Archive pour le 29 novembre, 2006

aux revoir comme je peux, ciao,

29 novembre, 2006

J’ai réussi à mettre quelque chose sur le Blog, ensuite aux 18.30 me suis interrompue pour suivre la rencontre de la Papa avec Bartolomeo I ; aux revoir comme je peux, ciao,

Benoît XVI célèbre la messe en plein air à Ephèse, sanctuaire chrétien le plus sacré de Turquie –Par Victor Simpson–

29 novembre, 2006

du site:

http://permanent.nouvelobs.com/

Benoît XVI célèbre la messe en plein air à Ephèse, sanctuaire chrétien le plus sacré de Turquie –Par Victor Simpson–
Benoît XVI célèbre la messe en plein air à Ephèse, sanctuaire chrétien le plus sacré de Turquie --Par Victor Simpson-- dans FRANCE trans
AP | 29.11.06 | 14:12
trans dans FRANCE

KNO114-1129062055
SELCUK (AP) — Au deuxième jour de sa visite en Turquie, le pape Benoît XVI a célébré mercredi matin une messe en plein air à Ephèse, dans l’Ouest du pays, où la Vierge Marie aurait passé les dernières années de sa vie. Il a rendu hommage à un prêtre catholique tué en février à Trébizonde au moment des manifestations contre les caricatures de Mahomet.
En raison du dispositif de sécurité renforcée autour du souverain pontife, seulement 250 personnes ont été autorisées à assister à la cérémonie près de la « Maison de Marie », sanctuaire chrétien le plus sacré du pays.
Durant son homélie, Benoît XVI a salué la mémoire d’un prêtre catholique assassiné en février par un adolescent à Trébizonde, dans le Nord du pays, apparemment en réaction à la publication des caricatures du prophète de l’islam Mahomet.
« Chantons joyeusement, même lorsque nous sommes mis à l’épreuve par les difficultés et les dangers, comme nous l’avons appris du beau témoignage du prêtre Andrea Santoro, dont j’ai le plaisir d’évoquer le souvenir lors de cette messe », a déclaré le souverain pontife.
Mardi, à son arrivée en Turquie, Benoît XVI avait commencé sa visite en lançant un appel au dialogue et à la « fraternité » entre chrétiens et musulmans, afin d’apaiser les tensions nées de ses déclarations controversées sur l’Islam.
Mercredi, dans le droit fil de cet appel, il a cité mercredi un de ses prédécesseurs, Jean XIII, qui a représenté le Vatican entre 1934 et 1944 comme délégué apostolique: « J’aime les Turcs. J’apprécie les qualités naturelles de ce peuple, qui a sa place réservée dans la marche de la civilisation. »
Il s’est également adressé aux catholiques de Turquie, « petit troupeau de fidèles » dans un pays à majorité musulmane. Le pape est venu leur « offrir une parole d’encouragement et manifester l’affection de toute l’Eglise ». « J’ai souhaité transmettre mon amour personnel et ma proximité spirituelle, avec celle de l’église universelle, à la communauté chrétienne ici en Turquie, une petite minorité confrontée quotidiennement à de nombreux défis et difficultés », a ajouté Benoît XVI.
Les pèlerins ont agité des drapeaux aux couleurs jaune et blanc du Vatican à l’arrivée du chef de l’église catholique, protégé par un important dispositif de sécurité, avec notamment le survol d’un hélicoptère de l’armée. Benoît XVI est le troisième pape à visiter la Maison de Marie, après Paul VI en 1967 et Jean Paul II en 1979.
Les vestiges de cette petite maison de pierre, dont les fondations les plus anciennes remontent au premier siècle de l’ère chrétienne, sont devenus un lieu de pèlerinage populaire depuis les années 50, visité tant par les chrétiens que les musulmans.
Après la messe, le pape devait gagner Istanbul pour y rencontrer mercredi le patriarche Bartholomée Ier, chef spirituel de 300 millions de chrétiens orthodoxes.
Les deux branches majeures de la chrétienté, l’Eglise catholique romaine héritière de l’Eglise d’Occident et les églises orthodoxes issues de l’Eglise d’Orient sont séparées depuis le schisme de 1054, dû à un conflit sur les pouvoirs du pape et des divergences liturgiques. Les chefs spirituels des deux églises s’efforcent depuis plusieurs années d’oeuvrer à un difficile rapprochement. AP

RENCONTRE AVEC LE CORPS DIPLOMATIQUE

29 novembre, 2006

texte original du site de la Saint-Siège: 

VOYAGE APOSTOLIQUE DU PAPE
BENOÎT XVI
EN TURQUIE
(28 NOVEMBRE – 1er DÉCEMBRE 2006)

RENCONTRE AVEC LE CORPS DIPLOMATIQUE
AUPRÈS DE LA RÉPUBLIQUE DE TURQUIE

DISCOURS DU SAINT-PÈRE

Nonciature apostolique d’Ankara
Mardi 28 novembre 2006

Excellences,
Mesdames et Messieurs,

J’ai préparé mon discours en français, car c’est la langue de la diplomatie, espérant qu’il pourra être compris.

Je vous salue avec une grande joie, vous qui, en tant qu’Ambassadeurs, exercez la noble charge de représenter vos pays auprès de la République de Turquie et qui avez bien voulu rencontrer le Successeur de Pierre dans cette Nonciature, et je remercie votre Vice-Doyen, Monsieur l’Ambassadeur du Liban, pour les aimables paroles qu’il vient de m’adresser. Je suis heureux de vous redire l’estime que le Saint-Siège a maintes fois exprimé pour votre haute fonction qui assume aujourd’hui une dimension toujours plus «globale». En effet si votre mission vous conduit, avant tout, à protéger et à promouvoir les intérêts légitimes de chacune de vos nations, «l’inéluctable interdépendance qui aujourd’hui relie toujours davantage tous les peuples du monde invite tous les diplomates à être, dans un esprit toujours neuf et original, les artisans de l’entente entre les peuples, de la sécurité internationale et de la paix entre les nations» (Jean-Paul II, Discours au Corps diplomatique, Mexico, 26 janvier 1979).

Je tiens d’abord à évoquer devant vous le souvenir des visites mémorables de mes deux prédécesseurs en Turquie, le Pape Paul VI, en 1967, et le Pape Jean-Paul II, en 1979. Comment ne pas faire mémoire également du Pape Benoît XV, artisan infatigable de la paix au cours du premier conflit mondial, et du Bienheureux Jean XXIII, le Pape «ami des Turcs», qui fut Délégué apostolique en Turquie et Administrateur apostolique du Vicariat latin d’Istanbul, laissant à tous le souvenir d’un pasteur attentif et plein de charité, spécialement désireux de rencontrer et de connaître la population turque dont il était l’hôte reconnaissant ! Je suis heureux d’être aujourd’hui l’hôte de la Turquie, venu ici en ami et en apôtre du dialogue et de la paix.

Il y a plus de quarante ans, le Concile Vatican II écrivait que «la paix n’est pas une pure absence de guerre et qu’elle ne se borne pas seulement à assurer l’équilibre de forces adverses», mais qu’elle «est le fruit d’un ordre inscrit dans la société humaine par son divin Fondateur, et qui doit être réalisé par des hommes qui ne cessent d’accéder à une justice plus parfaite» (Gaudium et spes, n. 78). Nous avons en effet appris que la véritable paix a besoin de la justice, pour corriger les déséquilibres économiques et les désordres politiques qui sont toujours des facteurs de tensions et de menaces dans toute société. Le développement récent du terrorisme et l’évolution de certains conflits régionaux ont par ailleurs mis en évidence la nécessité de respecter les décisions des Institutions internationales et aussi de les soutenir, en leur donnant notamment des moyens efficaces pour prévenir les conflits et pour maintenir, grâce à des forces d’interposition, des zones de neutralité entre les belligérants. Tout cela reste pourtant inefficace si ce n’est pas le fruit d’un vrai dialogue, c’est-à-dire d’une sincère rencontre entre les exigences des parties concernées, afin de parvenir à des solutions politiques acceptables et durables, respectueuses des personnes et des peuples. Je pense tout particulièrement au conflit du Moyen-Orient, qui perdure de manière inquiétante en pesant sur toute la vie internationale, au risque de voir se généraliser des conflits périphériques et se diffuser les actions terroristes; je salue les efforts des nombreux pays, dont la Turquie, qui se sont engagés aujourd’hui dans la restauration de la paix au Liban, plus nécessaire que jamais. J’en appelle une fois de plus, devant vous, Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs, à la vigilance de la communauté internationale, pour qu’elle ne se dérobe pas à ses responsabilités et qu’elle déploie tous les efforts nécessaires pour promouvoir, entre toutes les parties en cause, le dialogue qui seul permet d’assurer le respect d’autrui, tout en sauvegardant les intérêts légitimes et en refusant le recours à la violence. Comme je l’ai écrit dans mon premier Message pour la Journée mondiale de la Paix, «la vérité de la paix appelle tous les hommes à entretenir des relations fécondes et sincères; elle les encourage à rechercher et à parcourir les voies du pardon et de la réconciliation, à être transparents dans les discussions et fidèles à la parole donnée» (1er janvier 2006, n. 6).

La Turquie a depuis toujours une situation de pont entre l’Orient et l’Occident, entre le continent asiatique et le continent européen, et de carrefour de cultures et de religions. Au siècle dernier, elle s’est donné les moyens de devenir un grand pays moderne, en faisant notamment le choix d’un État laïque, distinguant clairement la société civile et la religion, afin de permettre à chacune d’être autonome dans son domaine propre, tout en respectant la sphère de l’autre. Le fait que la majorité de la population de ce pays soit musulmane constitue une réalité marquante de la vie sociale dont l’État ne peut que tenir compte, mais la constitution turque reconnaît à tout citoyen les droits à la liberté de culte et à la liberté de conscience. C’est le devoir des Autorités civiles dans tout pays démocratique de garantir la liberté effective de tous les croyants et de leur permettre d’organiser librement la vie de leur communauté religieuse. Je souhaite bien sûr que les croyants, à quelque communauté religieuse qu’ils appartiennent, puissent toujours bénéficier de ces droits, certain que la liberté religieuse est une expression fondamentale de la liberté humaine et que la présence active des religions dans la société est un facteur de progrès et d’enrichissement pour tous. Cela implique bien sûr que les religions elles-mêmes ne recherchent pas à exercer directement un pouvoir politique, car elles n’ont pas vocation à cela, et, en particulier, qu’elles renoncent absolument à cautionner le recours à la violence comme expression légitime de la démarche religieuse. Je salue à cet égard la communauté catholique de Turquie, peu nombreuse mais très attachée à participer de son mieux au développement du pays, notamment par l’éducation de la jeunesse, ainsi qu’à la construction de la paix et à la concorde entre tous les citoyens.

Comme je l’ai rappelé récemment, «nous avons impérativement besoin d’un dialogue authentique entre les religions et entre les cultures, capable de nous aider à surmonter ensemble toutes les tensions, dans un esprit de collaboration fructueuse» (Discours lors de la rencontre avec les ambassadeurs des pays musulmans, Castel Gandolfo, 25 septembre 2006). Ce dialogue doit permettre aux diverses religions de mieux se connaître et de se respecter mutuellement, afin d’œuvrer toujours plus au service des aspirations les plus nobles de l’homme, en quête de Dieu et du bonheur. Je souhaite, pour ma part, redire à l’occasion de ce voyage en Turquie toute mon estime pour les croyants musulmans, les invitant à s’engager ensemble, grâce au respect mutuel, en faveur de la dignité de tout être humain et pour la croissance d’une société où liberté personnelle et attention à autrui permettent à chacun de vivre dans la paix et la sérénité. C’est ainsi que les religions pourront participer à relever les nombreux défis auxquels les sociétés sont actuellement confrontées. Assurément, la reconnaissance du rôle positif que rendent les religions au sein du corps social peut et doit inciter nos sociétés à approfondir toujours davantage leur connaissance de l’homme et à respecter toujours mieux sa dignité, en le plaçant au centre de l’action politique, économique, culturelle et sociale. Notre monde doit réaliser de plus en plus que tous les hommes sont profondément solidaires et les inviter à mettre en valeur leurs différences historiques et culturelles non pour s’affronter mais pour se respecter mutuellement.

L’Église, vous le savez, a reçu de son Fondateur une mission spirituelle et elle n’entend donc pas intervenir directement dans la vie politique ou économique. Cependant, au titre de sa mission et forte de sa longue expérience de l’histoire des sociétés et des cultures, elle souhaite faire entendre sa voix dans le concert des nations, afin que soit toujours honorée la dignité fondamentale de l’homme, et spécialement des plus faibles. Devant le développement récent du phénomène de la mondialisation des échanges, le Saint-Siège attend de la communauté internationale qu’elle s’organise davantage, afin de se donner des règles permettant de mieux maîtriser les évolutions économiques, de réguler les marchés, voire de susciter des ententes régionales entre les pays. Je ne doute pas, Mesdames et Messieurs, que vous ayez à cœur, dans votre mission de diplomates, de faire se rencontrer les intérêts particuliers de votre pays et les nécessités de s’entendre les uns avec les autres, et que vous puissiez ainsi contribuer grandement au service de tous.

La voix de l’Église sur la scène diplomatique se caractérise toujours par la volonté, inscrite dans l’Évangile, de servir la cause de l’homme, et je manquerais à cette obligation fondamentale si je ne rappelais pas devant vous la nécessité de mettre toujours davantage la dignité humaine au cœur de nos préoccupations. Le développement extraordinaire des sciences et des techniques que connaît le monde d’aujourd’hui, avec ses conséquences quasi immédiates sur la médecine, sur l’agriculture et la production des ressources alimentaires, mais également sur la communication des savoirs, ne doit pas se poursuivre sans finalité ni sans référence, alors qu’il est question de la naissance de l’homme, de son éducation, de sa manière de vivre et de travailler, de sa vieillesse et de sa mort. Il est plus que nécessaire de réinscrire le progrès d’aujourd’hui dans la continuité de notre histoire humaine et donc de le conduire, selon le projet qui nous habite tous de faire grandir l’humanité et que le livre de la Genèse exprimait déjà à sa manière : «Soyez féconds, multipliez, emplissez la terre et soumettez-la» (1, 28). Permettez-moi enfin, en pensant aux premières communautés chrétiennes qui ont grandi sur cette terre et tout particulièrement à l’apôtre Paul, qui en a fondé lui-même plusieurs, de citer son propos aux Galates : «Or vous, frères, vous avez été appelés à la liberté. Mais que cette liberté ne soit pas un prétexte pour vivre de manière égoïste ; au contraire, mettez-vous, par amour, au service les uns des autres» (5, 13). La liberté est un service les uns des autres. Je forme le vœu que l’entente entre les nations, que vous servez les uns et les autres, contribue toujours davantage à faire grandir l’humanité de l’homme, créé à l’image de Dieu. Un si noble objectif requiert le concours de tous. C’est pourquoi l’Église catholique entend renforcer la collaboration avec l’Église orthodoxe et je souhaite vivement que ma prochaine rencontre avec le Patriarche Bartholomaios Ier au Phanar y contribue largement. Comme le soulignait le Concile œcuménique Vatican II, l’Église cherche également à collaborer avec les croyants et les responsables de toutes les religions, et particulièrement avec les musulmans, pour «protéger et promouvoir ensemble, pour tous les hommes, la justice sociale, les biens de la morale, la paix et la liberté» (Nostra Aetate, n. 3). J’espère que mon voyage en Turquie portera de nombreux fruits dans cette perspective.

Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs, sur vos personnes, sur vos familles et sur tous vos collaborateurs, j’invoque de grand cœur les Bénédictions du Très-Haut.

RENCONTRE AVEC LE CORPS DIPLOMATIQUE  dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI attends a meeting with diplomatic mission chiefs at the Vatican Embassy in Ankara November 28, 2006. Pope Benedict sets off on Tuesday on one of the most delicate trips by a Pontiff, visiting Turkey, where resentment is seething over his comments on Islam. The visit by the leader of 1.1 billion Roman Catholics was originally intended to be a pre-eminently Christian event centred around a meeting with the Istanbul-based head of the world’s 250 million Orthodox Christians. REUTERS/Anatolian/Bulent Uzun/Pool (TURKEY)

SAINT MESSA PRÉS DU SANCTUAIRE MARIANO MERYEM D’ANA EVÌ HOMELIE DU SAINT PÈRE

29 novembre, 2006

 traduction (comme je peu, je n’ai pas trop du tremp, ‘est pour coir da directe in Turchia)

VOYAGE APOSTOLIQUE DE SA SAINTETÉ BÉNOÎT  XVI  EN TURQUIE (28 NOVEMBRE – 1° DÉCEMBRE 2006)  SAINT MESSA PRÉS DU SANCTUAIRE MARIANO MERYEM D’ANA EVÌ HOMELIE DU SAINT PÈRE 

 Efeso Mercredi, 29 novembre 2006 Chers frères et soeurs, Dans cette célébration eucharistique nous voulons rendre éloge aux Seigneur pour la divine maternité de Marie, mystère qui ici à Efeso, dans le « Concilio ecumenico » du 431, fut solennellement confessé et proclamé. Dans ce lieu, un plus des chers à
la Communauté chrétienne, ils sont venus en pèlerinage miens vénérés des prédécesseur les Esclaves de Dieu Paolo VI et Giovanni Paolo II, qui s’arrêta dans ce Sanctuaire le 30 novembre 1979, à peu plus qu’un an de j’entame de son pontificaux. Mais il y a autres mes prédécesseur qui dans ce Pays n’ont pas été de Pape, mais plutôt comme Représentant pontifical dal janvier 1935 al décembre du ’44, et la le souvenir de laquelle suscite encore tant de dévotion et sympathie : heureux Giovanni XXIII, Ange Roncalli. Il nourrissait de la grande estime et admiration pour je peuple turc. À cet égard il me plaît rappeler une expression que loi dans son Journal de l’âme : « J’aime les turcs, apprécie les qualités naturelles de ce le peuple qu’il a aussi sa place préparée dans le chemin des civilisation » (n° 741)., en outre, ai laissé en don à l’Église et au monde une attitude spirituelle d’optimisme chrétien, fondé sur une foi profonde et une constante union avec Dieu. Animé de tel esprit, on tourne cette nation et, particulièrement, à la « petite troupeau » de Christ qui vit en moyen à elle, pour l’encourager et lui manifester l’affection de l’Église entière. Avec grande affection il salue tous vous, ici présent, fidèle d’Izmir, de Mersin, d’Iskenderun et d’Antakia, et d’autres venus divergées des parties du monde ; comme pures combien n’ont pas pu participer à cette célébration mais ils sont spirituellement unis à nous. Il salue, en particulier, Mons. Ruggero Franceschini, Archevêque d’Izmir, Mons. Giuseppe Bernardini, Archevêque honoraire d’Izmir, Mons. Luigi Padovese, les prêtres et les religieuses. Merci pour votre présence, pour votre témoignage et votre service à l’Église, dans cette terre bénie où, aux origines, la communauté chrétienne a connu des grands développements, comme ils attestent même les nombreux pèlerinages qui s’apportent en Turquie. 

 Mère de Dieu – Mère de l’Église  Nous avons écouté le passage de l’Évangile de Giovanni qui invite à contempler l’instant des Rédemption, lorsque Marie, unie au Fils dans offerte du Sacrifice, étendues sa maternité à tous les hommes et, en particulier, aux disciples de Jésus. Témoin privilégié de tel évènement est le même auteur du quatrième Évangile, de Giovanni, unique des Apôtres à rester sur le « Golgota » ensemble à
la Mère de Jésus et aux autres femmes. La maternité de Marie, entamée avec le fiat de Nazareth, s’accomplit sous
la Croix. S’il est vrai – comme il observe sant’Anselmo – qui « de l’instant du fiat Marie commença à nous porter tous dans son sein », la vocation et mission maternelle des Vierge vis-à-vis des croyants en Christ entama effectivement lorsque Jésus lui dit : « Femme, voilà ton fils! » (Gv 19,26). En voyant de la haut de la croix Mère et là à côté le disciple aimé, le Christ mourant reconnut la primité de la nouvelle Famille qui était venue à former dans le monde, le germe de l’Église et de la nouvelle humanité. Pour ceci on tourna Marie en lui appelant « femme » et pas « mère » ; terme qui par contre utilisa en la confiant le disciple : « Voilà ta mère! » (Gv 19,27). Le Fils de Dieu accomplis ainsi sa mission : né des Vierge pour partager dans tout, sauf le péché, notre condition humaine, à l’instant de je reviens au Père laissa dans le monde le sacrement de l’unité du genre humain (cfr « Cost. Lumen gentium », 1) :
la Famille « rassemblée de l’unité du Père et du Fils et de l’Esprit Saint » (San Cipriano, De Orat. Dom. 23 : PL 4, 536), le noyau duquel primordiale est vraiment ce lien nouveau entre
la Mère et disciple. De telle manière elles restent soudée en manière indissoluble la maternité divine et la maternité ecclésiale. 

Mère de Dieu – Mère de l’unité La première Lecture il nous a présenté ce qu’on peut définir l’ »évangile » de l’Apôtre des gens : tous, même les païen, sont appelés en Christ à participer pleinement au mystère du salut. En particulier, je teste contient l’expression que j’ai choisie quelle devise de mon voyage apostolique : « Lui, Christ, est notre paix » (Ef 2,14). Inspiré de l’Esprit Saint, Paolo affirme pas seulement que Jésus Christ il nous a portés la paix, mais qu’il « est » notre paix. Et il justifie telle affirmation en se référant au mystère de
la Croix : en versant « son sang » – il dit -, en offrant en sacrifice « sa chair », Jésus a détruit l’inimitié « dans si même » et a créé « dans si même, des deux, un seul homme nouveau » (Ef 2.14-16). L’apôtre explique dans quel sens, vraiment imprévisible, la paix messianique se soit réalisée dans
la Personne même de Christ et dans son mystère salvifique. Il l’explique en écrivant, pendant qu’il se trouve prisonnier, à la communauté chrétienne qui habitait ici, à Efeso : « aux saints qui sont en Efeso, des croyants en Christ Jésus » (Ef 1,1), comme affirme dans l’adresse de
la Lettre. À eux l’Apôtre elle souhaite « grâce et paix de Dieu, Père les nôtre, et des Seigneur Jésus Christ » (Ef 1,2). « Grâce » est la force qui transforme l’homme et le monde ; « paix » est fruit mûris de telle transformation. Christ est la grâce ; Christ est la paix. Maintenant, Paul on sait envoyé annoncer un « mystère », c’est-à-dire je dessine divin qui seulement dans la plénitude des temps, en Christ, s’est réalisé et révélé : que c’est-à-dire « les Gentils sont appelés, en Christ Jésus, à participer au même héritage, à former le même corps et à être tu participes de la promesse pour moyen de l’évangile » (Ef 3,6). Ce « mystère » se réalise, sur la plan historique- salvifique, dans l’Église, cette Peuple nouveau dans laquelle, abattu le vieux je mure de séparation, on retrouve en unité des juif et païen. Comme Christ, l’Église n’est pas seulement moyen de l’unité, mais il est même en marque efficace. Et les Viège Marie, Mère de Christ et de l’Église, est
la Mère de ce mystère d’unité que Christ et l’Église inséparablement représentent et construisent dans le monde et long l’histoire. 

Nous demandons à paix pour Jérusalem et le monde entier marque l’Apôtre des gens qui Christ « a fait des deux un peuple seul » (Ef 2,14) : affirmation, celle-ci, qu’il se réfère en sens vraiment au rapport entre Juif et « Gentil= païen » en ordre au mystère du salut éternel ; affirmation, cependant, qu’il peut même s’étendre, sur plan analogique, aux relations entre des peuples et des civilisations présents dans le monde. Christ « est venu à annoncer de la paix » (Ef 2,17) pas seulement entre des hébreux et pas juifs, mais plutôt entre toutes les nations, parce que toutes proviennent du même Dieu, unique Créateur et Seigneur de l’univers. Réconfortés du Mot de Dieu, d’ici, d’Efeso, ville bénie de la présence de Marie très sainte – que nous savons être aimée et vénérée même des musulmans – nous élevons aux Seigneur une spéciale prière pour la paix entre les peuples. De ce bord de
la Péninsule anatolien, pont naturel entre des continents, de l’ invocation de la paix et de la réconciliation d’abord pour ceux qui ils habitent dans
la Terre que nous appelons « saint », et que tel il est retenue soit des chrétiens, que des hébreux et des musulmans : elle est la terre d’Abramo, d’Isacco et de Giacobbe, destinée à recevoir je peuple qu’elle devenait bénédiction pour toutes les gens (cfr Gn 12.1-3). Paix pour l’entière humanité ! Qu’il puisse vite se réaliser la prophétie d’Isaia : « Ils forgeront leurs épées en vomer,/leurs lances en faux ; / je peuple n’élèvera pas plus l’épée contre autre peuple,/ne s’exerceront pas plus dans l’art de la guerre « (Is 2,4). de cette paix universelle avons tout besoin ; de cette paix l’Église est appelée à être pas seulement speakerine prophétique mais, plus d’ancre, » je marque et moyen « . Vraiment dans cette perspectif d’universelle pacification, plus profonde et intense on fait à le désirer arde mme vers la pleine communion et la concorde entre tous les chrétiens. À la célébration d’aujourd’hui est des présents fidèles catholiques de différents Rites, et ceci est motive de joie et d’éloge à Dieu. Des tels Rites, en effet, sont expression de celle-là admirable variété dont elle est ornée la marié de Christ, pourvu que sachent converger dans l’unité et dans le commun témoignage. Exemplaire à tel fin devon ‘être l’unité entre les Ordinaires dans
la Conférence Episcopale, dans la communion et dans le partage des efforts pastoral. 

 Magnificat  La liturgie d’aujourd’hui nous a faits répéter, comme refrain au psaume  responsorial, le cantique d’éloge que
la Vierge de Nazareth proclamai dans la rencontre avec le âgée parent Elisabeth (cfr Lc 1,39). Consolante sont pures rejouer dans nos coeurs les mots de la psalmiste : « miséricorde et vérités se rencontreront,/justice et paix se baiseront » (Sal 84, v. 11). Chers frères et soeurs, avec cette visite ai voulu faire sentir la amour et proximité spirituelle pas seulement miennes, mais de l’Église universelle à la communauté chrétienne qui ici, en Turquie, est vraiment une petite minorité et affronte chaque giorno pas peu de défis et difficulté. Avec solide confiance nous chantons, ensemble à Marie, « magnificat » de l’éloge et du remerciement à Dieu, qui regarde l’humilité de son esclave (cfr Lc 1.47-48). Chantons l’avec joie même lorsque nous sommes éprouvés de difficulté et de dangers, comme atteste le beau témoignage du prêtre romain Don Andrea Santoro, qu’il me plaît rappeler même dans notre célébration. Marie nous enseigne qui source de notre joie et d’unique notre solide soutien est Christ, et nous répète ses mots : « Vous ne craignez pas » (Mc 6,50), « Je suis avec vous » (Mt 28,20). Et tu, Mère de l’Église, accompagne toujours les nôtre me promène ! Saint Maria Mère de Dieu prie pour nous ! Aziz Meryem Mesih’en Annesi bizim için Dua et « .
Amen. 
SAINT MESSA PRÉS DU SANCTUAIRE MARIANO MERYEM D'ANA EVÌ HOMELIE DU SAINT PÈRE dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI leaves after celebrating a Mass at the House of the Virgin Mary at Ephesus, near Selcuk, Turkey, Wednesday, Nov. 29, 2006. It is believed that this house is the last residence of the Virgin Mary. The Pope is on the second day of his four-day trip to Turkey. (AP Photo/Patrick Hertzog, Pool)