Une interview avec le Vicaire Apostolique en Anatolia – interessant (je pense)
6 novembre, 2006J’ai déjà mis sur le Blog italienne cette interview et j’ai traduis en français parce que est intéressant e, après vous lierai ce que je ai déjà mis sur le Blog italienne
La pensée de Père Padovese sur la visite de le Pape en Turquie – personne que je connais – je le propose parce que d’un certain temps je n’ai pas posté les diverses nouvelles qui arrivaient de
la Turquie, refus de la visite de le Pape etc.; le fait est que, en étant ici à Rome, il ne se perçoit pas bien quelle valeur qu’ils aient les faits que les « media » justement mettent en relief, je pense que la réalité est difficilement interprétable pour nous; Père Padovese, Père franciscain cappuccino, a été mon professeur de Patrologie et très vite il commença à fréquenter les lieux des communautés fondées de San Paolo, à un certain point commença à avoir des contacts d’une certaine importance à Antiochia, peut-être de cette activité la fonction de Vicaire Apostolique, ceci cependant est ce que je me rappelle personnellement, ce de qu’il est arrivé, c’est-à-dire ce qu’il a fait doit être beaucoup de plus ; il est une personne concrète et fort, beaucoup de voisine aux Seigneur et affable, je me souvent de lui avec affection ; en ce qui concerne les nouvelles qui proviennent de
la Turquie je préfère me remettre à ses interprétation parce que j’ai confiance en lui, ensuite les Seigneur connaît tous ;
Publication: 2006-09-22 la visite des Pape en Turquie « une opportunité unique » pour les rapports avec l’Islam – entrevue avec monsignor Luigi Padovese, Vicaire Apostolique de l’Anatolie ROME, vendredis, 22 septembre 2006 (ZENIT.org). –
Quoique délicate et contrastée la visite de Bénit XVI en Turquie « il pourrait devenir une occasion irremplaçable, une opportunité unique » pour éclaircir les rapports avec l’Islam, a expliqué monsignor Luigi Padovese, Évêque titrer de Monteverde (Monteverde il est en réalité un quartier de Rome) et Vicaire Apostolique en Anatolie. Ainsi il a dit dans interviewe concédée à ZÉNITH ce vendredi, monsignor Padovese, grand studieux de l’Église en Turquie, déjà Préside de l’Institut Franciscain de Spiritualité et que pour des ans il a organisé des symposiums et des rencontres sur San Paul et San Jean. De récent il est sorti un volume de lui soigné contenant les Actes du IX Symposium su Saint Paul sur « Paul entre Tarso et Antiochia » (Institut Franciscain de Spiritualité, Pontifical Université « Antonianum », édité d’Éditions Eteria Association de Parme). En qualité de Vicaire Apostolique de l’Anatolie, monsignor Padovese a été objet de menaces et il y à quatre mois même d’une tentative d’investissement de la part d’un mouvement. Pour ceci on bouge avec un policier d’escorte demandé de l’Ambassadeur italien au gouverneur de l’Antiochia.
Comment est-elle la situation en Turquie ?
Monsignor Padovese :
La Turquie est une réalité hétéroclite, où la présence de groupes des nationalistes et le croissant phénomène d’islamisation produite d’une situation économique qui est allée en dégénérant, a fait mûrir une attitude de fermeture soient vis-à-vis du christianisme que vis-à-vis de l’Europe. Peut-être nous pensons que là ils soient tous favorables à l’éventuelle entrée de
la Turquie en Europe, mais je par contre me rends compte qui n’est pas ainsi. Il y ils ont des groupes des islamiques qui pensent que le rapprochement de
la Turquie à l’Europe puisse faire égarer l’identité musulmane. En Turquie être un bon turc équivaut aujourd’hui à être un bon musulman. Pour ces personnes l’entrée de
la Turquie en Europe pourrait signifier être un bon turc et pas plus bon musulman.
Selon elle les musulmans craignent la modernité ?
Monsignor Padovese : Ils utilisent des moyens de modernité, mais ils ont crainte qu’il perde identité national fruit de travail de conquête de Ata Turk [ Mustafà Kemal Kemal Ata Turk), dans 1924 abolit dans Turquie califat, qui était le système de Gouvernement islamique qui caractérisait l'empire ottoman, et fonda le Parti Républicain Populaire, NDR ]. Parce qu’en fond la démocratie turque, à mon j’avertis, n’accepte pas autres voix, il est démocratique mais à l’unisson. Ceci explique parce que tout sommé les minorités aient du mal à être accepté et reconnu.
Et avec les Orthodoxes, comme il va ?
Monsignor Padovese : Avec les Orthodoxes le rapport est assez bon parce que nous vivons les mêmes problèmes. Il y a une certaine syntonie liée à des problèmes communs, même si je dois dire qu’en occasion de la visite de
la Papa, il y a eu des mise ou point de la part du Patriarcat Oecuménique et du Patriarcat Arméno qui semblait presque une prise de distance. Action justifiée de raisons de prudence, parce qu’en Turquie on ne va pas beaucoup pour le subtil et ne se distingue pas entre Orthodoxes, Catholiques et des Protestants. Vue de l’extérieur semblait vouloir se laver les mains, vue de l’intérieur elle est une mode pour défendre sa communauté de dangers et menaces.
Que nous peut dire de la communauté catholique en Turquie ?
Monsignor Padovese. La présence catholique est très limée et est concentrée dans les grands centres Istanbul, Smirne et Merse, et à Ankara, surtout entre les diplômés nous. Ici et il y a des paroisses mais fréquentées de peu de centaines de fidèles. Il y a un christianisme latin, arméno- catholique, chaldéen- catholique et siro- catholique. Elles appartiennent alla tradition et les expressions déesses différents rites sont maintenues, même si en termes numériques ils sont peu.
Quel est son évaluation au sujet de la visite prochaine du Saint Père Benoît XVI ?
Monsignor Padovese : La visite du Saint Père est délicate, pas problématique pour les questions de caractère œcuménique, parce que de ce point de vue on a déjà rejoint une syntonie, ensuite il y aura une déclaration commune de la part de l’Évêque de Rome et du Patriarche d’Istanbul. Les questions plus complexes concernent le rapport entre christianisme et Islam, et qu’est-ce que pense les Pape de l’éventuelle entrée en Europe de
la Turquie. Les media turcs critiquèrent le alors Cardinal Ratzinger parce qu’en second lieu ils défavorable à l’entrée de
la Turquie en Europe.
Que pense des réactions à la leçon qui
la Papa Bénit XVI a déroulé à l’Université de Regensburg ?
Monsignor Padovese. Je crains que quelqu’un en Turquie ait intérêt à monter la protestation jusqu’à l’arrivée des Pape. Pour les fondamentalistes elle est une occasion trop gourmand. J’ai lu une déclaration du responsable des affaires religieuses turcs, qui a précisé que
la Turquie recevra les Pape mais comme Chef d’État. La qu’il signifie que figure de leader religieux passe en seconde plane. À quelqu’un il plairait que les Pape ne aille pas en Turquie, mais on ne traite maintenant pas d’ouvrir une fenêtre sur le monde islamique, mais un balcon, pour faire un discours clair sur les rapports entre Islam et christianisme. Je suis auto convaincu que ce qu’a été un problème pourrait devenir une occasion irremplaçable, une opportunité unique, parce que tous les media des Pays arabes seront visés sur ce qui dira
la Pape. Certains ne seront pas contents, mais au moins il sera rapporté combien le Saint Père affirmera.
Dans quelle mode la communauté chrétienne occidentale peut aider la petite troupeau turque ?
Monsignor Padovese. Nous sommes une réalité sans voix. Le problème, que même j’ai exprimé aux Pape en occasion des mortes don de Santoro, est qu’en Turquie nous sommes sans moyens de communication sociale. Les Protestants ont un Tv et deux ou trois radios. Nous n’avons rien. Ceci signifie que nous ne réussissons pas à prendre des positions et nous ne réussissons à ne pas rectifier combien de faux est écrit et dit contre de nous. Pour faire rectification j’ai dû assumer un avocat à temps plein. J’ai demandé rectification à deux journaux et ils l’ont fait et un autre pour éviter le procès me rencontrera pour me faire les excuses.
Comment procède-il dialogue avec l’Islam ?
Monsignor Padovese. La situation est compliquée parce que l’Islam a une conception de la réalité totalisante et absorbant. Et l’absolutisme avec lequel on pose les musulmans n’admet aucune forme de dialogue né de compromis. Le rapport il y a avec quelques personnes du monde islamique. Le problème plus grand est lié à la difficulté du divergé niveau de préparation culturelle et théologique. Il y ils ont des écoles des islamiques de théologie, mais j’ai l’impression qu’ils ne soient pas au niveau de ces les nôtre, ne nous trouvons pas sur le même doucement. Le fait est que l’Islam n’admet pas les exégèse du Corano, pendant que le Christianisme admet les exégèse de
la Sacrée Écriture. Ainsi il se produit que y il n’est pas un vrai dialogue, seulement connaissance réciproque. Une recueilli d’informations de l’une et de l’autre partie, ce que nous nous faisons et ce que fées vous, mais ceci n’est pas vrai je dialogue. Il y a dialogue et collaboration sur les oeuvres de miséricorde, d’oeuvres sociales, mais lorsque on entre en questions théologiques alors nous sommes très en arrière. Nous avons organisé des rencontres sur les images de Jésus et Maria dans l’Islam, mais les participants musulmans été peu, seulement personnes d’une certaine formation culturelle. Ils n’ont pas participé cet Imam qui ont une insuffisante préparation théologique. Celui-ci est un des gros problèmes. Dans l’Islam il y a très peu d’activité théologique qui est seulement de diversité de la part des diverses écoles. La différence est que nous chrétiens avons un Magistère d’orientation et là par contre il n’y a pas et est les individuels théologien qui décident.
Père Luigi Padovese, ofc;