Archive pour le 19 novembre, 2006

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI

19 novembre, 2006

 du Zenith: 

2006-11-17

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité »Assemblée du dicastère pour la Promotion de l’unité des chrétiens

ROME, Vendredi 17 novembre 2006 (ZENIT.org) –

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI qui a reçu ce matin au Vatican les membres de l’assemblée plénière du conseil pontifical pour la Promotion de l’unité des chrétiens.L’assemblée avait pour thème « Les changements dans la situation œcuménique ».

Pour que le dialogue œcuménique se déroule « dans la vérité », la « charité » est indispensable, a observé Benoît XVI.

Benoît XVI a évoqué l’indispensable avenir œcuménique de l’Eglise en disant : « Ce qui, de toute façon, doit être promu avant tout est l’œcuménisme de l’amour qui descend directement du commandement nouveau de l’amour laissé par Jésus à ses disciples. L’amour accompagné de gestes cohérents créé la confiance, fait s’ouvrir les cœurs et les yeux. Le dialogue de la charité promeut par nature et éclaire le dialogue de la vérité : c’est en effet dans la pleine vérité qu’aura lieu la rencontre définitive à laquelle conduit l’Esprit du Christ. Ce ne sont certainement pas le relativisme facile et le faux irénisme qui résolvent la recherche œcuménique. Ils la déforment et la désorientent. Il faut ensuite intensifier la formation œcuménique en partant des fondements de la foi chrétienne, c’est-à-dire de l’annonce de l’amour de Dieu qui s’est révélé dans le visage de Jésus Christ, et de façon contemporaine, dans le Christ, a dévoilé l’homme à lui-même et lui a fait comprendre sa très haute vocation ».

Benoît XVI a examiné, à partir de ce principe, les lumières et les ombres sur la route de l’œcuménisme.

De la présence silencieuse au dialogue :
« En vérité, disait Benoît XVI, en italien, du Concile Vatican II à aujourd’hui, de nombreux pas ont été faits vers la pleine communion. J’ai devant les yeux l’image de la salle du Concile, où les Observateurs délégués des autres Eglises et des communautés ecclésiales étaient attentifs mais silencieux. Cette image a été remplacée aux cours des décennies successives à la réalité du dialogue avec toutes les Eglises et les communautés ecclésiales d’Orient et d’Occident. Le silence s’est transformé en parole de communion ».

« La fraternité entre tous les chrétiens a été redécouverte et rétablie comme condition du dialogue, de la coopération, de la prière commune, de la solidarité », s’est réjouit Benoît XVI.

Le pape a répété ce qu’il a déclaré l’an dernier au début de son pontificat : « Mon intention », a-t-il dit, est la même que celle du Concile : arriver « à l’unité visible de l’Eglise ».

Mais sur ce chemin, ajoutait-il, il reste « beaucoup » à faire, surtout dans un monde qui, avec ses « rapides bouleversements » conditionne d’une certaine façon aussi le domaine œcuménique.

Parmi ces bouleversements, le pape mentionnait les Eglises d’Orient qui « ont retrouvé la liberté et se sont engagées dans un vaste processus de réorganisation et de retour à la vie ». « Nous leurs sommes proches, ajoutait le pape, par nos sentiments et notre prière. La partie orientale et la partie occidentale de l’Europe se rapprochent : cela incite les Eglises à coordonner leurs efforts pour la préservation de la tradition chrétienne et pour l’annonce de l’Evangile aux nouvelles générations ».

Benoît XVI a salué le « nouvel élan » du dialogue théologique entre catholiques et orthodoxes, qui a repris en Serbie en septembre dernier.

Benoît XVI évoquait également son « imminente » visite à Sa Sainteté Bartholomaios Ier et au patriarcat œcuménique comme « un nouveau signe de considération pour les Eglises orthodoxes » qui, espère le pape, sera « un stimulant pour hâter le pas vers le rétablissement de la pleine communion ».

Côté occidental, Benoît XVI a défini comme « ouverts et amicaux » les dialogues bilatéraux en cours spécialement avec les Eglises luthérienne et méthodiste.

Le pape a rappelé l’accord du 31 octobre 1999, relatif à la « Déclaration conjointe sur la doctrine de la justification » qui a obtenu entre temps aussi l’assentiment des méthodistes.

« Reste cependant, notait le pape, la difficulté de trouver une conception commune du rapport entre l’Evangile et l’Eglise », entre « le mystère de l’Eglise et de son unité », sur la question du « ministère dans l’Eglise ».

De nouvelles difficultés ont en outre surgi dans le « domaine éthique », ajoutait le pape, et les « différentes positions adoptées par les confessions chrétiennes sur le problématiques actuelles en ont réduit leur force d’orientation dans l’opinion publique ».
« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI dans Pape Benoit Eglise%20bizantine Une église Byzantine au pied de l’Acropole, site français:

 http://www3.ac-clermont.fr/etabliss/st-dominique-vichy/nosplus.htm

 

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI

19 novembre, 2006

 du Zenith: 

2006-11-17

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité »Assemblée du dicastère pour la Promotion de l’unité des chrétiens

ROME, Vendredi 17 novembre 2006 (ZENIT.org) –

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI qui a reçu ce matin au Vatican les membres de l’assemblée plénière du conseil pontifical pour la Promotion de l’unité des chrétiens.

L’assemblée avait pour thème « Les changements dans la situation œcuménique ».

Pour que le dialogue œcuménique se déroule « dans la vérité », la « charité » est indispensable, a observé Benoît XVI.

Benoît XVI a évoqué l’indispensable avenir œcuménique de l’Eglise en disant : « Ce qui, de toute façon, doit être promu avant tout est l’œcuménisme de l’amour qui descend directement du commandement nouveau de l’amour laissé par Jésus à ses disciples. L’amour accompagné de gestes cohérents créé la confiance, fait s’ouvrir les cœurs et les yeux. Le dialogue de la charité promeut par nature et éclaire le dialogue de la vérité : c’est en effet dans la pleine vérité qu’aura lieu la rencontre définitive à laquelle conduit l’Esprit du Christ. Ce ne sont certainement pas le relativisme facile et le faux irénisme qui résolvent la recherche œcuménique. Ils la déforment et la désorientent. Il faut ensuite intensifier la formation œcuménique en partant des fondements de la foi chrétienne, c’est-à-dire de l’annonce de l’amour de Dieu qui s’est révélé dans le visage de Jésus Christ, et de façon contemporaine, dans le Christ, a dévoilé l’homme à lui-même et lui a fait comprendre sa très haute vocation ».

Benoît XVI a examiné, à partir de ce principe, les lumières et les ombres sur la route de l’œcuménisme.

De la présence silencieuse au dialogue :
« En vérité, disait Benoît XVI, en italien, du Concile Vatican II à aujourd’hui, de nombreux pas ont été faits vers la pleine communion. J’ai devant les yeux l’image de la salle du Concile, où les Observateurs délégués des autres Eglises et des communautés ecclésiales étaient attentifs mais silencieux. Cette image a été remplacée aux cours des décennies successives à la réalité du dialogue avec toutes les Eglises et les communautés ecclésiales d’Orient et d’Occident. Le silence s’est transformé en parole de communion ».

« La fraternité entre tous les chrétiens a été redécouverte et rétablie comme condition du dialogue, de la coopération, de la prière commune, de la solidarité », s’est réjouit Benoît XVI.

Le pape a répété ce qu’il a déclaré l’an dernier au début de son pontificat : « Mon intention », a-t-il dit, est la même que celle du Concile : arriver « à l’unité visible de l’Eglise ».

Mais sur ce chemin, ajoutait-il, il reste « beaucoup » à faire, surtout dans un monde qui, avec ses « rapides bouleversements » conditionne d’une certaine façon aussi le domaine œcuménique.

Parmi ces bouleversements, le pape mentionnait les Eglises d’Orient qui « ont retrouvé la liberté et se sont engagées dans un vaste processus de réorganisation et de retour à la vie ». « Nous leurs sommes proches, ajoutait le pape, par nos sentiments et notre prière. La partie orientale et la partie occidentale de l’Europe se rapprochent : cela incite les Eglises à coordonner leurs efforts pour la préservation de la tradition chrétienne et pour l’annonce de l’Evangile aux nouvelles générations ».

Benoît XVI a salué le « nouvel élan » du dialogue théologique entre catholiques et orthodoxes, qui a repris en Serbie en septembre dernier.

Benoît XVI évoquait également son « imminente » visite à Sa Sainteté Bartholomaios Ier et au patriarcat œcuménique comme « un nouveau signe de considération pour les Eglises orthodoxes » qui, espère le pape, sera « un stimulant pour hâter le pas vers le rétablissement de la pleine communion ».

Côté occidental, Benoît XVI a défini comme « ouverts et amicaux » les dialogues bilatéraux en cours spécialement avec les Eglises luthérienne et méthodiste.

Le pape a rappelé l’accord du 31 octobre 1999, relatif à la « Déclaration conjointe sur la doctrine de la justification » qui a obtenu entre temps aussi l’assentiment des méthodistes.

« Reste cependant, notait le pape, la difficulté de trouver une conception commune du rapport entre l’Evangile et l’Eglise », entre « le mystère de l’Eglise et de son unité », sur la question du « ministère dans l’Eglise ».

De nouvelles difficultés ont en outre surgi dans le « domaine éthique », ajoutait le pape, et les « différentes positions adoptées par les confessions chrétiennes sur le problématiques actuelles en ont réduit leur force d’orientation dans l’opinion publique ».

Le pape : les monastère de clôture, les poumons verts de l’Esprit

19 novembre, 2006

 du site italien Korazym, traduction on line (et moi emoticone)

Ce matin aux Angelus 

Le pape : les monastère de clôture, les poumons verts de l’Esprit

d’Alexandre Renzo –  de Mattia Blancs/  19/11/2006 

Le choix de la clôture à je centre de l’Angelus d’aujourd’hui. Quel sens a s’enfermer entre les mure d’un monastère ? Ces lieux, dit la papa, sont indispensables, comme les « poumons » verts d’une ville, pour découvrir que Dieu est l’unique soutien qui jamais vacille. Les mots du Saint Père à l’Angelus Domini dans
la XXXIII Dimanche du Temps Ordinaire, 19 novembre 2006 Les monastère de clôture comme  »poumons verts  », dans lesquels  »l’homme peut mieux puiser aux sources de l’Esprit et les se désalterérer long le « chemin  ». À l’Angelus d’aujourd’hui, Bénit XVI se rappelle du choix du soeur et des moine de clôture, en répondant à l’objection commune sur l’inutilité de ce choix. Pourtant, il explique la papa, l’explication est dans l’avoir découvert que  »le Règne des cieux est un trésor pour lequel il vaut vraiment peine abandonner « tout  ».  »Nos frères et soeurs – il continue – témoignent silencieusement qu’au milieu des événements quotidiens, parfois beaucoup convulse, unique soutien qui jamais vacille est Dieu, roche inébranlable de fidélité et « amour de  ». Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus des Domini : Chers frères et soeurs ! Après-demain, 21 novembre, en occasion de la mémoire liturgique de
la Présentation de Marie très sainte au Temple, nous célébrerons
la Journée au profit d’ » Orantibus », dédiée au souvenir des communautés religieuses de clôture. Elle est une occasion combien jamais opportune pour remercier les Seigneur pour le don de tant de personnes qui, dans les monastère et dans les ermitages, se dédient totalement à Dieu dans la prière, dans silence et dans le leur cacher pour Dieu . Quelqu’un se demande que sens et que valeur puisse avoir leur présence dans notre temps, en lequel nombreuse et urgence est les situations de pauvreté et de besoin auquel faire front. Pourquoi « s’enfermer » toujours entre les mure d’un monastère et priver ainsi autres de la contribution de ses capacités et expériences ? Quelle efficacité peut avoir leur prière pour la solution des tant de problèmes concrets qui continuent à affliger l’humanité ? De fait toutefois, même aujourd’hui, en suscitant souvent la surprise d’amis et connaissants, peu de personnes n’abandonnent pas de carrières professionnelles souvent prometteuses pour embrasser l’austère règle d’un monastère de clôture. Que les pousse à un pas tant d’absorbant si le ne pas avoir compris, comme enseigne l’Évangile, qui le Règne des cieux est « un trésor » pour lequel il vaut vraiment peine abandonner tout (cfr. Mt 13, 44) ? En effets, nos frères et soeurs témoignent silencieusement qu’au milieu des événements quotidiens, parfois beaucoup convulse, unique soutien qui jamais vacille est Dieu, roche inébranlable de fidélité et d’amour. « Todo si pasa, Dios non si muda », écrivait la grande de maître spirituel sainte Teresa d’Avila dans le sien célèbre teste. Et devant la diffuse exigence que beaucoup avertissent de sortir de la routine quotidienne des grandes agglomérations urbaines dans cherche d’espaces propices à silence et au méditation, les monastère de vie contemplative s’offrent comme « oasis » dans laquelle l’homme pèlerin sur la terre, peut mieux puiser aux sources de l’Esprit et se désaltérer long le chemin. Ces lieux, par conséquent, apparemment inutiles, sont par contre indispensables, comme les « poumons » verts d’une ville : ils font bien à tous, même à quel ils ne les fréquentent pas et peut-être ils en ignorent l’existence. Chers frères et soeurs, nous rendons des merci aux Seigneur, qui dans sa providence, ont voulu les communautés de clôture, masculines et féminines. Nous ne faisons pas les manquer notre soutien spirituel et même matériel, pour qu’ils puissent accomplir leur mission, cette de maintenir tu vis dans l’Église l’ardent attendu de reviens de Christ. Invoquons pour ceci les intercession de Marie, que, dans la mémoire de sa Présentation au Temple, nous contemplerons comme Mère et modèle de l’Église, qui réunit dans elle toutes les deux les vocations : à la virginité et au mariage, à la vie contemplative et à celle-là active. 

Le pape : les monastère de clôture, les poumons verts de l'Esprit  dans Angelus Domini - Regina Coelis s-imerio

Santa Teresa D’Avila in preghiera by Angelo Massarotti, du site:

http://www.rccr.cremona.it/doc_comu/info/chiese/engl_info_s_imerio.shtm

Bonne Nuit

19 novembre, 2006

avec les anges

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