Archive pour le 25 novembre, 2006

« La visite du Pape en Turquie est un signe de courage »

25 novembre, 2006

du site: Zenith 

« La visite du Pape en Turquie est un signe de courage »

Entretien avec le frère Martin Kmetec, prêtre slovène en Turquie

ROME, Vendredi 24 novembre 2006 (ZENIT.org) – Le frère Martin Kmetec, franciscain mineur conventuel, définit la prochaine visite de Benoît XVI en Turquie comme « un signe de courage ».

Dans cet entretien accordé à Zenit, le missionnaire offre un panorama de la Turquie que visitera le pape dans quelques jours et explique comment les catholiques (30.000 personnes dans un pays de 67.308.928 habitants) se préparent à cette rencontre.

Zenit : Le pape rencontrera le patriarcat œcuménique (orthodoxe) en Turquie, une nation à majorité musulmane, où les catholiques sont une petite minorité. Pensez-vous qu’il existe une ouverture au dialogue ?

Fr. Kmetec : Naturellement les contenus des discours du pape ne sont pas encore connus ; nous les connaîtrons quand il les prononcera sur place. Mais nous pouvons être certains – le pape lui-même l’a répété à plusieurs reprises dernièrement – que l’invitation au dialogue sera la note dominante de ses discussions et discours. Avant tout, l’intensification du dialogue avec le patriarcat œcuménique, qui, dans un certains sens, concernera non seulement l’Eglise orthodoxe en Turquie, mais aussi toute l’orthodoxie dans le monde.

Il est probable que le dialogue interreligieux et interculturel ainsi que le thème des droits de l’homme et de la liberté de conscience seront au cœur des discussions, lors des rencontres avec les autorités de l’Etat. Ce même thème du dialogue sera assurément au centre des débats lors de la rencontre avec les autorités religieuses musulmanes. Il existe toutefois des préjugés, qui à mon avis, rendront ce discours difficile.

Je me souviens que lorsque le cardinal Joseph Ratzinger a été élu pape, les mass media ont dénigré son image de manière déplorable, notamment la presse des deux courants extrémistes : nationaliste et islamiste. Ils ont mis en avant la question de la Deuxième Guerre mondiale, l’ont traité d’ancien nazi pour avoir fait partie de la jeunesse nazie. Mais leur aversion à son égard s’est surtout déchaînée à la suite de sa déclaration sur la non opportunité de l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne.

Le fait qu’un personnage public comme le pape ait exprimé une opinion en opposition avec les demandes de la Turquie, est un évènement que l’on n’oublie pas et que l’on ne pardonne pas. En outre, les évènements de Ratisbonne ont enflammé ultérieurement les esprits contraires à la venue du pape en Turquie.

Les journaux ont fait savoir que le Premier ministre turc, Tayyip Erdo an sera absent du pays lors de la visite du pape. Mehmet Ayd n, responsable pour les affaires religieuses du gouvernement sera également absent. Abdullah Gul, Ministre des Affaires étrangères ne sera pas là non plus. Ce sont quelques éléments qui nous aident à mieux comprendre le climat dans lequel se déroulera la visite, même si Benoît XVI cherche à juste titre à en minimiser la portée.

Le président Tayyip Erdo an ne veut pas se compromettre devant ses électeurs ? Cela reflète-t-il aussi sa ligne à l’égard du christianisme ? Le souvenir de l’assassinat de Yucel Ozbilgin (17 mai 2006) tué par une balle tirée par un fanatique dans la salle du tribunal de la Cour constitutionnelle de l’Etat (Dani tay) au cours d’une audition est encore très présent. La raison du geste de l’assassin : « La sentence de ce même tribunal sur la question du voile islamique ». A cette époque Tayyip Erdo an ne participa pas aux funérailles du juge, au cours desquelles des milliers de personnes laissèrent éclater leur colère pour ce crime atroce. Assisterons-nous à une réaction analogue et à la même ligne politique ? Le Professeur Ali Bardako lu, a déclaré que la Présidence de l’Etat pour les Affaires religieuses discutera avec le pape d’aspects religieux, non politiques, parce que nous le reconnaissons, dit-il, comme un Chef religieux, même si cette rencontre ne pourra effacer les perplexités sur les attitudes politiques négatives du passé.

On ne peut pas non plus ignorer le malaise d’une partie non indifférente de la population qui dernièrement a manifesté à Istanbul et à Ankara, qui est à l’origine d’incidents sporadiques tels que le détournement de l’avion de la Turkish Airlines, les coups de feu à l’extérieur du Consulat italien à Istanbul et, qui, selon moi, constitue un message indirect à la visite du pape : qu’en Turquie il ne sera pas le bienvenu et voire même, pour le faire changer d’avis en renonçant à sa visite.

Sa visite est un signe de courage ; prions afin qu’il réussisse à apporter à ce pays et à cette population le message de l’humilité et du grand sens d’humanité du Christ à tous les hommes de bonne volonté.

Zenit : Quelle est la situation des catholiques en Turquie ? Comment se préparent-ils à cette visite et qu’attendent-ils du pape ?

Fr. Kmetec : Les catholiques en Turquie, ceux qui y résident en permanence, sont environ 30.000. Ils se préparent spirituellement à cette visite à travers la prière. Au cours des Eucharisties dominicales on cherche à souligner combien les chrétiens ont un besoin urgent de renouveau spirituel dans leur vie, selon les principes de l’Evangile. Cela doit être le fruit de la visite du pape parmi nous. A cette occasion, Mgr Luigi Padovese a adressé à ses fidèles une lettre sur le thème de l’espérance, l’espérance qui est essentielle non seulement pour l’Eglise en Anatolie, mais pour tous les chrétiens de Turquie.

Nos communautés doivent affronter chaque jour d’importantes difficultés d’ordre économique, mais aussi et surtout, savoir réagir au complexe d’infériorité face à une majorité musulmane écrasante, qui les fait se sentir opprimés et peut leur faire croire qu’ils sont eux-mêmes les « infidèles ».

Zenit : Au vu des derniers événements, faut-il s’inquiéter pour la sécurité ou seuls quelques cas isolés d’intolérance sont-ils à craindre ?

Fr. Kmetec : Je suis sûr qu’il n’existe pas de problèmes de sécurité pour la personne du Souverain pontife. L’Etat turc fera le maximum pour que cette visite se déroule sans incidents. On ne peut pas exclure quelques petites manifestations ou quelques cas isolés de réaction, mais certainement pas sur l’itinéraire du pape.

Zenit : Pouvez-vous nous parler de l’islam en Turquie ?

Fr. Kmetec : Comme pour toutes les religions, l’islam est un élément qui imprègne toute la société turque, dans l’espace public (mosquée), dans la vie des personnes (observance du jeûne), et dans le prière commune. La religiosité s’exprime également dans des signes extérieurs, comme le voile des femmes, les grandes fêtes à la fin du ramadan et la fête du sacrifice.

Les grandes villes sont marquées par la sécularisation, même si personne ne renonce aux célébrations des fêtes religieuses. En revanche, dans les zones rurales et dans les petites localités, il y a une plus grande fidélité religieuse, également dans les expressions classiques de la pratique religieuse.

En Turquie l’islam majoritaire est le sunnite (75%). Les 25 % restants sont alévites, une branche des chiites.

Au niveau officiel, après 1923, avec Atatürk, la Turquie est devenue un Etat laïc. La période de progrès du pays commença ainsi.

Le kémalisme, c’est-à-dire les principes fondateurs de la République laïque voulue par Atatürk sont à la base d’un Etat moderne, la nouvelle Turquie. L’abolition du califat, des fraternités (tarikat) musulmanes et la limitation de l’islam au domaine privé, est toujours demeurée une question ouverte, que les mouvements et les institutions de l’islam populaire qui ont vécu dans le milieu du mysticisme, voulaient reconquérir. En effet, après 1950, certains chefs politiques voulaient profiter des masses encore attachées à l’islam populaire.

Cela marqua le retour de l’islam sur la scène politique, et fut la cause de coups d’Etat conduits par les militaires. Ce furent ensuite les mêmes militaires qui décidèrent de donner un peu de liberté à l’expression publique de l’islam. Aujourd’hui avec l’avènement au pouvoir de l’actuel parti AKP (Parti de la Justice et du Progrès) de Tayyip Erdo an, ils ont changé d’avis.

Le mouvement laïc en Turquie s’oppose à l’islam comme système politique, mais il semble que se soit seulement l’armée qui tente de maintenir la Turquie sur la ligne de la laïcité.

La question qui se pose est de savoir si l’islam est vraiment prêt à renoncer à son concept de la société et de l’Etat et à reconnaître les droits humains des minorités, surtout des alévites, qui ne sont pas reconnus comme adhérents à une religion avec ses institutions et son identité.

Zenit : Existe-il des domaines de travail communs avec les musulmans, et collaborez-vous vous-même avec eux ?

Fr. Kmetec : Les domaines de travail communs sont très restreints. En tant que communauté franciscaine, nous vivons en dialogue ouvert avec toutes les personnes que nous rencontrons. Il s’agit d’un mode de présence issue de la suite de saint François, une manière d’apporter l’espérance et le salut à tous les hommes.

En dehors des colloques islamo-chrétiens, il n’existe pas d’autre collaboration avec l’Eglise catholique. L’Eglise catholique n’est pas reconnue par l’Etat comme institution morale. Cela empêche la possibilité de coopération également dans l’apostolat de la charité, même si la Caritas en tant qu’organisation de l’Etat du Vatican, apporte une aide considérable dans le domaine social. La communauté chrétienne des fidèles qui sont nés en Turquie, sont heureux s’ils peuvent vivre leur vie quotidienne, l’espace de la vie ordinaire, les relations de travail et les simples relations interpersonnelles, en paix avec tous.

Zenit : L’Eglise catholique est-elle considérée comme un signe d’utilité publique ?

Fr. Kmetec : Les hommes politiques laïcs, surtout les intellectuels, respectent l’Eglise, la foi catholique, et les gens d’Eglise. Ils voient l’Eglise comme un signe positif dans la vie du monde. Mais pour la majorité, l’Eglise catholique n’a aucune contribution à apporter et n’a aucune utilité publique. Certains courants influents dans le journalisme nous regardent comme des intrus, porteurs d’idées étranges et perturbatrices dans la société turque ; des intrus dont il vaudrait mieux se libérer.

Zenit : Quel sens cette visite peut-elle revêtir pour la nation turque ?

Fr. Kmetec : Selon moi l’Etat comme la classe politique, veulent que tout se passe au mieux et voient dans la visite du pape une occasion unique de promotion sur la scène internationale et en particulier veulent montrer à l’Europe l’ouverture et la tolérance de la Turquie. Ils jouent cette visite comme une carte pour leur candidature à l’Union européenne. Il y aura bien sûr aussi ceux qui s’obstineront dans leur préjugés et poursuivront leur tentative de présenter le pape, l’Eglise et les catholiques de manière sombre et négative.

Liban : « Des forces obscures cherchent à détruire le pays », proteste Benoît XVI. Ferme condamnation de l’assassinat de Pierre Gemayel

25 novembre, 2006
du site: http://www.emploi-pac.com/article2475.html

Liban : « Des forces obscures cherchent à détruire le pays », proteste Benoît XVI. Ferme condamnation de l’assassinat de Pierre Gemayel

ROME, Mercredi 22 novembre 2006 (ZENIT.org) – Benoît XVI lance un appel à la « négociation » globale pour la paix et la justice au Moyen Orient et pour la reconstruction du Liban, tout en exprimant sa ferme condamnation de l’assassinat du ministre Pierre Gemayel et en protestant contre les « forces obscures » qui « cherchent à détruire le pays ».

Le pape Benoît XVI a lancé cet appel très vigoureux en italien, à l’issue de l’audience générale de ce mercredi, place Saint-Pierre, en présence de dizaine de milliers de visiteurs et des media du monde entier qui suivent l’événement chaque mercredi. Les media accrédités au Vatican ont noté que le pape ne se contentait pas d’un télégramme de condoléances.

« Face aux forces obscures qui cherchent à détruire le pays, j’invite tous les Libanais à ne pas se laisser vaincre par la haine mais au contraire à fortifier l’unité nationale, la justice et la réconciliation, et à travailler ensemble pour construire un avenir de paix », a déclaré Benoît XVI.

Mais l’appel du pape s’adressait aussi à la responsabilité des autres nations : « J’invite enfin les responsables des pays qui ont à cœur le sort de cette région, à contribuer à une solution globale et négociée des différentes situations d’injustice qui la marquent désormais depuis de trop nombreuses années ».

« C’est avec une profonde douleur, confiait le pape, que j’ai appris la nouvelle de l’assassinat de l’Honorable Pierre Gemayel, Ministre de l’Industrie du gouvernement libanais ».

Et d’ajouter : « En condamnant fermement ce brutal attentat, j’assure sa famille en deuil et le bien-aimé peuple libanais de ma prière et de ma proximité spirituelle ».

Chrétien maronite, âgé de 34 ans, père de deux jeunes enfants, M. Pierre Gemayel, ministre de l’Industrie du gouvernement de M. Fouad Siniora, a en effet été assassiné à Jdeideh hier, mardi 21 novembre, alors qu’il venait de quitter l’église Sainte-Rita où il avait présenté ses condoléances à la famille d’un ami défunt.

Il était le petit-fils du fondateur de la Phalange libanaise, Pierre Gemayel (1905-1984) et le fils et le neveu de deux anciens présidents de la République : Amin Gemayel, 64 ans, président de 1982 à 1988, et Béchir Gemayel, assassiné après son élection (1947-1982).

Un quotidien italien lui rend aujourd’hui hommage en le décrivant comme « moderne, franc, ferme pour défendre la souveraineté du pays par rapport à l’influence syrienne ou d’autres forces étrangères, mais convaincu qu’il fallait utiliser les armes du dialogue et de la modération ». Il était, écrit la même source « le symbole du renouveau dans le camp chrétien maronite : il serait arrivé loin » (cf. www.corriere.it).

Amin Gemayel a appelé la foule saisie de colère, à ne pas faire usage de la violence et à renoncer à la vengeance. Il a demandé, hier soir, une nuit de prière pour « réfléchir au sens de ce martyre et sur la façon de protéger le pays ».

Il y a 63 ans, le 22 novembre, prenait fin le mandat français au Liban. A Rome, la réception de l’ambassadeur du Liban près le Saint-Siège, M. Naji Abi Assi, pour cette fête de l’Indépendance, a été transformée en trois jours de visites de condoléances. Via Veneto, le drapeau au grand cèdre était en berne. ZF06112201

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Avis:l’Himne Akatistos sur « Pages »

25 novembre, 2006

J’ai mis sur « Pages » l’Himne Akatisos » à la Mère de Dieu; c’est en Himne ancienne, je croix que vous connais, mais avoir le texte au plat de main je pense qu’il est une bonne chose;

« Le défi du témoignage de la foi chrétienne dans les cultures indiennes ». Analyse du cardinal Poupard

25 novembre, 2006

du site:

http://www.emploi-pac.com/article2475.html 

2006-11-22

« Le défi du témoignage de la foi chrétienne dans les cultures indiennes ». Analyse du cardinal Poupard

ROME, Mercredi 22 novembre 2006 (ZENIT.org) – « Valeurs et Cultures de l’Evangile : le défi du témoignage de la foi chrétienne dans les cultures indiennes » : c’est le titre programmatique de l’intervention du cardinal Poupard devant les directeurs des Centres culturels catholiques de l’Inde. Une synthèse de Fides.

« Le Christianisme est très ancien et a des racines très profondes ici en Inde. Comme toutes les autres cultures du monde, les cultures indiennes sont sujettes à de continuelles évolutions et adaptations » : le cardinal Paul Poupard, président du conseil pontifical de la Culture et du dicastère pour le Dialogue interreligieux, a abordé en ces termes son message de bienvenue à la réunion des directeurs des Centres culturels catholiques en Inde qui s’est ouverte à Goa.

« Même si les gens de Goa professent différentes confessions et ont des bagages culturels différents, cette petite bande de terre est marquée par une harmonie pacifique et par le respect mutuel », a mis en évidence le cardinal dans son intervention.

Le fils conducteur de l’intervention de Poupard a été le commentaire du texte de Matthieu 28 qui, selon la tradition, a été le premier à arriver en Inde, sur les paroles de conclusion de Jésus qui exhorte ses disciples avec son quadruple « tout » : « tout pouvoir m’a été donné, allez dans toutes les parties du monde, et enseignez tout, je suis avec vous tous les jours ».

« L’Eglise en Inde, comme partout, est appelée à vivre et à témoigner de sa foi en Jésus-Christ. Le riche patrimoine culturel indien offre autant un défi qu’une occasion de vivre et de proclamer sa foi en Jésus-Christ. C’est un appel à l’évangélisation des cultures et à l’inculturation de la foi », disait le cardinal Poupard.

Le cardinal Poupard a conclu son intervention, souligne Fides, en citant les paroles du cardinal indien Ivan Dias, préfet de la congrégation pour l’Evangélisation des Peuples, qui affirme que « Nous devons reconnaître et respecter les trésors précieux du patrimoine religieux. Comme les rois mages ne se sont pas arrêtés tant qu’ils n’ont pas trouvé Jésus, ont déposé leurs trésors devant lui et l’ont adoré, ainsi tous les habitants de l’Asie, avec leurs cultures riches et variées, leurs patrimoines religieux et leurs traditions, ne s’arrêteront pas tant qu’ils ne trouveront pas Celui qui est la Vie, la Vérité, et la Vie, et ils l’adoreront 

La fête de Pape Clémente I, recit de ma celebration

25 novembre, 2006

pardonnez-moi le français mais ils sont les 0,40 et j’ai un peu de sommeil; Hier et aujourd’hui j’ai été à
la Basilique de San Clemente qui n’est pas très lointain de ma maison, pour la fête de Papa Clémente I, les Pères sont Irlandais – et la famille est irlandaise, cependant il y a quelques d’autres nationalités – j’étais
particulièrement affectionnée à un des Pères : Michael, irlandese- »gaelico » ou « d’origine celtique », il-est beaucoup doux et toujours au service de tous, il est professeur de droit canonique dans une Université Pontifical romaine ; il était un peu de temps que je n’y allais pas, au contraire étais allée un peu tout à coup après y avoir allé avec régularité et en aidant pour le service du Parole pourquoi une série de choses elles m’avaient regretté et moi, peut-être, m’ai jugée, ne le sais pas, ensuite je n’ai pas été beaucoup bien en salut; il m’était resté ce remords dans le coeur, un jour, au contraire le jour de la fête, je étais allée à me confesser à San Giovanni en Laterano, que ne pas donne un prêtre précis parce que, ou, on fait en étudie détail sur les horaires, ou on ne trouve jamais les mêmes, en somme j’avais rencontré un prêtre irlandais qui connaissait Père Michael, ainsi, sans perdre temps, sorti du  Basilique, j’ai écrit quelque ligne affectueuse au Père en m’excusant du long temps, et je l’avais porté en sacristie, en suite en promenant dans les environs, et en voyant des étalages, je me suis rappelée qu’aux éloges j’avais fait San Clemente ainsi à l’après-midi suis allée à
la Basilique – parce que je savais que y il était les procession et ensuite la célébration; les processions était comme me l’attendais, comme toujours,
la Croix devant,
la Bande musicale qui sonnait derrière, ensuite les prêtres ensuite nous, comme toujours deux carabiniers derrière les prêtres, ne sais pas parce que mais je nous suis habituée, ne le crois pas pour protection (ne sais pas !) peut-être pour présence, l’Arme des Carabiniers est beaucoup d’aimée en Italie ; nous n’avons fait un tour trop long, peut-être parce qu’à ce maintenant il y a beaucoup de trafic dans les alentours, je me suis étonnée que les personnes ne bavardaient pas entre elles pendant la procession comme trop normalement, seulement deux femmes, peut-être de langue allemande, riaient et bavardaient (et faisaient les procession) je ai fait des (internationaux), shhh ! avec le doigt devant la bouche et plan, plan nous sommes revenus à
la Basilique ; celle-ci je vous la décris une autre tourne parce que y il est trop à dire, au contraire c’est mieux  laisser parler un teste sur les églises de Rome écrit de quelqu’un que s’en entend vraiment ; la messe a été une partie en italien, part dans latin, avec des chants en gregoriano, cependant le Cardinal titrer lorsque il parlait ne se comprenait rien ou presque, à voix basse me, nous nous demandions de quelle nationalité était : angles non,
quelque chose se serait entendu, allemand non, on ne reconnaîtrait pas l’accent ; slave, il parlerait  en peu comme l’aimé Pape Jean Paul II, ensuite une soeur a dit : je crois qu’il vienne d’Utrecht, sommes restées au point de départ parce que personne il se rappelait où on trouvait la ville ; ensuite à la fin le Cardinal, en remerciant, nous a dit ; je ne parle certes pas bien la votre belle langue italienne ! (c’est-à-dire presque rien) même parce qu’ainsi nous excluions toutes les nations susnommées parce qu’aucune de langue latine il dirait que la langue de l’autre est meilleure de le sien, au contraire, il ne le dirait même pas aucun allemand, et peut-être aucun slave ; en somme après des longues études nous avons établi qu’il était des Pays Bas ; je ne vous ai pas recompté de la célébration, je voudrais dire que j’ai été prise d’elle, mais n’est pas ainsi, différentes choses m’ont distraite à commencer de la beauté des mosaïques, du gregoriano, de le chante du « Credo » dans latin que je chante à mémoire, soit teste, soit la musique, mais avaient changé la musique et je n’ai pas éprouvé l’habituelle joie que j’éprouve ; en somme à la fin j’ai été contente le même ; et ensuite je suis content d’avoir revu les Pères ; maintenant – avec l’aide de Dieu et de Pape Benoît (inutile le dire) me retrouve à la joie ; Je ne récit pas autre chose autrement ce soir commence mon autobiographie ;  bonne nuit 

mosaique du site:

http://www.giovannirinaldi.it/page/rome/sanclemente/image5.htm

La fête de Pape Clémente I, recit de ma celebration 20040305%20092235