autre partie, de notre radicale appartenance à Christ et de fait que « nous sommes dans Lui » il doit nous inspirer une attitude de totale confiance et d’immense joie. En définitive, en effet, nous devons exclamer avec Saint Paul : « Si Dieu est pour nous, qui sera contre de nous? » (Rm 8,31). Et répondue il est que rien et personne « ne pourra jamais nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Christ Jésus, nos Segneur » (Rm 8,39). Notre vie chrétienne, donc, pose sur la roche plus stable et sûre qu’il puisse s’imaginer. Et d’elle nous tirons toute notre énergie, comme il écrit justement l’Apôtre : « Tout je peux dans celui qui il me donne la force » (Fi1 4,13). Nous affrontons donc notre existence, avec ses joies et ses douleurs, soutenus de ces grands sentiments que Paolo nous offre. En faisant l’expérience nous pourrons comprendre combien soit vrai ce que le même Apôtre écrit : « Je sais à quel j’ai cru, et suis auto convaincu qu’il est capable de conserver mien dépose jusqu’à ce giorno », c’est-à-dire jusqu’au giorno définitif (2 Tm 1,12) de les nôtre je rencontre avec Christ Juge, Salvatore du monde et les nôtre.

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Saluts : Je salue cordialement les pèlerins francophones présents ce matin, en particulier les lecteurs du magazine « Pèlerin ». Puisse le exemple de Paul vous inviter à demeurer toujours plus « dans le Christ », la louant Dieu, ici, par sait seule grâce, fait de à vous ce que vous êtes. 

BÉNIT XVI - Audience Gènéral:

A gust of wind blows up Pope Benedict XVI’s mantle as he leads his weekly general audience in Saint Peter’s Square at the Vatican November 22, 2006. REUTERS/Max Rossi (VATICAN)

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,

22 novembre, 2006

du Zenith: 

2006-11-21

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,

1er livre du pape

Un livre christocentrique et trinitaire

ROME, Mardi 21 novembre 2006 (ZENIT.org) –

 Benoît XVI vient d’achever la première partie de son premier livre en tant que pape. Cette lecture de l’Evangile est centrée sur la connaissance de la personne de Jésus, dans sa relation aux deux autres personnes de la Sainte Trinité, comme l’indique le titre, révélé par la salle de presse du Saint-Siège: « Jésus de Nazareth. Du baptême dans le Jourdain à la Transfiguration ».Le Baptême dans le Jourdain et la transfiguration sont en effet par excellence des lieux de l’Evangile où le Père manifeste sa paternité et son amour pour son Fils, dans l’Esprit.

Le pape vient de remettre son texte à la Librairie éditrice du Vatican (LEV) son éditeur, qui a exprimé mardi ses remerciements à Benoît XVI pour son « estime » et sa « confiance ».

La LEV a déjà signé des accords avec les éditions italiennes Rizzoli pour les droits de traductions de diffusion et de commercialisation dans le monde entier.

La LEV exprime ainsi la continuité de collaboration avec la « Casa Editrice Rizzoli » et la remercie de son travail éditorial pour faire connaître les écrits de Jean-Paul II, en particulier son dernier essai: « Mémoire et identité ».

Pour l’Allemagne, Rizzoli a reconnu les « liens d’estime et d’amitié » qui lient depuis plus de 50 ans le professeur puis cardinal Ratzinger aux éditions Herder et c’est pourquoi la « Herder Verlag » s’est vu céder les droits sur l’œuvre dans la République fédérale.

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,  dans Pape Benoît - écrit

Pope Benedict XVI gives his weekly general audience in St Peter’s square at the Vatican, November 15. The pope has put the finishing touches on the first volume of a work titled « Jesus of Nazareth » that will hit the bookstores in the spring, the Vatican has said.(AFP/File/Vincenzo Pinto)

une belle image – un article que je traduirai

21 novembre, 2006

j’ai trouvé cette très belle image – j’ai cherché un image d’un enfant pour un article sur mon Blog italien – l’article  que je présente, très intéressant -  écrit d’un journaliste que je estime - est sur la pedophilie (je ne trouve pas la traduction en français – du grec : pâis-paidós enfant- petit enfant)  de prêtre e la position di Pape Benoît, il est difficile à traduire (mais peut être…je le ferai); photo du site: 

http://www.ucm.es/info/genetica/grupod/Genetica%20evolutiva/Especiacion/Especiacion.htm

une belle image - un article que je traduirai dans sujets interessants aujourd'hui

P. F. Manns: Formation au dialogue

21 novembre, 2006

 du SBF Jerusalem:

16.11.2006 @ 17:15
Formation au dialogue

SBF Dialogue
Les nouvelles des journaux ne sont pas toujours réjouissantes. C’est avec un grand plaisir que j’ai trouvé deux informations positives.
La première annonce que la technique tchèque d’animation de marionnettes a accepté de se mettre au service de l’histoire des trois religions monothéistes pour les raconter aux enfants. “Le Temps des Fondations” est le titre de cette série qui sort en novembre en trois DVD.
L’idée a pris forme après les attentats du 11 septembre 2001, lorsque l’urgence d’une meilleure connaissance réciproque des uns et des autres a semblé de plus en plus nécessaire. Mais elle était déjà née lors de plusieurs rencontres d’experts sur le thème des Routes de la foi à Rabat.
Il est important de donner des informations non seulement sur le récit mais aussi sur l’esprit des fondations des religions. Au départ il n’y avait aucune idée belliqueuse dans les religions. Les fondateurs étaient souvent de gens exclus, comme les Hébreux en Egypte, Jésus de Nazareth rejeté par les prêtres, ou le prophète Muhamad chassé à Médine”.
La série raconte les débuts du judaïsme, du christianisme et de l’islam vus à travers les yeux d’enfants, héros de neuf épisodes de sept minutes chacun consacrés à chacune des trois religions.
Les responsables religieux tchèques ont approuvé le scénario : le grand rabbin de Prague, un pasteur protestant et le chef du Centre islamique de Prague.
Le dialogue des religions est devenu incontournable dans la société postmoderne. Les trois monothéismes restent trop souvent rivés au passé: le judaïsme orthodoxe avec son étroit système halachique ; le catholicisme avec son droit canon; l’islam avec sa charia. Lorsque ces religions accepteront le paradigme de l’âge moderne, beaucoup de problèmes seront résolus. Les grandes réconciliations de l’histoire qui ont marqué le siècle dernier – France et Allemagne, Afrique du Sud – doivent se poursuivre au niveau des religions. Des esprits ouverts, comme celui de Ghandi, de Jean XXIII et de Desmond Tutu, ont fait craquer de l’intérieur des systèmes clos.
Une autre nouvelle réjouissante s’ajoute à la première. L’Espagne de Cordoue, et la Turquie d’Istanbul, pont naturel entre deux cultures, viennent de soutenir l’alliance des civilisations, initiative des Nations Unies née en 2004 pour rapprocher les cultures.
Mais pour arriver à ce but, de grandes déclarations d’intention sur l’éducation ou la jeunesse ne suffisent pas. La dimension politique du problème n’échapppe à personne. Le caractère urgent d’une solution au conflit du Proche-Orient crève les yeux. Et les armées occidentales n’ont pas pour vocation de s’installer définitivement dans les pays musulmans pour assurer l’acheminement du pétrole vers les pays riches.

Frédéric Manns

P. F. Manns: Formation au dialogue dans sujets interessants aujourd'hui temple_jerusalem_model

image du site:

http://lexicorient.com/e.o/templej.htm

du « Le Figaro »: Les propos de Benoit XVI sur la liturgie

21 novembre, 2006

du  »Le Figaro »:

Les propos de Benoit XVI sur la liturgie  Publié le 10 novembre 2006      

Avant de devenir pape, Joseph Ratzinger a exprimé à de multiples reprises sa conception de la liturgie et son opinion sur les conséquences de la réforme initiée par le Concile Vatican II. Extraits de différents discours et ouvrages.                   

- « Le Concile a été tout simplement dépassé, lui qui, par exemple, avait dit que la langue du rite romain restait le latin, mais qu’il fallait accorder aux langues nationales la place qui convenait. » (La célébration de
la Foi
, éditions Téqui, Paris 1981.) 
    - « L’effrayant appauvrissement qui se manifeste là où l’on chasse la beauté et où l’on assujettit [la liturgie] seulement à l’utile, est devenu de plus en plus évident. L’expérience a montré que le fait de s’en tenir àla seule notion d’ »accessible à tous » n’a pas rendu les liturgies véritablement plus compréhensibles ou plus ouvertes, mais seulement plus indigentes. Liturgie « simple » ne signifie pas misérable ou à bon marché; il y a une simplicité qui vient du banal, et une autre qui découle de la richesse spirituelle, culturelle et historique. » (Entretien sur la foi, éditions. Fayard, Paris 1985.)    - « Bien qu’il y ait de nombreux motifs qui peuvent avoir poussé un grand nombre de fidèles à trouver refuge dans la liturgie traditionnelle, le plus important d’entre eux est qu’ils y trouvent préservée la dignité du sacré. Après le Concile, de nombreux prêtres ont délibérément érigé la désacralisation au niveau d’un programme d’action. (…) Animés par de telles idées, ils ont rejeté les vêtements sacrés; autant qu’ils ont pu, ils ont dépouillé les églises de leurs splendeurs qui rappelaient le sacré et ils ont réduit la liturgie au langage et aux gestes de la vie de tous les jours par le moyen de salutations, de signes d’amitié et autres éléments. » (Conférence faite aux Evêques du Chili en juillet 1988. )    - « On aurait besoin pour le moins d’une nouvelle conscience liturgique, pour faire disparaître cet esprit de bricolage. On en est arrivé à ce que des cercles liturgiques se bricolent eux-mêmes une liturgie du dimanche (…) Je m’aperçois que ce n’est pas cela que je cherche. C’est trop peu, c’est autre chose. Ce qu’il y a de plus important aujourd’hui, c’est le respect de la liturgie et du fait qu’on ne peut pas la manipuler. C’est de réapprendre à la considérer comme un organisme vivant et offert, par lequel nous participons à la liturgie céleste. C’est de ne pas y chercher notre propre accomplissement, mais le don qui nous advient. Je crois que ce qui est prioritaire c’est que cette manière de faire personnelle et arbitraire disparaisse et que s’éveille le sens intérieur pour le sacré. Dans une deuxième étape, on pourrait voir dans quel domaine on a supprimé trop de choses, et que la cohérence avec toute l’histoire puisse redevenir plus évidente et plus vivante. » (dans Voici quel est notre Dieu, édition Plon-Marne, 2001)  - « Il est nécessaire de restaurer non pas certaines cérémonies, mais l’idée fondamentale de la liturgie. Car dans la liturgie, ce n’est pas nous-mêmes qui nous représentons, mais le Christ et son Eglise (…). De manière plus générale, je pense que la traduction de la liturgie dans les langues parlées a été une bonne chose pour faire que les célébrations soient comprises et pour que les fidèles puissent y participer; mais je pense aussi que l’on peut participer autrement: par l’esprit. Certains temps forts en latin me sembleraient utiles pour restituer cette dimension universelle de la liturgie (…) Si le langage populaire est une solution, le maintien du latin pourrait l’accompagner pour retrouver cette dimension. » (Au cours d’une interview télévisée à la chaîne catholique Eternal World Television Network, le 5 septembre 2003.)          

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La liberté religieuse ne nuit pas aux intérêts de l’Etat, souligne Benoît XVI

21 novembre, 2006

j’espère d’avoir resolu le probleme avec mon Blog italien;

du Zenith: 

2006-11-20

La liberté religieuse ne nuit pas aux intérêts de l’Etat, souligne Benoît XVI

Visite du président Napolitano au Vatican

ROME, Lundi 20 novembre 2006 (ZENIT.org) – La liberté religieuse ne nuit pas aux intérêts de l’Etat, a souligné le pape Benoît XVI qui a reçu ce matin au Vatican le président de la République italienne, M. Giorgio Napolitano. Celui-ci a dit pour sa part apprécier le rôle social et public de la religion.Il s’agissait de la première visite du président italien au Vatican depuis son élection le 11 mai dernier : elle a duré environ deux heures. C’était aussi la première fois qu’un président de la République italienne issu du Parti communiste franchissait la Porte de bronze. M. Napolitano était accompagné de sa femme, Mme Clio Napolitano, et du vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères, M. Massimo d’Alema, – et son épouse Linda – lui aussi naguère premier Président du conseil ex-communiste à se rendre au Vatican.

Le président de la République a eu un entretien privé de 25 minutes en la bibliothèque du pape, avant les discours officiels et la rencontre avec le cardinal Secrétaire d’Etat Tarcisio Bertone et le ministre des affaires étrangères du Vatican, Mgr Dominique Mamberti.

Benoît XVI a saisi l’occasion pour redire sa gratitude au peuple italien qui le soutient, disait-il, « avec chaleur et enthousiasme », depuis le début de son pontificat. Il souhaite que « la Nation italienne sache avancer sur la voie de l’authentique progrès et puisse offrir à la communauté internationale sa précieuse contribution en promouvant toujours plus ces valeurs humaines et chrétiennes qui nourrissent son histoire, sa culture, son patrimoine d’idées, de droit et d’art, et qui sont aujourd’hui encore au fondement de l’existence et de l’engagement de ses citoyens ».

Faisant allusion à la prochaine visite ad limina des évêques italiens, Benoît XVI a souligné la « contribution loyale et généreuse de l’Eglise catholique à travers l’enseignement de ses évêques ».

Benoît XVI a cité à ce propos la constitution conciliaire Gaudium et Spes, pour rappeler que la communauté politique et l’Eglise, tout en étant « indépendantes et autonomes, chacune dans son domaine », sont toutes les deux « au service de la vocation personnelle et sociale des personnes humaines ».

C’est dans ce contexte que le pape souhaitait une saine collaboration : « Tout en étant distincts, l’Eglise et l’Etat sont tous deux appelés, disait Benoît XVI, selon leurs missions respectives et avec leurs fins et leurs moyens propres, à servir l’homme qui est en même temps destinataire et participant de la mission salvifique de l’Eglise et citoyen de l’Etat. C’est dans l’homme que ces deux sociétés se rencontrent et collaborent pour mieux en promouvoir le bien intégral ».

Benoît XVI faisait observer que cette vision a inspiré également l’accord qui a apporté des modifications au concordat de 1929. Le pape a ainsi souligné la dimension religieuse de la personne humaine, qui, selon les enseignements du concile Vatican II, doit être respectée et promue par l’autorité humaine.

D’autre part, faisait observer le pape, on ne peut pas considérer que ce droit est garanti seulement « lorsque l’on ne se fait pas violence ou que l’on n’intervient pas sur les convictions personnelles » : la liberté religieuse « est un droit non seulement de l’individu, mais aussi de la famille, des groupes religieux et de l’Eglise même », ajoutait le pape.

C’est pourquoi, précisait Benoît XVI, le pouvoir civil doit créer « des conditions propices au développement de la vie religieuse », dans l’intérêt de la société elle-même.

« La liberté que l’Eglise et les chrétiens revendiquent, ne nuit pas aux intérêts de l’Etat ou d’autres groupes sociaux et ne vise pas de suprématie autoritaire sur eux, mais est plutôt la condition pour que, comme je l’ai dit au cours du récent congrès national ecclésial qui a eu lieu à Vérone, l’on puisse remplir ce service précieux de l’Eglise offre à l’Italie, et à chaque pays où elle est présente ».

Un tel service rendu à la société s’exprime, continuait le pape, dans les domaines civil et politique, puisque, ne prétendant pas être un agent politique, l’Eglise a cependant un « intérêt profond pour le bien de la communauté politique ».

Le pape a également mis l’accent sur l’engagement des fidèles laïcs, et leur « apport spécifique », « en agissant avec pleine responsabilité et en faisant usage du droit de participation à la vie publique, qu’ils ont à égalité avec les autres citoyens, en s’engageant avec les autres membres de la société, à construire un ordre juste dans cette société ».

Et de préciser que lorsque les fidèles s’engagent pour faire face aux grands défis actuels, comme la guerre, le terrorisme, la faim, la pauvreté, mais aussi la protection de la vie humaines à toutes ses phases, « ils n’agissent pas pour un intérêt particulier, ou au nom de principes perceptibles uniquement par qui professe un credo religieux déterminé ». Ils le font, continuait le pape, « selon les règles de la coexistence démocratique » et « pour le bien de toute la société », « au nom de valeurs que chaque personne qui pense avec droiture peut partager ». Ces valeurs, a ajouté le pape, sont, en majeure partie proclamées par la Constitution italienne.

Le pape a offert au président une mosaïque et une médaille de la seconde année du pontificat, et le président a offert au pape un bas-relief en argent intitulé « Paix » (Pace) et signé par le sculpteur italien Antonio Nocera.

Après la rencontre avec le cardinal Bertone et Mgr Mamberti, le président Napolitano a achevé sa visite au Vatican par la basilique Saint-Pierre, et il s’est recueilli près de la tombe de saint Pierre.

Il y a six mois, le pape Benoît XVI avait adressé un message de félicitations au président Napolitano à l’occasion de son élection : le président l’avait accueilli comme « un motif d’encouragement ».
La liberté religieuse ne nuit pas aux intérêts de l’Etat, souligne Benoît XVI dans sujets interessants aujourd'hui

Pope Benedict XVI (L) meets Italian President Giorgio Napolitano in his private apartments at the Vatican November 20, 2006. REUTERS/Plinio Lepri/Pool (VATICAN)

Le matin, priez avec Grégoire de Nazianze

21 novembre, 2006

Le matin, priez avec Grégoire de Nazianze

Pour s’éveiller en beauté…

Grégoire de Nazianze († 390) était un auteur prolixe. Son oeuvre compte non seulement nombre de discours théologiques mais encore plusieurs centaines de poèmes dogmatiques, moraux, historiques et autobiographiques. La prière du matin que nous publions est extraite des Poèmes sur sa vie.

Voici l’aurore
Voici mes mains
Ô mon Dieu
Je te les donne.

Les oeuvres de la nuit
Ne pas les faire miennes
Ne pas y consentir.

Mon désir, cette journée
Te l’offrir sans réserve
Rester inébranlable
Libre de tout péché.

Je rougis, à mon âge
Être encore mauvais
Et partager ta table.

Vois mon désir
Ô mon Christ
Avec toi
Le chemin est aisé.

Extrait des Poèmes sur sa vie (PG 37, 1284, trad. L. Fritz).

du site:

http://www.patristique.org/article.php3?id_article=35

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j’ai des problèmes avec le Blog italien

20 novembre, 2006

j’ai des problèmes avec le Blog italien, je ne récit pas di tout parce qu’il n’en vaut pas peine, je  souffre  un peu si je dois changer, mais tente de me déplacer sur Blogger qui est de Google et est plus sûr, est un année et un moyen que je travaille sur le Blog italien et ai un numéro de visiteurs supérieur aux 60.000, toutefois me trouve chez moi seul avec vous,

 

bisous

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