Bénit XVI en Turquie un voyage long mille ans
du quotidien d’information « La Repubblica », traduit
(Il est était dificile),
site:
http://www.repubblica.it/2006/11/sezioni/esteri/benedettoxvi-9/navarro-valls/ap_9274358_25400.jpg
Le Pape et le Pays à moitié entre Europe et Asie, un rapport difficile de le schisme du 1050. —————
Ratzinger attendu à Istanbul de peu de chrétiens ;
Bénit XVI en Turquie un voyage long mille ans
de JOAQUIN NAVARRO-VALLS
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Bénit XVI – Dans le voyage qui Bénit XVI y fera en Turquie entre peu de jours pas sera la « papamobile ». J’emploie du détail véhicule est entamé en 1979 pendant le premier voyage à Mexique de Giovanni Paolo II. Malgré l’opinion diffuse qui se soit recourue à elle pour protéger
la Papa, en vérité elle a été utilisée pour rendre les Pontife visible aux fidèles. Seulement successivement, après l’attentat de 1981, la « papamobile » a subi les modifications que nous connaissons, avec ajoutée des verres blindés, de façon à rendre possible contacte avec les gens, en sauvegardant l’intégrité des Pontife. En Turquie, cependant, il n’y elle aura pas foule certaine. Peu de chrétiens qui seront présents à Istanbul – moins d’ancre à Ankara – pas reverseront sur les routes, mais attendront Bénit XVI dans l’Église locale. Les musulmans intéressés à la présence de
la Papa en Turquie plus seront peut-être engagés à se faire voir dans la nouvelle vêt de progressive fusion du secteur nationaliste et l’aile fondamentalistes islamique, alarmant réalité qui d’autre part pourrait expliquer le choix, à j’emploie domestique, de quelques autorités snober à ce voyage. L’État turc est relativement récent. Il a été fondé de Mustafa Kemal Ataturk en 1923, et a assumé, depuis les origines, une organisation institutionnelle rigoureusement laïque.
La Constitution actuellement en vigueur, malgré deux coups d’État et beaucoup d’ans de crise économique, a maintenu ce caractère pas confessionnel des origines. La particularité unique de la capitale Istanbul, ancienne Constantinople, est le fait d’être carrefour de trois grands aveux monothéistes présents en Orient : Chrétiens Catholiques, Orthodoxes, Musulmans. Le voyage de Bénit XVI est la troisième visite qui une Papa accomplit en Turquie. La première vous a été ce de Paul dans 1967, accompagnée de la célèbre rencontre avec le Patriarche Athenagora, étape significative pour l’oecuménisme entre les Églises chrétiennes. La deuxième a été ce de Giovanni Paolo II en 1979. Dans tous les deux les cas, aucune des deux pontifiés il avait fait de la mention à la majorité musulmane du Pays. Seulement Paolo VOUS, en citant
la Déclaration « Nos Aetate », tourna d’Istanbul salue bref et formel en français au chef des musulmans. Giovanni Paolo II dans sa rencontre avec les autorités turques ne prononça même pas le mot Islam. Cette attitude des prédécesseur de Bénit XVI a dû fondamentalement au respect pour la laïcité de l’État et la forme de
la République turque inaugurée avec Ataturk, outre le respect de la liberté religieuse. Aujourd’hui, cependant, la situation est complètement changée. Il vous est, d’un coté, la grande question des droits humains qui ralentit l’entrée de
la Turquie dans l’Union Européenne et il vous est, de l’autre, la question de l’Islam. Cette dernière dérive de l’explosion de l’intégrisme, après les 11 septembre, et rend particulièrement délicate la visite de Bénit XVI. Beaucoup se sont même demandés de parce que d’un voyage ainsi peu correspondant à la logique politique de l’instant. Si les réactions intégristes après le discours de septembre à Ratisbona parlent d’elle, le rapport avec les Orthodoxes, d’autre part, ne semble pas – apparemment – promettre des grands résultats. Comme on sait, les deux grandes Églises chrétiennes ont toujours voyagé parallèles et unissez dans le premier millénaire, pendant qu’ils ont vécu séparées dans la seconde. Ataturk, fondateur du moderne état turc
La Grande Schisme s’est produite formellement dans le 1054, précisément lorsque Papa Lion IX et le Patriarche Michele le Cerulario excommunier mutuellement, même si je divorce institutionnel seulement siglò en mode définitive une séparation culturelle et une linguistique entre Occident et Orient entamée déjà au temps des Pères de l’Église. Quelques historiens ont souligné motive fondamental de la division dans le Record revendiquer de l’Évêque de Rome sur les quatre Patriarcats d’Orient, même si peut-être il faudrait s’arrêter sur les raisons politiques vraiment en jeu, premier entre tous le rapport entre religion et politique. Si, depuis l’époque de Papa Gelasio I, en l’Occident subsiste la claire distinction entre religion et État, ou, comme il récite titre d’une oeuvre de le canoniste française Ugo de Fleury, entre majesté et sacerdoce, cette distinction en Orient n’a jamais été pensée de la même manière. Constantinople avait devenu, à partir du IV siècle, capital du monde, et l’Empereur d’Orient était au même temps roi et prêtre, sans une claire distinction entre politique et religion. Même l’Islam, d’autre part, toujours n’a pas distingué les deux plans, et l’intégrale laïcité revendiquant de l’État turc répond même à cette confusion de plans présent dans les attitudes religieuses de peuple. On doit reconnaître que la grande nouveauté d’aujourd’hui est le bon rapport qui on est crée entre le Patriarcat Orthodoxe et l’Église Catholique. Dans cette occasion, en effet, chacune participera aux fonctions religieuses de l’autre.
La Papa assistera à la liturgie orthodoxe dans le Fanar, pendant que le Patriarche assistera à la liturgie catholique dans le cathédrale d’Istanbul.
La Papa et le Patriarche parle, s’écrit, on envoie des invitations qui sont accueillies de tous les deux et rendues. Personne n’aurait prévu de comportements analogues pas seulement cents, mais même pas il y à cinquante ans. Si à l’époque de la visite de Paolo IL vous semblait un fait unique, une frontière inégalable de l’oecuménisme, la visite et la rencontre avec le Patriarche, maintenant on trouve de front à une réciprocité de rapports stable et habituelle. D’autre part, cependant, la situation des minorités ethniques et religieuses ne se présente pas en Turquie des meilleures. Il se nous trouve souvent de front à une situation d’émergence qui implique soit l’Église Catholique, soit celle Orthodoxe. Ce je conteste rend les rapports entre les chrétiens très semblables à ceux existants dans le premier millénaire, lorsque
la Papa et le Patriarche se considéraient, malgré tout, unis dans défendre la liberté religieuse. Pour ceci on ne peut pas ignorer les importantes attentes que les Orthodoxes attendent de la présence en Turquie de
la Papa même et surtout en matière de défense des droits humains. En tel sens, il y à beaucoup de temps le Patriarche n’a pas déclaré que tous espèrent dans une explicite déclaration de
la Papa en faveur de la défense des « minorités », un euphémisme qui est synonyme du droit à la liberté religieuse, surtout en ce qui concerne le droit à l’expression authentifie des respectifs cultes. Actuellement, l’attitude de
la Papa est divergée de celui des autres chefs religieux, chrétiens et pas. Il va porter un témoignage d’abnégation et de sobriété, en révélant le profond et exclusif sens religieux de la mission qui accomplit. Il on ne bouge pas en suivant une logique d’utilité politique, vraiment parce qu’autrement, dans la situation actuelle, il n’aurait pas pour rien projeté un voyage comme ceci, dans un instant comme ceci. Il va en Orient porter un message d’identité et de paix, un témoignage personnel de je force et de la responsabilité qui un tel objectif comporte, avec la même mentalité avec laquelle Giovanni Paolo II est allé à porter à je peuple d’Israël en Terre Sainte un message de pardonne. La lettre qui délivre Bénit XVI cette fois n’est pas laissée dans « Mur du Pitié » ( ?), mais est portée avec la chaleur – et disons l’aussi, le risque – d’une présence personnelle. Ces attentes ne sont pas marginales parce qu’en Turquie les minorités religieuses souffrent le manque d’une reconnaissance de type juridique qui sauvegarde les différentes identités et leur mutuel rapport, pendant que le droit à la liberté religieuse correspond à Article 18 de
la Déclaration universelle des droits de l’homme et constitue un élément inaliénable de légitimation international. Le voyage de le Pape est de toute façon une parcours qui vient de loin, un chemin déjà entamé depuis longtemps, qu’il dure d’un millénaire et que dans les derniers ans a accéléré son pas. Et porter un message d’adjacente identité implique toujours, outre le danger d’être « employé », une généreuse ouverture qui n’est pas exclusivement politique, qu’on ne laisse pas comprendre à l’intérieur d’un limé et conjoncturel je calcule d’intérêts. On ne traite pas dans ce cas d’unir ou de défendre l’Occident d’expansion de la violence intégriste, de né, très moins, de retrancher l’Église dans une identité semblable à la prison d’un roi ; il traite, par contre, de s’écouter et de montrer authentiquement qu’est-ce que on est, comme on pense, que valeur ont ses idées et ses convictions. Vraiment ce qui pousse
la Papa à la rencontre d’Istanbul ressemble beaucoup à ces motivations qui Thomas Mann définissaient des « considérations impolitique ». Et aujourd’hui il est combien jamais indispensable qui quelqu’un fait un pas audace dans cette direction, même si il peut coûter beaucoup du point de vue personnelle. Il est évident, en effet, que nous sommes de front à un grand rendez-vous de l’histoire, et cette importante rencontre de mutuelle reconnaissance de l’identité commune pourra se réaliser seulement avec concouru de tous et seulement si tous auront le courage de vaincre la peur plus dangereuse et insidieux qu’il existe, la terreur d’affronter son temps. (24 novembre 2006)
image de « La Repubblica »
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