Ratzinger corrige les livres sur Jésus. Et il en écrit un nouveau
Je désire rapporter articule d’une journaliste-vaticaniste italien qu’il me semble particulièrement intéressant, à articule fait suivi les recension de Père Cantalamessa comme il écrit le journaliste, ne traduis pas même ceci parce qu’il est très difficile pour moi, espère, cependant,, que cette partie que je rapporte soit intéressant pour vous comme a été pour moi, du site italien :
http://www.chiesa.espressonline.it/dettaglio.jsp?id=100081
Ratzinger corrige les livres sur Jésus. Et il en écrit un nouveau.
Sortira dans le printemps de 2007 mais sa préface a déjà été répandue en avance. Entre temps, le théologien de la maison pontifical critique à fond un livre qui est à l’opposé de celui écrit de le Pape.
de Sandro Magister – ROME, 27 novembre 2006 –
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Avec un décharné communiqué, le Saint-Siège a rendu connu qui « Bénit XVI a terminé d’écrire la première partie d’un livre dont je titre est : ` Jésus de Nazareth. Du Baptême dans le Giordano au Trasfigurazione’ ». Le livre sortira dans le printemps du 2007. Bénit XVI cependant a déjà autorisé la diffusion de la préface, dans laquelle il explique parce qu’il a décidé de l’écrire, beaucoup avant être élu papa. Il rappelle à Joseph Ratzinger que jusqu’à la moitié du siècle passé ils se lisaient des livres sur Jésus des « enthousiasmant », d’auteurs comme Karl Adam ou Romano Guardini. Ensuite cependant il y a eu « arrache entre le ` Jésus historique’ et le ` Christ du fede’ ». L’homme Jésus décrit des spécialistes apparaissait toujours plus divergé et lointain de l’homme-Dieu des Évangiles et de l’Église. Pas seulement. Les nouvelles descriptions de l’homme Jésus été entre elles contradictoires. Qui le présentait comme un révolutionnaire et qui comme une douce pacifiste. L’impression, à des légères telles reconstructions, était qu’elles étaient « beaucoup plus de photographies des auteurs et de leurs idéaux que pas la messe à nu d’une icône devenue confondue ». Le résultat est que « elle est pénétrée profondément dans la conscience commune de la chrétienté l’idée que de Jésus « nous savons bien peu de certes ». Et une semblable situation « est dramatique pour la foi parce qu’il rend incertain son authentifie point de référence. L’intime amitié avec Jésus, dont tout dépend, menace de se débattre dans le vide « . Il est vraiment pour combler ce fossé qui Ratzinger a voulu écrire un livre sur le « Jésus des Évangiles comme le vrai Jésus, comme le ` Jésus historique dans le vrai sens de l’expression ». La méthode qui Ratzinger adopte est oui de « légères les témoins avec la méthode historique », mais toujours « à partir de la foi ». Pour ceci elle est l’unique mode pour expliquer le mystère d’une christologie qui, dans la lettre de Paolo aux Filippesi, à peine vingt ans après les mortes de Jésus, élève à lui un hymne « dans lequel on dit de Jésus qui était égal à Dieu mais il déshabilla si même, on fit homme, se humilia jusqu’à la mort sur la croix et qu’à il lui revient l’hommage de créé, l’adoration que dans le prophète Isaia (45.23) Dieu avais proclamé comme dû à lui seul ». Ratzinger a commencé à écrire son livre sur Jésus dans l’été de 2003. Un an après été prêts les premiers quatre chapitres. Il en a écrit autres es après son élection à papa, dans « tous les instants libres ». Et maintenant il a décidé de les publier vite, en renvoyant suivi à un futur en second lieu volume. Ce livre – il écrit la papa dans la préface – « n’est pas absolument un acte magisteriale, mais elle est uniquement expression de ma recherche personnelle du ` tourne du Seigneur (psaume 27,8). Donc chacun est libre de me contredire. Je demande seulement aux lecteures et aux lecteurs cette avance de sympathie sans laquelle il n’y a pas quelque compréhension «
* * * De la situation « dramatique pour la foi » qui a bougé Bénit XVI à écrire son livre est épreuve même un volume récemment sorti en Italie, avec grand passé de public, intitulé : « Enquête sur Jésus. Qui était l’homme qui a changé le monde « . Les auteurs du volume sont Corrado Augias, journaliste et écrivain, éditorialiste de la grande quotidien libéral «
la République », agnostique, et Mauro Pesce, professeur d’histoire de l’Église à l’Université de Bologne, spécialiste des évangiles apocryphes, catholique, au moins pour formation. Ce livre n’a rien à diviser avec le tristement célèbre « Code de Vaincs ». Il a des auteurs compétents, s’est servi de la collaboration de spécialistes influents, je me fonde sur des solides sources et repousse l’idée que les Églises chrétiennes aient volontgariement contrefait le « vrai » Jésus. Toutefois il aboutit, sur Jésus, vraiment à ce hésite « dramatique pour la foi » dont Bénit XVI met en garde. Il est combien a mis en évidence une longue recension critique de ce livre écrite du cappuccino Raniero Cantalamessa, 72 ans, spécialiste en histoire des origines chrétiennes et de 1980 prêcheur de la maison pontifical, c’est-à-dire qui dicte aux sermons d’Venue et de Carême à la papa et à
la Curia vatican. Père Cantalamessa a publié sa recension sur deux pages entières « De se produire », la quotidien du conférence épiscopal italienne. Elle est donc une recension importante soit pour la personne qui l’a écrite soit pour le journal sur lequel elle est apparue.
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