Archive pour le 22 novembre, 2006

Déjà plus d’une feuille sèche

22 novembre, 2006

une poesie que j’ai trové sur le site:

http://poetes.com/gautier/hirondelles.htm

Déjà plus d’une feuille sèche 

Parsème les gazons jaunis ;
Soir et matin, la brise est fraîche,
Hélas ! les beaux jours sont finis !

On voit s’ouvrir les fleurs que garde
Le jardin, pour dernier trésor :
Le dahlia met sa cocarde
Et le souci sa toque d’or.

La pluie au bassin fait des bulles ;
Les hirondelles sur le toit
Tiennent des conciliabules :
Voici l’hiver, voici le froid !

Elles s’assemblent par centaines,
Se concertant pour le départ.,
L’une dit : « Oh ! que dans Athènes
Il fait bon sur le vieux rempart !

« Tous les ans j’y vais et je niche
Aux métopes du Parthénon.
Mon nid bouche dans la corniche
Le trou d’un boulet de canon. »

L’autre : « J’ai ma petite chambre
A Smyrne, au plafond d’un café.
Les Hadjis comptent leurs grains d’ambre
Sur le seuil, d’un rayon chauffé.

« J’entre et je sors, accoutumée
Aux blondes vapeurs des chibouchs ;
Et parmi des flots de fumée,
Je rase turbans et tarbouchs. »

Celle-ci : « J’habite un triglyphe
Au fronton d’un temple, à Balbeck.
Je m’y suspends, avec ma griffe
Sur mes petits au large bec. »

Celle-là : « Voici mon adresse :
Rhodes, palais des chevaliers ;
Chaque hiver, ma tente s’y dresse
Au chapiteau des noirs piliers. »

La cinquième : « Je ferai halte,
Car l’âge m’alourdit un peu,
Aux blanches terrasses de Malte,
Entre l’eau bleue et le ciel, bleu. »

La sixième : « Qu’on est à l’aise
Au Caire, en haut des minarets !
J’empâte un ornement de glaise,
Et mes quartiers d’hiver sont prêts. »

« A la seconde cataracte,
Fait la dernière, j’ai mon nid ;
J’en ai noté la place exacte,
Dans le pschent d’un roi de granit. »

Toutes : « Demain combien de lieues
Auront filé sous notre essaim,
Plaines brunes, pics blancs, mers bleues
Brodant d’écume leur bassin ! »

Avec cris et battements d’ailes,
Sur la moulure aux bords étroits,
Ainsi jasent les hirondelles,
Voyant venir la rouille aux bois.

Je comprends tout ce qu’elles disent,
Car le poète est un oiseau ;
Mais, captif, ses élans se brisent
Contre un invisible réseau !

Des ailes ! des ailes ! des ailes !
Comme dans le chant de Ruckert,
Pour voler, là-bas avec elles
Au soleil d’or, au printemps vert !

Paul Gautier

le Cardinal Poupard aux Directeurs des Centres Catholiques Culturels en Inde

22 novembre, 2006

du Agenzia Fides:

VATICAN – “Valeurs et Cultures de l’Evangile: le défi du témoignage de la foi chrétienne dans les cultures indiennes”: le Cardinal Poupard aux Directeurs des Centres Catholiques Culturels en Inde

Goa (Agenzce Fides) – “Le Christianisme est très ancien et a des racines très profondes ici en Inde. Comme toutes les autres cultures du monde, les cultures indiennes sont sujettes à de continuelles évolutions et adaptations ». Ainsi le Cardinal Paul Poupard, Président du Conseil Pontifical de la Culture et du Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux, a-t-il commencé son message de bienvenue à la réunion des Directeurs des Centres Culturels Catholiques en Inde qui s’ouvre aujourd’hui à Goa.
« Même si les gens de Goa professent différentes confessions et ont des bagages culturels différents, cette petite bande de terre est marquée par une harmonie pacifique et par le respect mutuel », a mis en évidence le Cardinal dans son intervention consacré aux « Valeurs et cultures de l’Evangile : le défi du témoignage de la foi chrétienne dans les cultures indiennes ».
L’axe portant de l’intervention de Poupard a été le commentaire du texte de Matthieu 28 qui, selon la tradition, a été le premier à arriver en Inde, sur les paroles de conclusion de Jésus qui exhorte ses disciples avec son quadruple « tout » : « tout pouvoir m’a été donné, allez dans toutes les parties du monde, et enseignez tout, je suis avec vous tous les jours ».
« L’Eglise en Inde, comme partout, est appelée à vivre et à témoigner de sa foi en Jésus-Christ. Le riche patrimoine culturel indien offre autant un défi qu’une occasion de vivre et de proclamer sa foi en Jésus-Christ. C’est un appel à l’évangélisation des cultures et à l’inculturation de la foi ».
Le Président a conclu son intervention par les paroles du Cardinal indien Ivan Dias, Préfet de la Congrégation pour l’Evangélisation des Peuples, qui affirme que « Nous devons reconnaître et respecter les trésors précieux du patrimoine religieux. Comme les rois mages ne se sont pas arrêtés tant qu’ils n’ont pas trouvé Jésus, ont déposé leurs trésors devant lui et l’ont adoré, ainsi tous les habitants de l’Asie, avec leurs cultures riches et variées, leur patrimoines religieux et leurs traditions, ne s’arrêteront pas tant qu’ils ne trouveront pas Celui qui est la Vie, la Vérité, et la Vie, et ils l’adoreront».(AP) (21/11/2006 Agence Fides; Lignes:29; ueMots:362)

une très belle image de personne – India – photo:

http://www.geraldbrimacombe.com/India/India%20-%20Streets%20of%20Jaipur.jpgle Cardinal Poupard aux Directeurs des Centres Catholiques Culturels en Inde dans sujets interessants aujourd'hui India%20-%20Streets%20of%20Jaipur

Dossier sur le préservatif remis à la Doctrine de la Foi

22 novembre, 2006

du Zenith:

2006-11-21

Pastorale de la santé :

Dossier sur le préservatif remis à la Doctrine de la Foi

De l’opportunité ou non d’une déclaration

ROME, Mardi 21 novembre 2006 (ZENIT.org) –

Un dossier sur la question du préservatif a été remis par le cardinal Javier Lozano Barragan à la congrégation pour la Doctrine de la Foi, à la demande de Benoît XVI, a indiqué le cardinal mexicain, président du conseil pontifical pour la Pastorale de la Santé.

Le cardinal Lozano Barragan a en effet révélé cette information à la presse lors de la présentation ce matin au Vatican du congrès pour la lutte contre les maladies infectieuses.

Il a souligné qu’il s’attendait en effet toujours à ce que l’on pose la question du préservatif dès que l’on parle du sida, mais que son dicastère est uniquement « pastoral » et n’a aucune autorité doctrinale pour se prononcer sur la question.

Il précisait également que le dossier une fois remis, c’est à l’autorité doctrinale – la congrégation et ultimement le pape, à partir du travail de réflexion de celle-ci – de décider s’il est opportun ou non que l’Eglise se prononce du point de vue doctrinal sur la question.

Il a souligné, en citant « Familiaris Consortio », qu’aucune prise de position de l’Eglise ne doit donner à penser qu’elle encouragerait des conduites légères en matière de morale sexuelle.

Le dossier du cardinal Lozano comprend, a-t-il précisé, non seulement les données objectives sur l’usage du préservatif mais aussi tout un éventail des positions pastorales adoptées dans le monde, des plus rigides aux plus souples. S’agissant d’un dossier « interne » à usage « privé », le cardinal Barragan n’en a pas dit davantage.

Mais il répétait qu’une fois la synthèse faite, « ce n’est pas à nous de juger » s’il est nécessaire de se prononcer ou s’il est opportun de ne pas répondre. Par exemple, le pape Jean-Paul II, rappelons-le, n’a pas prononcé le mot de préservatif dans ses discours. Les questions préalables seront donc: faut-il ne rien dire ? Dire quelque chose ? Et si « oui », dire quoi ?

Le cardinal Lozano Barragan s’est dit confiant dans la « sagesse spéciale » du pape Ratzinger et du « charisme » du successeur de Pierre assisté spécialement par l’Esprit Saint dans son ministère.

Il pourrait ne pas y avoir de réponse officielle. La réponse doit-elle venir du niveau suprême de l’Eglise ? Ou laissée à la pastorale des diocèses ? Car, pour ce qui est d’une éventuelle réponse au dossier le cardinal Lozano Barragan a souligné qu’il ne s’agit en aucune façon d’« exiger » mais seulement d’« espérer ». Et qu’en tout cas s’il devait y avoir une réponse, ce serait une réponse qui « aide les catholiques et ne lèse personne ».

Sainte Cecile – memoire -

22 novembre, 2006

Cultures > Musique  

Du site :  

http://www.inxl6.org/article3148.php 

Cultures > Musique   

Nuits de
la Sainte Cécile, trois concerts spirituels prestigieux pour la patronne des musiciens  

Pour la fête de Sainte Cécile le 22 novembre, trois hauts lieux spirituels s’unissent pour valoriser le patrimoine spirituel de la musique sacrée. Pierre Gueydier
16/11/2006 Notre Dame de Paris (75), le sanctuaire de Sainte Anne d’Auray (56) et la cathédrale de Metz (57) proposent autour de la fête liturgique de sainte Cécile une série de concerts spirituels.
Excellence musicale, diversité des répertoires et méditation spirituelle seront réunis grâce à la collaboration des maîtrises d’enfants et d’adultes, des organistes et des instrumentistes de ces trois sanctuaires.Notre Dame de Paris proposera le 21 novembre à 20h30, des oeuvres de Purcell, Britten et Kodaly avec la maîtrise, le choeur d’adultes et l’ensemble instrumental sous la direction de Lionel Sow, Sylvain Dieudonné et Yves Castagnet au grand Orgue.
La Basilique de Sainte Anne d’Auray donnera des vêpres en l’honneur de Sainte Cécile le 24 novembre à 18h avec la maîtrise sous la direction de Richard Quesnel
La maîtrise de la cathédrale de Metz, placée sous la direction de Christophe Bergossi fera entendre des oeuvres dédiées à Sainte Cécile le 25 novembre à 17h. Sainte Cécile est une chrétienne romaine du 3ème siècle. Peu d’élements historiques sont connus à son sujet, ses reliques furent transférées au IXème siècle dans une église romaine proche du Tibre en l’église Sainte Cécile au Transtevere. Mais la tradition fait de cette vierge martyre la patronne des musiciens et des chanteurs elle qui « chantait dans son cœur la gloire de Dieu » selon ses hagiographes. 

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Je cherchai aussi:  

Commentaire du Saint Augustin aux Psaumes,  IIme lecture d’aujourd’hui pour Sainte Cécile :  

 7.« et bénissez Dieu sur la harpe, et chantez-le sur le psaltérion à dix cordes».8. « Chantez-lui un cantique nouveau (Ps. XXXII, 3 ) ». Dépouillez-vous du vieil homme: vous connaissez le cantique nouveau. Le nouvel homme, la nouvelle alliance, voilà le cantique nouveau. Le cantique nouveau n’est point l’héritage du vieil homme: il n’y a pour l’apprendre que les hommes nouveaux, qui ont rajeuni le vieil homme dans la grâce, et qui appartiennent au Nouveau Testament, c’est- à-dire au royaume des cieux. C’est vers lui que notre amour exhale ses soupirs, à lui qu’il chante ses cantiques. Qu’il chante ce cantique, non de la voix, mais par les actions de la vie. « Chantez-lui un cantique nouveau, chantez-le sagement ». Chacun se demande : comment chanter à Dieu ? Oui, chantez, mais qu’il n’y ait aucun désaccord; Dieu ne peut souffrir que l’on blesse ses oreilles. Chante sagement, ô mon frère. Devant un habile musicien qui doit t’écouter; que l’on te dise Chante pour lui plaire, situ crains de chanter parce que tut es dépourvu de science musicale, et qu’un (301) artiste peut trouver en toi des défauts inaperçus pour un ignorant: qui se flattera de chanter avec harmonie, pour Dieu, qui juge du chantre avec tant de sagacité, qui pénètre dans tous les détails, qui écoute si attentivement? Quand votre chant sera-t-il assez harmonieux, pour n’offenser en rien des oreilles si délicates ? Voici qu’il vous prescrit lui-même la manière de chanter; ne cherchez point les paroles comme si vous pouviez en trouver pour expliquer ce qui plaît à Dieu. Chantez « par vos transports ». Pour Dieu, bien chanter, c’est chanter dans la joie. Mais qu’est-ce que chanter avec transport? C’est comprendre que des paroles sont impuissantes à rendre le chant du coeur. Voyez ces travailleurs qui chantent soit dans les moissons, soit dans les vendanges, soit dans tout autre labeur pénible : ils témoignent d’abord leur joie par des paroles qu’ils chantent; puis, comme sous le poids d’une grande joie que des paroles ne sauraient exprimer, ils négligent toute parole articulée et prennent la marche plus libre de sons confus. Cette jubilation est donc pour le coeur un son qui signifie qu’il ne peut dire ce qu’il conçoit et enfante. Or, à qui convient cette jubilation, sinon à Dieu qui est ineffable? Car on appelle ineffable ce qui est au-dessus de toute expression. Mais si, ne pouvant l’exprimer, vous- devez néanmoins parler de lui, quelle ressource avez-vous autre que la jubilation, autre que cette joie inexprimable du coeur, cette joie sans mesure, qui franchit les bornes de toutes les syllabes?  « Chantez harmonieusement, chantez dans votre jubilation ».  

Sainte Cecile - memoire - dans saints Maderno%20-%20Santa%20Cecilia%20(Roma)

Santa Cecilia – Stefano Maderno – Chiesa di Santa Cecilia – Roma

BÉNIT XVI – Audience Gènéral: « Paul – la centralité de Jésus Christ »

22 novembre, 2006

Traduction  de la catéchèse d’aujourd’hui avec un traducteur on line et le contrôle orthographique du Word ( et moi) ; 

Du 8.11.06, mercredi, sur le site Vatican la traduction en français de le catéchèse du Pape est intégral;  

BÉNIT XVI  AUDIENCE GÉNÉRALE 

Place San Pietro Mercredi, 8 novembre 2006    Paul – la centralité de Jésus Christ 

Chers frères et soeurs, dans les catéchèse précédent, il y à quinze jours, j’ai cherché de tracer les lignes essentielles de la biographie de l’apôtre Paolo. Nous avons vu comme la rencontre avec Christ sur la route de Damas ait littéralement révolutionné sa vie. Christ devenue son ragions d’être et je motive profond de tout son travail apostolique. Dans ses lettres, après le nom de Dieu, qui apparaît plus que 500 fois, le nom qui sont mentionnées plus souvent il est cela que Christ (380 fois). Il est donc important qu’on rend compte de ce que Jésus Christ puisse peser dans la vie d’un homme et donc même dans notre même vie. En réalité, Christ Jésus est le sommet de l’histoire salvifique et donc le vrai point discriminant même dans je dialogue avec les autres religions. En regardant à Paul, nous pourrions formuler ainsi l’interrogatif de fond : comment se produit la rencontre d’un être humain avec Christ ? Et dans qu’il consiste le rapport qui en dérive ? Répondue donnée de Paolo il peut être compris en deux instants. En premier lieu, Paolo nous aide à comprendre la valeur absolument fondante et irremplaçable de la foi. Voilà ce qu’il écrit dans
la Lettre les Romains : « Nous retenons que l’homme est justifié pour la foi, indépendamment des oeuvres de
la Loi » (3.28). Et ainsi aussi dans
la Lettre aux Galati : « L’homme n’est pas justifié des oeuvres de
la Loi, mais seulement pour du moyen de la foi en Jésus Christ ; donc nous nous avons crus même en Jésus Christ pour être justifiés de la foi en Christ et pas des oeuvres de
la Loi, puisque des oeuvres de
la Loi il ne sera jamais justifié non aucun « (2.16). « Être justifié » il signifie être rendus juste, c’est-à-dire être accueilli de la justice miséricordieuse de Dieu, et entrer en communion avec Lui, et par conséquent pouvoir établir un rapport beaucoup plus j’authentifie avec tous nos frères : et celui sur la de base d’un total je pardonne de nos péchés. Eh bien, Paul dit avec toute clarté qui cette condition de vie ne dépend pas de nos éventuelles oeuvres bonnes, mais d’une pure grâce de Dieu : « Nous sommes justifiés gratuitement pour sa grâce, en vertu des rédemption réalisée de Christ Jésus » (Rm 3,24). Avec ces mots Saint Paul exprime le contenu fondamental de sa conversion, la nouvelle direction de sa vie résultante de sa rencontre avec le Christ rené. Paolo, avant la conversion, n’avait pas été un homme lointain de Dieu et de sa Loi. Au contraire, il était observant, avec une observance fidèle jusqu’au fanatisme. Dans la lumière de la rencontre avec Christ il comprit, cependant, qu’avec ceci il avait cherché de construire si même, sa justice, et qu’avec toute cette justice il avait vécu pour si même. Il comprit qu’un nouvel orientation de sa vie était absolument nécessaire. Et cet nouvel orientation nous le trouvons exprimé dans ses mots : « Cette vie que je vis dans la chair je la vis dans la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimé et a donné si même pour moi » (Gal 2, 20). Paolo, donc, il ne vit plus pour lui, pour sa justice. Il vit de Christ et avec Christ : en donnant si même, plus en ne cherchant pas et en construisant si même. Celle-ci est la nouvelle justice, le nouvel orientation offert nous des Seigneur, offert nous de la foi. Devant la croix du Christ, expression extrême de ses autodonazione, il n’y a personne qui puisse vanter si même, sa justice faite d’elle, pour elle ! Ailleurs Paolo retenissant (retenir) Geremia, explicite cette pensée en écrivant : « Qui se vante des orgueils dans les Seigneur » (1 Cor 1.31 = Ger 9,22s) ; ou bien : « Quant à il n’y ait pas autre vante que dans la croix des Seigneur notre Jésus Christ, pour moyen dont le monde pour a été crucifié comme moi pour le monde » (Gal 6,14). En réfléchissant sur qu’il veut dire justification pas pour les oeuvres mais pour la foi, nous sommes ainsi arrivés à la deuxième composante qui définit l’identité chrétienne décrite Saint Paul dans sa vie. Identité chrétienne qui se compose vraiment de deux éléments : ceci ne pas se chercher de soi, mais se recevoir Christ et à s’offrir avec Christ, et ainsi participer personnellement à l’événement de Christ même, jusqu’à se plonger dans Lui et à partager aussi bien ses mortes combien sa vie. Il est ce qui Paolo écrit dans
la Lettre les Romains : « Nous avons été baptisés dans ses mortes… avons été enterrés avec lui… avons été complètement unis à lui… Ainsi même vous considérez vous morts au péché, mais en vivant pour Dieu en Christ Jésus « (Rm 6,3.4.5.11). Vraiment cette dernière expression est symptomatique : pour Paul, en effet, ne suffit pas de dire que les chrétiens sont des baptisés ou des croyants ; pour il est aussi important dire qu’ils sont » en Christ Jésus « (cfr même Rm 8,1.2.39 ; 12.5 ; 16,3.7.10 ; 1 Cor 1.2,3, etc). Autres fois il renverse les termes et écrit que « Christ il est dans nous/vous » (Rm 8.10 ; 2 Cor 13,5) ou « dans moi » (Gal 2,20). Ces mutuelle compénétration entre Christ et la chrétien, caractéristique de l’enseignement de Paolo, complète son discours sur la foi. La foi, en effet, aussi en nous unissant intimement à Christ, souligne la distinction entre nous et Lui. Mais, en second lieu Paul, la vie du chrétien a aussi une composante que nous pourrions dire ` mystique’, puisqu’il comporte des identification de nous avec Christ et de Christ avec nous. En ce sens, l’Apôtre arrive même à qualifier nos souffrances comme les « souffrances de Christ dans nous » (2 Cor 1,5), ainsi que nous « portons toujours et partout dans notre corps les mortes de Jésus, parce que même la vie de Jésus se manifeste dans notre corps » (2 Cor 4,10). Tout ceci nous devons le baisser dans notre vie quotidienne en suivant l’exemple de Paolo qui a vécu toujours avec ce grand respire spirituel. D’une partie, la foi doit nous maintenir dans une constante attitude d’humilité face à Dieu, au contraire d’adoration et d’éloge dans le sien tu confrontes. En effet, ce que nous sommes puisque chrétiens nous le lui devons seulement et à sa grâce. Puisque rien et personne ne peut prendre sa place, faut donc que rien à autre et à aucun autre nous rendons l’hommage que le rendons Nous. Aucun idole doit contaminer notre univers spirituel, autrement au lieu de jouir de la liberté acquise retomberions dans une forme de humiliant de l’esclavage. De l’autre partie, de notre radicale appartenance à Christ et de fait que « nous sommes dans Lui » il doit nous inspirer une attitude de totale confiance et d’immense joie. En définitive, en effet, nous devons exclamer avec Saint Paul : « Si Dieu est pour nous, qui sera contre de nous? » (Rm 8,31). Et répondue il est que rien et personne « ne pourra jamais nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Christ Jésus, nos Segneur » (Rm 8,39). Notre vie chrétienne, donc, pose sur la roche plus stable et sûre qu’il puisse s’imaginer. Et d’elle nous tirons toute notre énergie, comme il écrit justement l’Apôtre : « Tout je peux dans celui qui il me donne la force » (Fi1 4,13). Nous affrontons donc notre existence, avec ses joies et ses douleurs, soutenus de ces grands sentiments que Paolo nous offre. En faisant l’expérience nous pourrons comprendre combien soit vrai ce que le même Apôtre écrit : « Je sais à quel j’ai cru, et suis auto convaincu qu’il est capable de conserver mien dépose jusqu’à ce giorno », c’est-à-dire jusqu’au giorno définitif (2 Tm 1,12) de les nôtre je rencontre avec Christ Juge, Salvatore du monde et les nôtre.

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Saluts : Je salue cordialement les pèlerins francophones présents ce matin, en particulier les lecteurs du magazine « Pèlerin ». Puisse le exemple de Paul vous inviter à demeurer toujours plus « dans le Christ », la louant Dieu, ici, par sait seule grâce, fait de à vous ce que vous êtes. 

BÉNIT XVI - Audience Gènéral:

A gust of wind blows up Pope Benedict XVI’s mantle as he leads his weekly general audience in Saint Peter’s Square at the Vatican November 22, 2006. REUTERS/Max Rossi (VATICAN)

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,

22 novembre, 2006

du Zenith: 

2006-11-21

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,

1er livre du pape

Un livre christocentrique et trinitaire

ROME, Mardi 21 novembre 2006 (ZENIT.org) –

 Benoît XVI vient d’achever la première partie de son premier livre en tant que pape. Cette lecture de l’Evangile est centrée sur la connaissance de la personne de Jésus, dans sa relation aux deux autres personnes de la Sainte Trinité, comme l’indique le titre, révélé par la salle de presse du Saint-Siège: « Jésus de Nazareth. Du baptême dans le Jourdain à la Transfiguration ».Le Baptême dans le Jourdain et la transfiguration sont en effet par excellence des lieux de l’Evangile où le Père manifeste sa paternité et son amour pour son Fils, dans l’Esprit.

Le pape vient de remettre son texte à la Librairie éditrice du Vatican (LEV) son éditeur, qui a exprimé mardi ses remerciements à Benoît XVI pour son « estime » et sa « confiance ».

La LEV a déjà signé des accords avec les éditions italiennes Rizzoli pour les droits de traductions de diffusion et de commercialisation dans le monde entier.

La LEV exprime ainsi la continuité de collaboration avec la « Casa Editrice Rizzoli » et la remercie de son travail éditorial pour faire connaître les écrits de Jean-Paul II, en particulier son dernier essai: « Mémoire et identité ».

Pour l’Allemagne, Rizzoli a reconnu les « liens d’estime et d’amitié » qui lient depuis plus de 50 ans le professeur puis cardinal Ratzinger aux éditions Herder et c’est pourquoi la « Herder Verlag » s’est vu céder les droits sur l’œuvre dans la République fédérale.

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,  dans Pape Benoît - écrit

Pope Benedict XVI gives his weekly general audience in St Peter’s square at the Vatican, November 15. The pope has put the finishing touches on the first volume of a work titled « Jesus of Nazareth » that will hit the bookstores in the spring, the Vatican has said.(AFP/File/Vincenzo Pinto)