La fête de Pape Clémente I, recit de ma celebration

pardonnez-moi le français mais ils sont les 0,40 et j’ai un peu de sommeil; Hier et aujourd’hui j’ai été à
la Basilique de San Clemente qui n’est pas très lointain de ma maison, pour la fête de Papa Clémente I, les Pères sont Irlandais – et la famille est irlandaise, cependant il y a quelques d’autres nationalités – j’étais
particulièrement affectionnée à un des Pères : Michael, irlandese- »gaelico » ou « d’origine celtique », il-est beaucoup doux et toujours au service de tous, il est professeur de droit canonique dans une Université Pontifical romaine ; il était un peu de temps que je n’y allais pas, au contraire étais allée un peu tout à coup après y avoir allé avec régularité et en aidant pour le service du Parole pourquoi une série de choses elles m’avaient regretté et moi, peut-être, m’ai jugée, ne le sais pas, ensuite je n’ai pas été beaucoup bien en salut; il m’était resté ce remords dans le coeur, un jour, au contraire le jour de la fête, je étais allée à me confesser à San Giovanni en Laterano, que ne pas donne un prêtre précis parce que, ou, on fait en étudie détail sur les horaires, ou on ne trouve jamais les mêmes, en somme j’avais rencontré un prêtre irlandais qui connaissait Père Michael, ainsi, sans perdre temps, sorti du  Basilique, j’ai écrit quelque ligne affectueuse au Père en m’excusant du long temps, et je l’avais porté en sacristie, en suite en promenant dans les environs, et en voyant des étalages, je me suis rappelée qu’aux éloges j’avais fait San Clemente ainsi à l’après-midi suis allée à
la Basilique – parce que je savais que y il était les procession et ensuite la célébration; les processions était comme me l’attendais, comme toujours,
la Croix devant,
la Bande musicale qui sonnait derrière, ensuite les prêtres ensuite nous, comme toujours deux carabiniers derrière les prêtres, ne sais pas parce que mais je nous suis habituée, ne le crois pas pour protection (ne sais pas !) peut-être pour présence, l’Arme des Carabiniers est beaucoup d’aimée en Italie ; nous n’avons fait un tour trop long, peut-être parce qu’à ce maintenant il y a beaucoup de trafic dans les alentours, je me suis étonnée que les personnes ne bavardaient pas entre elles pendant la procession comme trop normalement, seulement deux femmes, peut-être de langue allemande, riaient et bavardaient (et faisaient les procession) je ai fait des (internationaux), shhh ! avec le doigt devant la bouche et plan, plan nous sommes revenus à
la Basilique ; celle-ci je vous la décris une autre tourne parce que y il est trop à dire, au contraire c’est mieux  laisser parler un teste sur les églises de Rome écrit de quelqu’un que s’en entend vraiment ; la messe a été une partie en italien, part dans latin, avec des chants en gregoriano, cependant le Cardinal titrer lorsque il parlait ne se comprenait rien ou presque, à voix basse me, nous nous demandions de quelle nationalité était : angles non,
quelque chose se serait entendu, allemand non, on ne reconnaîtrait pas l’accent ; slave, il parlerait  en peu comme l’aimé Pape Jean Paul II, ensuite une soeur a dit : je crois qu’il vienne d’Utrecht, sommes restées au point de départ parce que personne il se rappelait où on trouvait la ville ; ensuite à la fin le Cardinal, en remerciant, nous a dit ; je ne parle certes pas bien la votre belle langue italienne ! (c’est-à-dire presque rien) même parce qu’ainsi nous excluions toutes les nations susnommées parce qu’aucune de langue latine il dirait que la langue de l’autre est meilleure de le sien, au contraire, il ne le dirait même pas aucun allemand, et peut-être aucun slave ; en somme après des longues études nous avons établi qu’il était des Pays Bas ; je ne vous ai pas recompté de la célébration, je voudrais dire que j’ai été prise d’elle, mais n’est pas ainsi, différentes choses m’ont distraite à commencer de la beauté des mosaïques, du gregoriano, de le chante du « Credo » dans latin que je chante à mémoire, soit teste, soit la musique, mais avaient changé la musique et je n’ai pas éprouvé l’habituelle joie que j’éprouve ; en somme à la fin j’ai été contente le même ; et ensuite je suis content d’avoir revu les Pères ; maintenant – avec l’aide de Dieu et de Pape Benoît (inutile le dire) me retrouve à la joie ; Je ne récit pas autre chose autrement ce soir commence mon autobiographie ;  bonne nuit 

mosaique du site:

http://www.giovannirinaldi.it/page/rome/sanclemente/image5.htm

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