Archive pour octobre, 2006

Je te salue, Marie de chez nous

12 octobre, 2006
Je te salue, Marie de chez nous
Auteur : Charles Singer

Je te salue, Marie de chez nous dans Pape Benoit separgrey

Je te salue, Marie de chez nous,
femme, ma soeur humaine,
par toi Dieu vient s’établir
dans la demeure terrestre.
Avec toi, la terre des vivants
devient le berceau de Dieu.
 
  

Je te salue, Marie de chez nous,
femme humble, ma soeur humaine,
par toi Dieu s’éloigne
du ciel de sa grande puissance.
Avec toi, la terre des vivants
devient le trône de Dieu.

Je te salue, Marie de chez nous,
femme de chaque jour,
ma soeur humaine,
par toi Dieu vient chercher
les oubliés de tous les jours
pour les asseoir à ses côtés
tout contre sa joue.
Avec toi la terre quotidienne
devient l’espace et le temps
de Dieu Serviteur des vivants.

madonnaebambino.jpg

il se parle dans ces jours, sur les journaux italiens, de la liturgie, de la possibilité qui Pape Benoît la remette en ordre

12 octobre, 2006

il se parle dans ces jours, sur les journaux italiens, de la liturgie, de la possibilité qui Pape Benoît remette en ordre – dans le sens qui clarifie les faits arrivés après le Concile le Vatican II – la liturgie et de décide des améliorations à la pratique liturgique actuelle, j’ai trouvé, en français, cet article que je mets, mais je mets le link au site parce qu’il y a aussi des interventions; sur l’italiens, il y a alors une référence au livre du Pape Benoît « Ma vie » du 1997, dans lequel il faisait le point sur la publication du missel de Paolo VI avec le défense complet du missel précédent je écris seulemet un passage: » … mais je restai effrayé de la défense du missel ancien, du moment qu’une chose semblable il n’était jamais dans l’histoire de la liturgie », je regrette de ne pas pouvoir mettre de plus soin au texte de son livre, mais je n’ai pas la traduction en français, pour celui qui dût l’avoir, ce référence se trouve dans le livre au bout d’à les dernières pages, sous je mes le link du site:


http://www.chretiente.info/spip.php?breve1386


Le pape Benoît XVI va remettre de l’ordre dans la liturgie

13 juillet 2006


Le pape Benoît XVI va mettre fin aux abus dans la célébration de la messe et faire cesser « les affrontements » avec les partisans de la messe de toujours, a déclaré jeudi un responsable du Vatican à l’agence I-Média, spécialisée dans l’information du Vatican.
Selon l’évêque sri-lankais Albert Malcom Ranjith Patabendige Don, nouveau secrétaire de la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, le pape va « prendre des mesures » car la liturgie de l’Eglise catholique serait trop souvent « un signe de scandale ».Le prélat, nommé par Benoît XVI, dénonce certains « abus » dans la mise en oeuvre des réformes de la liturgie introduites après le concile Vatican II il y a 40 ans. Ces réformes, notamment l’abandon de la messe dite « tridentine » (célébrée en latin et le prêtre tournant le dos aux fidèles), « n’ont pas porté les fruits espérés », selon Mgr Ranjith.
Elles n’ont en outre jamais été acceptées par le courant catholique traditionaliste rassemblé autour de l’évêque français Marcel Lefebvre (aujourd’hui décédé). Le pape Benoît XVI, qui a reçu l’été dernier le chef des Lefebvristes, Mgr Bernard Fellay, s’est fixé pour but de les faire revenir dans le sein de l’Eglise.

Selon le secrétaire de la congrégation pour le culte divin, il « va prendre des mesures pour nous indiquer avec quel sérieux nous devons célébrer la liturgie ».

Mgr Ranjith révèle que le Vatican reçoit « chaque jour (…) de nombreuses lettres, signées, où les gens se lamentent de nombreux abus : des prêtres qui font ce qu’ils veulent, des évêques qui ferment les yeux ou même qui justifient ce que font les prêtres au nom du renouveau » (…) Et à la fin, les gens vont assister à la messe tridentine et nos églises se vident ».

Or « la messe tridentine n’appartient pas aux Lefebvristes », souligne Mgr Randjith. Il est donc temps « de cesser les affrontements », a-t-il ajouté.

- dans le sens qui clarifie les faits arrivés après le Concile le Vatican II – la liturgie et de décide des améliorations à la pratique liturgique actuelle, j’ai trouvé, en français, cet article que je mets, mais je mets le link au site parce qu’il y a aussi des interventions; sur l’italiens, il y a alors une référence au livre du Pape Benoît « Ma vie » du 1997, dans lequel il faisait le point sur la publication du missel de Paolo VI avec le défense complet du missel précédent je écris seulemet un passage: » … mais je restai effrayé de la défense du missel ancien, du moment qu’une chose semblable il n’était jamais dans l’histoire de la liturgie », je regrette de ne pas pouvoir mettre de plus soin au texte de son livre, mais je n’ai pas la traduction en français, pour celui qui dût l’avoir, ce référence se trouve dans le livre au bout d’à les dernières pages, sous je mes le link du site:

- dans le sens qui clarifie les faits arrivés après le Concile le Vatican II – la liturgie et de décide des améliorations à la pratique liturgique actuelle, j’ai trouvé, en français, cet article que je mets, mais je mets le link au site parce qu’il y a aussi des interventions; sur l’italiens, il y a alors une référence au livre du Pape Benoît « Ma vie » du 1997, dans lequel il faisait le point sur la publication du missel de Paolo VI avec le défense complet du missel précédent je écris seulemet un passage: » … mais je restai effrayé de la défense du missel ancien, du moment qu’une chose semblable il n’était jamais dans l’histoire de la liturgie », je regrette de ne pas pouvoir mettre de plus soin au texte de son livre, mais je n’ai pas la traduction en français, pour celui qui dût l’avoir, ce référence se trouve dans le livre au bout d’à les dernières pages, sous je mes le link du site: http://www.chretiente.info/spip.php?breve1386

Le pape Benoît XVI va remettre de l’ordre dans la liturgie
13 juillet 2006

Le pape Benoît XVI va mettre fin aux abus dans la célébration de la messe et faire cesser « les affrontements » avec les partisans de la messe de toujours, a déclaré jeudi un responsable du Vatican à l’agence I-Média, spécialisée dans l’information du Vatican.
Selon l’évêque sri-lankais Albert Malcom Ranjith Patabendige Don, nouveau secrétaire de la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, le pape va « prendre des mesures » car la liturgie de l’Eglise catholique serait trop souvent « un signe de scandale ».
Le prélat, nommé par Benoît XVI, dénonce certains « abus » dans la mise en oeuvre des réformes de la liturgie introduites après le concile Vatican II il y a 40 ans.
Ces réformes, notamment l’abandon de la messe dite « tridentine » (célébrée en latin et le prêtre tournant le dos aux fidèles), « n’ont pas porté les fruits espérés », selon Mgr Ranjith.
Elles n’ont en outre jamais été acceptées par le courant catholique traditionaliste rassemblé autour de l’évêque français Marcel Lefebvre (aujourd’hui décédé).
Le pape Benoît XVI, qui a reçu l’été dernier le chef des Lefebvristes, Mgr Bernard Fellay, s’est fixé pour but de les faire revenir dans le sein de l’Eglise.
Selon le secrétaire de la congrégation pour le culte divin, il « va prendre des mesures pour nous indiquer avec quel sérieux nous devons célébrer la liturgie ».
Mgr Ranjith révèle que le Vatican reçoit « chaque jour (…) de nombreuses lettres, signées, où les gens se lamentent de nombreux abus : des prêtres qui font ce qu’ils veulent, des évêques qui ferment les yeux ou même qui justifient ce que font les prêtres au nom du renouveau » (…) Et à la fin, les gens vont assister à la messe tridentine et nos églises se vident ».
Or « la messe tridentine n’appartient pas aux Lefebvristes », souligne Mgr Randjith. Il est donc temps « de cesser les « les affrontements » a-t-il ajouté.

Je desire retourner a la liturgie et…

11 octobre, 2006

parceque, je pense que c’è la primière inquiétude du Pape Benoît, aussi non la seule, je poste cet article que j’ìai pris du:

http://tresordelafoi.org/news/520.shtml 

Le pape Benoît XVI invite à nourir l’espèrance chrétienne par la liturgie

Benoît XVI invite à nourrir l’espérance chrétienne par la célébration de la liturgie qui est avant tout « action de Dieu », et à revenir « à la célébration, à la contemplation de Jésus, le Ressuscité ».

Le pape a adressé une lettre, sous la signature du cardinal Secrétaire d’Etat Angelo Sodano, à Mons. Luca Brandolini, président du Centre d’Action liturgique et aux participants de la 57e semaine liturgique nationale qui se tient à Varèse en août 2006, sur le thème : « Célébrons Jésus Christ, espérance du monde ».

« L’expérience de la bonté de Dieu dans la liturgie, insiste le message, devient renouveau du don de l’espérance ».

« En libérant le cœur de l’homme des angoisses quotidiennes, elle donne une nouvelle confiance », explique la lettre pontificale.

Aussi le moment de la célébration communique-t-il, ajoute le message, la « joie d’espérer un monde meilleur, de vivre dans l’Eglise et d’être aimés de Dieu et de pouvoir l’aimer à nouveau, d’être pardonnés et sauvés ».

Le congrès constitue « une étape de préparation » au prochain congrès national ecclésial de Vérone qui sera, explique la lettre, une nouvelle occasion de conscience et de responsabilité pastorale au service de l’Evangile ».

La lettre souligne que le croyant doit être aidé à « comprendre que pour garder, raviver, témoigner, communiquer l’espérance, il doit revenir à la célébration, à la contemplation de Jésus, le Ressuscité ».

Le document réaffirme que « réfléchir sur la signification de la célébration liturgique comme source d’espérance pour tous », signifie « concentrer son attention sur l’événement de la mort et de la résurrection du Christ, fondement de notre espérance ».

Le Ressuscité, poursuit le message pontifical, « est la source de notre espérance et toute célébration place dans le cœur de l’homme ce mystère d’espérance pleinement réalisé dans le Christ ».

Et le thème du congrès, poursuit le message, indique « qu’à travers la célébration liturgique, l’homme inséré dans le Mystère pascal est transfiguré par le Ressuscité ».

La prière, continue le message, « ouvre notre vie au projet de Dieu et nous pousse à devenir de dociles instruments entre ses mains pour transformer (…) l’histoire de notre environnement ».

La célébration liturgique, fait encore observer le message, « embrasse des aspects très variés de l’existence : le monde des affections et des relations, la fragilité et les faiblesses partagées, l’expérience du travail et du repos, toujours en proclamant le primat de l’amour de Dieu ».

Acte d’amour du Saint Curé d’Ars

10 octobre, 2006

Acte d’Amour

Auteur : Saint Curé d’Ars

Acte d'amour du Saint Curé d'Ars separgrey

Je vous aime, O mon Dieu, et mon seul désir est de vous aimer jusqu’au dernier soupir de ma vie.    

Je vous aime, O mon Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer.

Je vous aime, O mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement.

Je vous aime, O mon Dieu, et n’appréhende l’enfer que parce qu’on n’y aura pas la douce consolation de vous aimer.

O mon Dieu, si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, du moins je veux que mon coeur vous le répète autant de fois que je respire.
Ah! faites-moi la grâce de souffrir en vous aimant, de vous aimer en souffrant et d’expirer un jour en vous aimant et en sentant que je vous aime.
Et plus j’approche de ma fin, plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner.

Ainsi soit-il !

Dieu Amour

Dieu createur

ceci c’est article publié de « Catholique org. »

10 octobre, 2006

Le pape annote le discours de Ratisbonne

Le Vatican a publié lundi 9 octobre une mise à jour de la conférence controversée donnée par Benoît XVI à l’Université de Regensburg en Bavière.

Il ne savait pas encore que son discours devant l’université de Ratisbonne allait provoquer une polémique mondiale avec l’islam. Mais dès le 12 septembre au matin, dans la version distribuée à la presse, Benoît XVI annonçait déjà une future « version définitive » de son texte, assortie de notes.

Cette version a été publiée lundi 9 octobre sur le site de la Salle de presse du Saint-Siège (pour la lire en anglais, cliquez ici). Elle remplace donc, sans la contredire pour l’essentiel, celle qui avait mis le feu aux poudres et qui a aujourd’hui disparu des écrans. C’est la cinquième mise au point officielle du Saint-Siège depuis cette crise, il reste à voir maintenant si elle contribuera à calmer les esprits.

Benoît XVI en s’adressant à des universitaires allemands dans le but de démontrer l’intérêt de recréer des relations étroites entre la raison et la foi, avait cité, au début de son propos, un dialogue entre l’empereur byzantin Manuel II Paléologue et un sage persan musulman à la fin du XIVe siècle. Ce sont les phrases, reprises par le pape, des jugements de cet empereur sur l’islam qui ont lancé la polémique.

Trois nuances et treize notes de bas de page

Qu’y a-t-il donc de nouveau ? Trois nuances apportées dans le texte même de la conférence, et treize notes de bas de pages, dont deux reviennent directement sur cette crise.

Les trois nuances sont les suivantes. Dans la version initiale, le pape disait : « Mais l’empereur (…) s’adresse à son interlocuteur d’une manière étonnamment abrupte au sujet de la question centrale du rapport entre religion et contrainte. » La version finale publiée lundi dit ceci : « D’une manière étonnamment abrupte, abrupte au point d’être pour nous inacceptable. »

Moins importantes, mais significatives, deux autres nuances sont apportées dans une même phrase figurant un peu plus haut dans le texte. Version initiale : « Dans la sourate 2, 256, il est écrit : “Pas de contrainte en matière de foi.” C’est l’une des sourates primitives datant de l’époque où Mohammed lui-même était privé de pouvoir et se trouvait menacé. »

Nouvelle version, définitive donc : « Dans la sourate 2, 256, il est écrit : “Pas de contrainte en matière de foi.” C’est probablement l’une des sourates primitives, disent une partie des experts, datant de l’époque où Mohammed lui-même était privé de pouvoir et se trouvait menacé. »

Quant aux treize notes de bas de pages, la plupart apportent les références bibliographiques du discours papal. Mais deux d’entre elles reviennent sur la controverse qui l’avait suivi. « Cette phrase n’exprime pas mon attitude personnelle »

Au sujet de la phrase de Manuel II Palélologue : « Montre-moi donc ce que Mohammed a apporté de neuf… », Benoît XVI précise, dans la note 3 : « Cette citation a malheureusement été comprise dans le monde musulman comme expression de ma propre position, et a provoqué ainsi une indignation compréhensible. J’espère que le lecteur de mon texte peut reconnaître immédiatement que cette phrase n’exprime pas mon attitude personnelle à l’égard du Coran, pour lequel j’éprouve le respect qui convient pour le livre saint d’une grande religion. En citant le texte de l’empereur Manuel II, il ne s’agissait pour moi que d’en arriver à la relation essentielle entre foi et raison. Sur ce point je rejoins Manuel, sans pour autant faire mienne sa polémique. »

D’autre part, quant à la citation du Coran « Pas de contrainte en matière de foi », le pape précise, en note 5 : « C’est uniquement pour cette pensée que j’ai cité le dialogue mené entre Manuel et son interlocuteur persan. Elle fournit le thème des réflexions suivantes. »

© Catholique.org 2004 – 2006

Avis: a été publiée la vérsion définitive du texte du Lectio Magistralis au Regensbur,

10 octobre, 2006

a été publiée la vérsion définitive du texte du Lectio Magistralis au Regensbur, avec des commentaires et références aussi aux faits successivement arrivés, en français il y n’a pas encore pour le moment, je vous mets le link en anglais pour celui qui le lit, puis dès qu’il arrive en français je le remettrai, le link pour le texte en anglais est: ici

Ne Pleure pas si tu m’aimes

9 octobre, 2006

Ne Pleure pas si tu m’aimes. 

La mort n’est rien

Je suis seulement passé de l’autre côté

Je suis moi-Tu es toi

Ce que nous étions l’un pour l’autre,

Nous le sommes toujours.

Donne-moi le nom

Que tu m’as toujours donné.

Parle-moi comme tu l’as toujours fait.

N’emploie pas un ton différent.

Ne prends pas un air solennel ou triste.

Continue à rire de ce qui

Nous faisait rire ensemble…

Prie, souris, pense à moi,

Prie avec moi.

Que mon nom soit prononcé à la

Maison comme il l’a toujours été.

Sans emphase d’aucune sorte,

Sans une trace d’ombre.

La vie signifie toujours

Ce qu’elle a toujours signifié.

Elle est ce qu’elle a toujours été.

Le fil n’est pas coupé.

Pourquoi serai-je hors de ta pensée ?

Simplement

Parce que je suis hors de ta vue ?

Je ne suis pas loin,

Juste de l’autre côté du chemin…

Tu vois, tout est bien…

Tu retrouveras mon cœur,

Tu en retrouveras les tendresses

Épurées.

Ensuite tes larmes

Et ne pleure pas si tu m’aimes. 

Saint Augustin

Dio Padre.jpg

Saint Denis de Paris

9 octobre, 2006

Saint Denis de Paris
et ses compagnons, Eleuthère et Rustique, martyrs à Paris (+ 258)

Le Patron de Paris et de la Seine-St Denis fut le premier évêque de la capitale de la France. Il meurt martyr vers 250 ou 270 et est enseveli là où s’élève la basilique de Saint Denis. C’est tout ce qu’on sait de lui avant le 9ème siècle. Le récit parle également de ses deux compagnons Eleuthère, le prêtre, et Rustique, le diacre, ainsi que du portement de tête du saint après sa décapitation depuis Montmartre jusqu’à St Denis. Les faits sont les suivants : Le nom de saint Denis apparaît vers 520 dans « la Vie de Sainte Geneviève » qui témoigne de la dévotion de la sainte envers l’évêque martyr, son père dans la foi. Elle obtint du clergé parisien l’érection d’une église sur sa tombe au « vicus Catulliacus » situé à huit kilomètres au nord de la Seine, l’actuelle basilique Saint Denys, rue Catullienne. Elle se rendait également et souvent dans une église de la Cité dont il était le titulaire. Un demi-siècle plus tard, le martyrologe hieronymien mentionne la déposition de saint Denis et de ses compagnons au 9 octobre et saint Venance Fortunat atteste la diffusion de son culte jusqu’à Bordeaux. Dans les mêmes années, l’historien Grégoire de Tours raconte que vers 250, le pape de Rome avait envoyé Denis en Gaule avec six autres évêques pour y porter l’Evangile. Celui-ci se fixa à Lutèce où il ne tarda pas à être mis à mort. On pense en effet qu’il subit le martyre sous la persécution de Dèce (250) ou de Dioclétien (258). Près de la basilique où reposait le premier évêque de Paris, une abbaye fut fondée au 7ème siècle et elle devint prestigieuse grâce aux largesses royales depuis Dagonert. Elle contribua au rayonnement de son saint patron en le dotant d’une merveilleuse légende. A partir de 835, Hilduin, abbé du monastère, se mit en effet à propager en Occident un récit selon lequel Denis de Paris ne ferait qu’un même personnage avec Denys l’Aréopagite, converti par saint Paul. Ce Denys l’Aréopagite serait lui-même l’auteur des célébres ouvrages de théologie attribués à Denys le Mystique. L’obscur et courageux fondateur de l’Eglise de Paris devenait, ainsi et pour des siècles, un grand de la sainteté.

Le plus chers voeux à toute ceux qui s’appellent Denis

9 octobre, 2006

les plus chers voeux à toutes ceux qui s’appellent Denis, je connais un Français, un ami qu’il s’appelle Denis et je me suis ainsi rappelée de faire les voeux à tous, en Italie le nom n’est pas très diffus, je ne l’ai pas ou mieux entendu jamais, mais en France je les crois, encore voeux

San Dionigi.jpg

decapitation de Saint Denis

San Dionigi 2.jpg

Miniatura francese del 1250: San Dionigi in carcere riceve la Comunione da Gesù

Catèchisme dell’Église Catholique: Le mariage dans le dessein de Dieu

8 octobre, 2006

 du: CATÉCHISME DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE :

http://www.vatican.va/archive/FRA0013/_INDEX.HTM

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 Le Mariage dans le dessein de Dieu 1602

L’Écriture Sainte s’ouvre sur la création de l’homme et de la femme à l’image et à la ressemblance de Dieu (cf. Gn 1, 26-27) et s’achève sur la vision des «  noces de l’Agneau  » (Ap 19, 7. 9). D’un bout à l’autre l’Écriture parle du mariage et de son «  mystère  », de son institution et du sens que Dieu lui a donné, de son origine et de sa fin, de ses réalisations diverses tout au long de l’histoire du salut, de ses difficultés issues du péché et de son renouvellement «  dans le Seigneur  » (1 Co 7, 39), dans l’Alliance nouvelle du Christ et de l’Église (cf. Ep 5, 31-32). Le mariage dans l’ordre de la création 1603 «  La communauté profonde de vie et d’amour que forme le couple a été fondée et dotée de ses lois propres par le Créateur. Dieu lui-même est l’auteur du mariage  » (GS 48, § 1). La vocation au mariage est inscrite dans la nature même de l’homme et de la femme, tels qu’ils sont issus de la main du Créateur. Le mariage n’est pas une institution purement humaine, malgré les variations nombreuses qu’il a pu subir au cours des siècles, dans les différentes cultures, structures sociales et attitudes spirituelles. Ces diversités ne doivent pas faire oublier les traits communs et permanents. Bien que la dignité de cette institution ne transparaisse pas partout avec la même clarté (cf. GS 47, § 2), il existe cependant dans toutes les cultures un certain sens pour la grandeur de l’union matrimoniale. «  Car le bien-être de la personne et de la société est étroitement lié à la prospérité de la communauté conjugale et familiale  » (GS 47, § 1). 1604 Dieu qui a créé l’homme par amour, l’a aussi appelé à l’amour, vocation fondamentale et innée de tout être humain. Car l’homme est créé à l’image et à la ressemblance du Dieu (cf. Gn 1, 27) qui est lui-même Amour (cf. 1 Jn 4, 8. 16). Dieu l’ayant créé homme et femme, leur amour mutuel devient une image de l’amour absolu et indéfectible dont Dieu aime l’homme. Il est bon, très bon, aux yeux du Créateur (cf. Gn 1, 31). Et cet amour que Dieu bénit est destiné à être fécond et à se réaliser dans l’œuvre commune de la garde de la création : «  Et Dieu les bénit et il leur dit : ‘Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la’  » (Gn 1, 28).

1605 Que l’homme et la femme soient créés l’un pour l’autre, l’Écriture Sainte l’affirme : «  Il n’est pas bon que l’homme soit seul  » (Gn 2, 18). La femme, «  chair de sa chair  » (cf. Gn 2, 23), son égale, toute proche de lui, lui est donnée par Dieu comme un «  secours  » (cf. Gn 2, 18), représentant ainsi le «  Dieu en qui est notre secours  » (cf. Ps 121, 2). «  C’est pour cela que l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux deviennent une seule chair  » (Gn 2, 24). Que cela signifie une unité indéfectible de leur deux vies, le Seigneur lui-même le montre en rappelant quel a été, «  à l’origine  », le dessein du Créateur (cf. Mt 19, 4) : «  Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair  » (Mt 19, 6).

Le mariage sous le régime du péché

1606 Tout homme fait l’expérience du mal, autour de lui et en lui-même. Cette expérience se fait aussi sentir dans les relations entre l’homme et la femme. De tout temps, leur union a été menacée par la discorde, l’esprit de domination, l’infidélité, la jalousie et par des conflits qui peuvent aller jusqu’à la haine et la rupture. Ce désordre peut se manifester de façon plus ou moins aiguë, et il peut être plus ou moins surmonté, selon les cultures, les époques, les individus, mais il semble bien avoir un caractère universel.

1607 Selon la foi, ce désordre que nous constatons douloureusement, ne vient pas de la naturede l’homme et de la femme, ni de la nature de leurs relations, mais du péché. Rupture avec Dieu, le premier péché a comme première conséquence la rupture de la communion originelle de l’homme et de la femme. Leurs relations sont distordues par des griefs réciproques (cf. Gn 3, 12) ; leur attrait mutuel, don propre du créateur (cf. Gn 2, 22), se change en rapports de domination et de convoitise (cf. Gn 3, 16 b) ; la belle vocation de l’homme et de la femme d’être féconds, de se multiplier et de soumettre la terre (cf. Gn 1, 28) est grevée des peines de l’enfantement et du gagne-pain (cf. Gn 3, 16-19).

1608 Pourtant, l’ordre de la création subsiste, même s’il est gravement perturbé. Pour guérir les blessures du péché, l’homme et la femme ont besoin de l’aide de la grâce que Dieu, dans sa miséricorde infinie, ne leur a jamais refusée (cf. Gn 3, 21). Sans cette aide, l’homme et la femme ne peuvent parvenir à réaliser l’union de leurs vies en vue de laquelle Dieu les a créés «  au commencement  ».

Le mariage sous la pédagogie de la Loi

1609 Dans sa miséricorde, Dieu n’a pas abandonné l’homme pécheur. Les peines qui suivent le péché, les douleurs de l’enfantement (cf. Gn 3, 16), le travail «  à la sueur de ton front  » (Gn 3, 19), constituent aussi des remèdes qui limitent les méfaits du péché. Après la chute, le mariage aide à vaincre le repliement sur soi-même, l’égoïsme, la quête du propre plaisir, et à s’ouvrir à l’autre, à l’aide mutuelle, au don de soi.

1610 La conscience morale concernant l’unité et l’indissolubilité du mariage s’est développée sous la pédagogie de la Loi ancienne. La polygamie des patriarches et des rois n’est pas encore explicitement critiquée. Cependant, la Loi donnée à Moïse vise à protéger la femme contre l’arbitraire d’une domination par l’homme, même si elle porte aussi, selon la parole du Seigneur, les traces de «  la dureté du cœur  » de l’homme en raison de laquelle Moïse a permis la répudiation de la femme (cf. Mt 19, 8 ; Dt 24, 1).

1611 En voyant l’Alliance de Dieu avec Israël sous l’image d’un amour conjugal exclusif et fidèle (cf. Os 1-3 ; Is 54 ; 62 ; Jr 2-3 ; 31 ; Ez 16 ; 23), les prophètes ont préparé la conscience du Peuple élu à une intelligence approfondie de l’unicité et de l’indissolubilité du mariage (cf. Ml 2, 13-17). Les livres de Ruth et de Tobie donnent des témoignages émouvants du sens élevé du mariage, de la fidélité et de la tendresse des époux. La Tradition a toujours vu dans le Cantique des Cantiques une expression unique de l’amour humain en tant qu’il est reflet de l’amour de Dieu, amour «  fort comme la mort  » que «  les torrents d’eau ne peuvent éteindre  » (Ct 8, 6-7).

Le mariage dans le Seigneur

1612 L’alliance nuptiale entre Dieu et son peuple Israël avait préparé l’alliance nouvelle et éternelle dans laquelle le Fils de Dieu, en s’incarnant et en donnant sa vie, s’est uni d’une certaine façon toute l’humanité sauvée par lui (cf. GS 22), préparant ainsi «  les noces de l’Agneau  » (Ap 19, 7. 9).

1613 Au seuil de sa vie publique, Jésus opère son premier signe – à la demande de sa Mère – lors d’une fête de mariage (cf. Jn 2, 1-11). L’Église accorde une grande importance à la présence de Jésus aux noces de Cana. Elle y voit la confirmation de la bonté du mariage et l’annonce que désormais le mariage sera un signe efficace de la présence du Christ.

1614 Dans sa prédication, Jésus a enseigné sans équivoque le sens originel de l’union de l’homme et de la femme, telle que le Créateur l’a voulue au commencement : la permission, donnée par Moïse, de répudier sa femme, était une concession à la dureté du cœur (cf. Mt 19, 8) ; l’union matrimoniale de l’homme et de la femme est indissoluble : Dieu lui-même l’a conclue : «  Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni  » (Mt 19, 6).

1615 Cette insistance sans équivoque sur l’indissolubilité du lien matrimonial a pu laisser perplexe et apparaître comme une exigence irréalisable (cf. Mt 19, 10). Pourtant Jésus n’a pas chargé les époux d’un fardeau impossible à porter et trop lourd (cf. Mt 11, 29-30), plus pesant que la Loi de Moïse. En venant rétablir l’ordre initial de la création perturbé par le péché, il donne lui-même la force et la grâce pour vivre le mariage dans la dimension nouvelle du Règne de Dieu. C’est en suivant le Christ, en renonçant à eux-mêmes, en prenant leurs croix sur eux (cf. Mc 8, 34) que les époux pourront «  comprendre  » (cf. Mt 19, 11) le sens originel du mariage et le vivre avec l’aide du Christ. Cette grâce du Mariage chrétien est un fruit de la Croix du Christ, source de toute vie chrétienne.

1616 C’est ce que l’Apôtre Paul fait saisir en disant : «  Maris, aimez vos femmes, comme le Christ a aimé l’Église ; il s’est livré pour elle, afin de la sanctifier  » (Ep 5, 25-26), en ajoutant aussitôt : «  ’Voici donc que l’homme quittera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront qu’une seule chair’ : ce mystère est de grande portée ; je veux dire qu’il s’applique au Christ et à l’Église  » (Ep 5, 31-32).

1617 Toute la vie chrétienne porte la marque de l’amour sponsal du Christ et de l’Église. Déjà le Baptême, entrée dans le peuple de Dieu, est un mystère nuptial : il est, pour ainsi dire, le bain de noces (cf. Ep 5, 26-27) qui précède le repas de noces, l’Eucharistie. Le Mariage chrétien devient à son tour signe efficace, sacrement de l’alliance du Christ et de l’Église. Puisqu’il en signifie et communique la grâce, le mariage entre baptisés est un vrai sacrement de la Nouvelle Alliance (cf. DS 1800 ; CIC, can. 1055, § 2).

La virginité pour le Royaume

1618 Le Christ est le centre de toute vie chrétienne. Le lien avec Lui prend la première place devant tous les autres liens, familiaux ou sociaux (cf. Lc 14, 26 ; Mc 10, 28-31). Dès le début de l’Église, il y a eu des hommes et des femmes qui ont renoncé au grand bien du mariage pour suivre l’Agneau partout où il va (cf. Ap 14, 4), pour se soucier des choses du Seigneur, pour chercher à Lui plaire (cf. 1 Co 7, 32), pour aller au devant de l’Epoux qui vient (cf. Mt 25, 6). Le Christ lui-même a invité certains à le suivre en ce mode de vie dont Il demeure le modèle :

Il y a des eunuques qui le sont de naissance, dès le sein de leur mère ; il y a aussi des eunuques qui le sont devenus par la main des hommes ; et il y en a qui se sont faits eunuques eux-mêmes à cause du Royaume des cieux. Que celui qui peut comprendre, comprenne (Mt 19, 12).

1619 La virginité pour le Royaume des Cieux est un déploiement de la grâce baptismale, un signe puissant de la prééminence du lien au Christ, de l’attente ardente de son retour, un signe qui rappelle aussi que le mariage est une réalité de l’éon présent qui passe (cf. Mc 12, 25 ; 1 Co 7, 31).

1620 Les deux, le sacrement du Mariage et la virginité pour le Royaume de Dieu, viennent du Seigneur lui-même. C’est Lui qui leur donne sens et leur accorde la grâce indispensable pour les vivre conformément à sa volonté (cf. Mt 19, 3-12). L’estime de la virginité pour le Royaume (cf. LG 42 ; PC 12 ; OT 10) et le sens chrétien du Mariage sont inséparables et se favorisent mutuellement :

Dénigrer le mariage, c’est amoindrir du même coup la gloire de la virginité ; en faire l’éloge, c’est rehausser l’admiration qui est due à la virginité … Car enfin, ce qui ne paraît un bien que par comparaison avec un mal ne peut être vraiment un bien, mais ce qui est mieux encore que des biens incontestés est le bien par excellence (S. Jean Chrysostome, virg. 10, 1 : PG 48, 540A) ; cf. FC 16

Le Marige de la Vièrge:

http://www.stpauls.it/madre/0403md/0403md11.htm  

 

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