« Chers frères et soeurs, notre célébration eucharistiqueca s’est ouverte avec les esortazione « Réjouissons-nous tous dans les Signore ». La liturgie nous invite à partager la joie céleste des saints, à en savourer la joie. Les saints ne sont pas une exiguë chaste d’élus, mais une foule sans nombre, vers laquelle la liturgie nous exhorte aujourd’hui levare au regard. Dans telle multitude il n’y a pas seulement les saints officiellement reconnus, mais les baptisés de chaque époque et la nation, qui ont cherché d’accomplir avec amore et la fidélité la volonté divine. De la grande partie d’eux nous ne connaissons les faces et même pas les noms, mais avec les yeux de la foi nous les voyons risplendere, comme astres pleins de gloire, dans le firmament de Dieu. Cet aujourd’hui l’Église fête sa dignité de « mère des saints, image de la ville superna » (éternelle- italienne du 1800) (à Manzoni), et manifeste sa beauté de épouse immaculée de Christ, de source et de modèle de toute sainteté. Elles ne les manquent pas certes des fils riottosi (rétifs) et même rebelles, mais il est dans les saints qu’elle reconnaît ses traits caractéristiques, et vraiment dans eux elle savoure sa joie plus profonde. Dans la première Lecture, l’auteur du livre de l’Apocalypse les décrit comme « une multitude immense, qui personne pouvait compter, de chaque nation, de razza, peuple et langue » (Ap 7,9). Ce je peuple comprend les saints de l’Ancien Testament, à partir des juste Abele et du fidèle Patriarche Abramo, ceux du Nouveau Testament, les nombreux martyres de j’entame du christianisme et les bienheureux et les saints des siècles suivants, jusqu’à à témoins de Christ de notre époque. Il les unit tous la volonté d’incarner dans leur existence l’Évangile, sous l’impulsion de l’eternel animateur de Peuple de Dieu qui est l’Ésprit Saint. Mais « à quelles esclaves notre éloge aux saints, à que les nôtre je rends de gloire, à que cette notre même solennità? ». Avec cette question il commence une célèbre omelia san de Bernardo pour le giorno de Tous les Saints. Elle est question qui nous pourrait se poser même aujourd’hui. Et actuel même elle est répondue que le Saint nous offre : « Nos saints – il dit – n’ont pas besoin de nos honneurs et rien vient à eux de notre culte. Pour une partie mienne, je dois confesser que, lorsque je pense les saints, on sens brûler de grands désirs « (Disc. 2 ; Oeuvre Omnia Cisterc. 5, 364ss). Voilà donc signifié de l’odierna solemnité : en regardant au lumineux exemple des saints risvegliare dans nous le grand désir d’être comme les saints : heureux de vivre voisins à Dieu, dans sa lumière, dans grande famille des amis de Dieu. Être Saint signifie : vivre dans la proximité avec Dieu, vies dans sa famille. Et celle-ci est la vocation de nous tous, avec vigueur réaffirmée de Concilio Vatican II, et aujourd’hui reproposée en mode solennelle à notre attention. Mais comme nous pouvons devenir des saints, amis de Dieu ? À l’interrogatif il peut se répondre d’abord en négatif : pour être saint il ne faut pas accomplir des actions et des oeuvres extraordinaires, né posséder des carismi exceptionnels. Elle est ensuite répondue dans positif : il est nécessaire avant tout d’écouter Jésus et ensuite le suivre sans se perdre d’esprit face aux difficultés. « S’il veut me servir – Il nous met en garde – il me suive, et où il est moi, là il sera même mon esclave. Si m’esclaves, le Père il le honorera « (Gv 12,26). Qui a confiance en Lui et il l’aime avec sincérité, comme le grain enterré dans la terre, il accepte de mourir à elle même. Il en effet sait que qui cherche à avoir sa vie pour si même elle la perd, et qui se donne, il se perd, il trouve vraiment ainsi la vie (Cfr Gv 12.24- 25). l’expérience de l’Église montre que chaque forme de sainteté, aussi en suivant tracée différente, passe toujours pour de la croix, du renoncement si à même. Les biographies des saints décrivent à hommes et femmes qui, dociles aux projets divins, ont affronté parfois des épreuves et des souffrances indescrivibili (indescriptible), persécutions et martyre. Ils ont perseverato dans leur engagement, « ils sont passés à travers les grandes tribolazione – loi dans l’Apocalypse – et ont lavé leurs vêtements en les rendant candides avec le sang de l’Agneau » (v. 14). Leurs noms sont écrits dans le livre de la vie (cfr Ap 20,12) ; ils eternelle demeure est le Paradis. L’exemple des saints est pour nous un encouragement à suivre les mêmes traces, à expérimenter la joie de quel il a confiance en Dieu, parce que l’unique vraie cause de tristesse et d’infelicità pour l’homme est vies lointaine d’Lui. La sainteté exige force constant, mais il est possible à tous parce que, plus qu’oeuvre de l’homme, il est d’abord don de Dieu, trois fois Saint (cfr Is 6,3). Dans la seconde Lecture, l’apôtre Giovanni observe : « Vous voyez quel grand amour nous a donné le Père pour être appelé des fils de Dieu, et nous sommes réellement! » (1 Gv 3,1). Est Dieu, donc, que pour premier il nous a aimés et en Jésus il nous a rendus ses fils adoptes vous. Dans notre vie tout est don de le sien amour : comment rester indifférents devant un ainsi grand mystère ? Comment ne pas répondre à l’amour du Père céleste avec une vie de fils reconnaissants ? En Christ il nous a faits don de tout si même, et il nous appelle à une relation personnelle et profonde avec Lui. Combien plus par conséquent nous imitons Jésus et Nous lui restons unis, très plus entrons dans le mystère de la sainteté divine. Nous découvrons d’être aimé d’Lui en mode infinie, et ceci nous pousse, à la nôtre tourne, à amères les frères. Amères il implique toujours un acte de renoncement si à des mêmes, « perdre si mêmes », et vraiment ainsi il nous rend heureux. Ainsi nous sommes arrivés à l’Évangile de cette fête, à l’annonce des Béatitudes qui peu fait avons senti risuonare dans cette Basilique. Il dit Jésus : Charmés les pauvres en ésprit, charmés affligés, les mythes, charmés ceux qui ont de la faim et des soies de la justice, les miséricordieux, charmés les purs de coeur, les opérateurs de paix, persécutés pour cause de la justice (cfr Mt 5.3-10). En vérité, le Bienheureux pour excellence il est seulement Lui, Jésus. Il est Lui, en effet, le vrai pauvre en ésprit, affligé, le doux, l’affamé et désiré de justice, le miséricordieux, le pur de coeur, l’opérateur de paix ; il est Lui persécuté à cause de la justice. Les Béatitudes nous montrent la physionomie spirituelle de Jésus et ainsi ils expriment son mystère, le mystère Morte et de Risurrezione, de Passion et de joie des Risurrezione. Ce mystère, qui est mystère de la vraie béatitude, nous invite à la sequela de Jésus et ainsi au chemin vers d’elle. Dans la mesure dans laquelle nous accueillons sa proposition et nous nous posons à sa sequela – chacune dans ses circonstances – même nous pouvons participer de sa béatitude. Avec l’impossible lui devient possible et même un chameau passe pour la cruna de l’aiguille (cfr Mc 10,25) ; avec son aide, seul avec son aide nous est donné de devenir parfait comme est parfait le Père céleste (cfr Mt 5,48). Chers frères et soeurs, nous entrons maintenant dans le coeur de la Célébration éucharistique, stimule et nourriture de sainteté. Sous peu on fera à présent dans la mode plus haut Christ, vraie Vies, auxquelles, comme aux tralci (sarment), ils sont unis les fidèles qui sont sur la terre et les saints du ciel. Plus d’étreinte par conséquent sera la communion de l’Église pellegrinante dans le monde avec l’Église triomphante dans la gloire. Dans le Prefazio proclameremo (de proclamer) que les saints sont pour nous amis et modèles de vie. Invochiamoli parce qu’ils nous aident à les imiter et engageons nous à répondre avec générosité, comme ils les ont faits, alla divine appelée. Invochiamo spécialement Marie, Mère des Signore et miroir de toute sainteté. Elle, le Tout Saint, tu nous fais fidèles des disciples de son fils Jésus Christ ! Amen.
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Le teste intégral des mots du Saint Padre avant récite de l’ « Angelus Domini ».
Chers frères et soeurs, nous célébrons aujourd’hui la solennità de Tous les Saints et demain nous commémorerons les fidèles défunts. Ces deux répétitions liturgiche, beaucoup senties, nous offrent une singulière opportunité pour méditer sur la vie eternelle. L’uomo moderne l’attend encore cette vie eternelle, ou retient qu’elle appartienne à une mythologie maintenant dépassée ? Dans notre temps, plus que dans le passé, il s’est tellement absorbé des choses terrene, que talora réussit difficile penser à Dieu comme protagoniste de l’histoire et de notre même vie. L’existence humaine cependant, pour sa nature, est tendue à quelque chose de plus grand, qui la dépasse ; il est insopprimibile dans l’être humain l’anelito à la justice, à la vérité, au bonheur plein. Devant l’énigme des mortes, ils sont vivant dans beaucoup le désir et l’éspoir de retrouver dans l’au-delà ses chers. Comme aussi elle est fort la conviction d’un jugement final qui rétablisse la justice, l’attente d’une définitive comparaison dans laquelle à chacune il soit donné combien lui a dû. « Vie eternelle » pour nous chrétiens elle n’indique pas cependant seulement une vie qui dure toujours, mais plutôt une nouvelle qualité d’existence, pleinement plongée dans l’amore de Dieu, qui libre du mal et des mortes et nous pose en communion sans fin avec tous les frères et des soeurs qui participent des mêmes Amore. L’éternité, par conséquent, peut être déjà présente à centre de la vie terrena et temporel, lorsque l’âme, au moyen de la grâce, est jointe à Dieu, son j’achève de la fondation. Tout passe, seulement Dieu pas muette. Il dit un Salmo : « Ils viennent moins ma chair et mon coeur ; / mais la roche de mon coeur est Dieu,/est Dieu mon sort toujours « (Sal 72/73,26). Tous les chrétiens, appelés à la sainteté, est des hommes et des femmes qui vivent solidement ancrés à cette » Roche « ; ils ont les pieds sur la terre, mais le coeur déjà dans le Ciel, la définitive demeure des amis de Dieu. Chers frères et soeurs, nous méditons sur ces réalités avec l’esprit tourne vers les nôtre achève et définitif je destine, qu’il donne sens aux situations quotidiennes. Nous ravivons le joyeux sentiment de la communion des saints et les lasciamoci attirer d’eux vers le but de notre existence : la rencontre tu fais à visage avec Dieu. Nous prions que celui-ci soit l’héritage de tous les fidèles défunts, pas seulement de nos chers, mais même de toutes les âmes, spécialement ces plus oubliées et besogneuses de la misericordia divine. Les Vergine Marie, Reine de Tous les Saints, tu nous guides à choisir à tout instant la vie eternelle, la « vie du monde qui viendront » – comme nous disons dans Credo ; un monde déjà inauguré des risurrezione de Christ, et nous pouvons dont hâter l’venue avec notre conversion sincère et des oeuvres de charité.
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Le salutation à les pèlerins de langue français
Je salue avec joie les pèlerins de langue française, en particulier les Orphelins Apprentis d’Auteuil, venus nombreux à l’occasion du 140e anniversaire de la Fondation d’Auteuil. Rendant grâce pour l’engagement des éducateurs, j’invite les jeunes à grandir avec confiance sous le regard de Dieu, qui veut les aider à développer le meilleur d’eux-mêmes et à marcher dans la voie de la sainteté, à l’exemple du Bienheureux Daniel Brottier et de tous les saints que nous fêtons aujourd’hui. Que Dieu vous bénisse tous!
Angelus Domini (in latino)
Angelus Domini nuntiavit Marìae,
et concepit de Spiritu Sancto.
Ave Maria …
Ecce Ancilla Domini,
fiat mihi secundum verbum tuum
Ave Maria …
Et Verbum caro factum est,
et habitavit in nobis.
Ave Maria …
Ora pro nobis, sancta Dei Genitrix.
Ut digni efficiamur promissionibus Christi.
Gratiam tuam, quaesumus, Domine,
mentibus nostris infunde;
ut qui, angelo nuntiante,
Christi Filii tui incarnationem cognovimus,
per passionem eius et crucem,
ad resurrectionis gloriam perducamur.
Per eundem Christum Dominum nostrum.
Amen.
Gloria Patri …
Pope Benedict XVI holds his papal staff as he arrives for a Mass in St. Peter’s Basilica at the Vatican on the occasion of the Roman Catholic festivity of All Saints Day, Wednesday Nov. 1, 2006. The pontiff is scheduled to visit Turkey from Nov. 28 to Dec. 1 2006. (AP Photo/Alessandra Tarantino)