Archive pour octobre, 2006

la fête de Halloween – interview avec l’auteur d’un livre sur l’argue.

28 octobre, 2006

Zenith a publié une intéressante interview sur la fête de Halloween, mais pas en français, car j’il semble intéressant je la traduis avec un traducteur on line – comme pour l’autre foi il tourne trop de fautes et « italianismi », patience! (la vôtre, merci),

Donnée publication : 2006-10-27 - À la découverte de la plurisecolare tradition chrétienne derrière la fête de Halloween Il interviewe avec Paolo Gulisano, auteur d’un livre sur argue. ROME, vendredi, 27 octobre 2006 (ZENIT.org). – Grands zucche percées éclairées de l’intérieur, de squelettes et de sombres figures encapuchonnées, éclats de rire terrifiantes et un refrain obsédant : « dolcetto o scherzetto » ? Tout celui-ci est Halloween, une moda, une fête, une nouvelle coutume qui s’est imposée en derniers ans, merci même à la persuasivité de cinémà et télévision. Maintenant la fête de Halloween est entrée même dans le monde de l’école : peu ne sont pas les instituts égouttas nous, de l’école primaire à celle supérieure, où les enseignants font fête ensemble aux enfants, entre des jeux et des projets. J’argue Halloween a été affronté dans tous le sien attends de l’écrivain Paolo Gulisano, auteur de nombreux sages sur la littérature fantasy et sur la culture anglosassone, qui ensemble à l’studieuse irlandese transplantée en Etats Unis, Brid O’Neill, ont donné aux presses dans ces jours un petit volume de titre « la nuit des zucche » (Editrice Encore, pagg. 96, Euro 7,00). Pour enquêter plus approfonditamente sur signifié de la fête de Halloween, ZÉNITH a décidé d’interviewer Gulisano. Plus des parties, face à croître du « phénomène Halloween », on a commencé à manifester une certaine préoccupation. Elle qu’est-ce que en pense ? Gulisano : Il est vrai : il y a qui voit en Halloween reviens à des formes de « paganisme », et qui par contre un rite folkloristico et consumistico, une specie d’inoffensif carnaval dehors saisons. Fait est que maintenant qui plus on se rappelle, pas seulement entre les enfants et les jeunes et au niveau massmediatique populaire, de la fête chrétienne qui Halloween va en supplantant, ou bien d’Ognissanti. Le 1 novembre, lorsque il est rappellé dans l’acception chrétienne des moyens de communication, est pratiquement confondu avec la fête des défunts, qui tombe en réalité le giorno après. Mais qu’il signifie Halloween ? Gulisano : Le nom Halloween autre n’est pas que la storpiatura américaine du terme – dans l’inglese d’Irlande – All Hollows’Eve : La veille d’Ognissanti. Cette ancienne fête arriva dans le States ensemble à émigrant irlandais, et là radicò, pour subir ensuite, en temps récents, une radicale transformation. Des écrans de Hollywood la moda de Halloween est arrivée ainsi de quelque an dans la vieille Europe. Derrière Halloween il y a une des plus anciennes fêtes sacrées de l’Occident : une fête qui a traversé les siècles, avec des usages et des coutumes qui dans le temps se sont redéfinies mais qu’ils ont conservé le même signifié. le sien tu causes, les significations des symboles, sont toutefois inconnus plus au. Son livre porte les lecteurs en arrière dans les siècles, jusqu’à celle-là grande fête célébrée sin des temps plus lointains de la part des Celti le 1 novembre, une répétition qu’elle nous recompte « fut baptisée » de l’Église dans le Moyen âge, que la fit devenir la fête – double – des Saints et des défunts. Gulisano : Exact : celle que nous appelons « Halloween » est en réalité seulement la dernière version – secolarizzata – d’une orthodoxe fête catholique, et le livre cherche à expliquer comme il est pu arriver qu’une tradition plurisecolare chrétienne ait pu devenir l’actuelle carnevalata en style horror. Nous disons d’abord que les origine du « phénomène » Halloween est toute américaine : cette Amérique où ils arrivèrent millions d’émigrés irlandais avec leurs profonde devozione pour les saints, un culte oltremodo fastidieux pour la culture dominante de dérivation puritana, qui dans sa actuelle version secolarizzata ont décidé d’écarter le sens catholique d’Ognissanti, en retenant dans le soi-disant Halloween j’attends lugubre de l’au-delà, avec les fantômes, les morts que levano du tombe, les âmes perdues qui tourmentent ceux qui en vie les apportèrent donnent : j’attends qu’il tente de s’exorciser avec les masques et les blagues. Évidemment les Vieux Continente ne pouvait pas rester à le long sans à d’adopter du nouveau « culte ». En effet nous voyons se répandre toujours plus de nous de Halloween avec son corteo d’articles plus ou moins de macabri – crânes, squelettes, sorcières – qui ne se proposent pas comme une forme de neopaganesimo, pas comme un culte esotérique, mais simplement comme une parodie de la religiosità chrétienne authentification, à des fins principalement consumistici : vendre un peu de produits des carnevaleschi en plus, (le soi-disant merchandising de Halloween) des masques, crânes, zucche, manteaux cappellacci et autre, nonchè tu embrasses publicitaires dans les films de l’horreur envoyés sur les réseaux télévisés. Halloween est proposé commercialement comme une fête jeune, amusant, différent, « trasgressiva » ; on nous déguise de fantôme, de sorcière ou zombie et il se danse dans les fêtes. Toutefois Halloween ne peut pas être considéré simplement un phénomène commercial ou un second Carnaval… Gulisano : « En effet : il est important connaître et savoir évaluer bien ses racines culturelles, et même les implications esotériques qui sont allées à des sovrapporsi et à monter ambigument cette répétition. Le 31 octobre en effet est devenu une donnée importante pour l’esoterismo dans les témoins duquel nous trouvons ces définitions : « Il tourne la Grande Sabba pour quatre fois à l’an… Halloween qui est peut-être la fête plus chère « ; « Samhain est le giorno plus » magique « que tout l’an, jour de l’an de tout le monde esotérique ». Le monde de l’occulte ainsi le définit : « elle est la fête plus importante de l’an pour les disciples de satana ». Donnée d’une importante répétition de la culture celtica d’abord et de celle chrétienne après est entrée ainsi à faire une partie du calendrier de l’occultismo. » Alors qu’on fait le 31 octobre ? Gulisano : À mon j’avertis se peut et on doit fêter. Le 1 novembre, qui fut le Jour de l’an celtico et ensuite Ognissanti, est une fête extraordinaire pour les chrétiens, et ne vaut pas peine offrir lu’à des ciarlatani et occultisti. Il ne faut pas craindre le Halloween mauvais, et pour ceci il faut le connaître bien. Halloween, en tout cas, ne peut pas s’ignorer, et maintenant il fait une partie du scènario de nos temps. Que faire donc ? Lui combattre puisqu’usage qui raye les chères traditions de mémoire et de recueillement autour du souvenir de nos chers qui ne sont plus que ce monde, affirme quelqu’un, que mine aux racines le principe chrétien de la communion des Saints, cioé du rapport et de la solidarieté de tous les fidèles en grâce de Dieu, vivante ou défunte qui soient. Des éducateurs et des familles devraient se mobiliser contre ces diseducazione du bon goûte, contre ces profanazione du mystère des mortes et de la vie après les mortes, mais il n’est pas facile aller contre-courant, défier les mode imperanti. Alors on peut faire fête à Halloween, en se rappellant ce que ce giorno ait signifié pour des siècles et qu’est-ce que veut encore aujourd’hui nous témoigner. Halloween doit être sauvée : il les doit être redonné tout son ancien signifié, en lui libérant de la dimension purement consumistica et commerciale et surtout en extirpant la patine d’occultismo sombre dont elle a été revêtue. On fait fête, donc, et on explique clairement qu’on fête les morts et les saints, en mode positive et même sympathique pour que les enfants soient éduqués à considérer les mortes comme évènement humain, naturelle, delaquelle on ne doive pas avoir de la peur.

gif du site:

http://www.maestramette.it/english_corner/halloween/index_hw.htm

la fête de Halloween - interview avec l'auteur d'un livre sur l'argue. dans sujets interessants aujourd'hui hallowen

 

Le cardinal Bertone dénonce la partialié du film sur Jean-Paul Ier per la RAI

28 octobre, 2006

du Zenith: 

Le cardinal Bertone dénonce la « partialité » du film sur Jean-Paul Ier diffusé par la RAI

ROME, Vendredi 27 octobre 2006 (ZENIT.org) – Le film « Le pape Luciani – le sourire de Dieu » sur la vie et la mort de Jean-Paul Ier, transmis les 23 et 24 octobre par la télévision italienne RAI Uno et vu par plus de dix millions de téléspectateurs, a suscité un véritable débat.Dans un entretien publié jeudi 26 octobre par le quotidien italien « Avvenire », le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d’Etat, a émis certaines critiques.Le cardinal Bertone a notamment démenti le fait que Jean-Paul Ier ait été contraire à l’encyclique Humanae Vitae, et déclaré sans fondement l’information selon laquelle sœur Lucie, la voyante de Fatima, aurait prédit au cardinal Albino Luciani qu’il serait devenu pape et que son pontificat aurait été très bref. Le secrétaire d’Etat déplore par ailleurs la manière « déformée » dont est présentée la Curie romaine et le fait que le film présenté en avant-première au pape Benoît XVI ait été une version réduite du film.A un moment donné, le film présente le cardinal Luciani qui conteste l’encyclique de Paul VI Humanae Vitae. Le cardinal Bertone affirme : « Il me semble que le film n’a pas souligné clairement le fait que le pape Luciani, bien que doux et humble, était aussi ‘fort dans la foi’, ‘ferme dans les principes’ et ‘fidèle à la tradition’. Pour cette raison, le temps consacré à ses soi-disant ouvertures sur des questions délicates de morale sexuelle, qui seraient de toute façon à dater avant l’encyclique Humanae Vitae qu’il a, que je sache, soutenue sans réserve, m’a semblé exagéré. A ce sujet, d’autres ont par ailleurs rappelé que le patriarche Luciani avait dissout la FUCI (Fédération Universitaire Catholique Italienne, ndlr) de Venise, car celle-ci s’était prononcée en faveur du ‘oui’ au référendum sur le divorce de 1974, s’opposant aux indications qui faisaient autorité de la Curie romaine. Cet épisode n’apparaît cependant pas dans le film ».

Pour ce qui concerne la Curie, décrite dans le film comme hostile et conspiratrice, le cardinal Bertone affirme : « Je comprends que dans tout bon film, il faille toujours opposer la figure du méchant ou des méchants à celle du bon (…). Et ainsi, parmi les méchants nous avons retrouvé l’immanquable archevêque Paul Marcinkus, quelques cardinaux et un peu toute la Curie ».

« Personnellement, j’ai été frappé par le portrait négatif – et injuste ! – qui a été fait du secrétaire d’Etat de l’époque, le cardinal Jean Villot, et de mon grand prédécesseur à Gênes, le cardinal Giuseppe Siri. Raconter la Curie romaine à l’époque du pape Luciani, comme un groupe d’ecclésiastiques qui n’auraient rien eu d’autre à faire que mettre des bâtons dans les roues au nouveau pape, m’a semblé injuste à l’égard de la Curie, de l’Eglise catholique tout entière et même du pape Luciani lui-même ».

Concernant la mort subite du pape Jean-Paul Ier, après à peine 33 jours de pontificat, l’image s’arrête sur la tasse de café comme pour laisser planer le doute, indiquant que c’est là que réside le secret de la mort prématurée du pape. A ce sujet, le cardinal Bertone déclare : « Ceci, franchement, m’a semblé une chute de style que l’on aurait pu nous épargner, tout en respectant la liberté d’expression artistique qui est et doit être garantie à tous. Lancer une allusion aussi lourde, comme s’il s’agissait d’un commentaire obligatoire, m’a semblé déplacé. Egalement parce qu’il n’existe aucun élément sérieux et sûr pouvant conduire à ce type de conclusion, comme l’a par ailleurs répété son frère (du pape Luciani, ndlr) Edoardo ».

L’intrigue du film se base en grande partie sur la rencontre à Coïmbre, entre le cardinal Luciani et sœur Lucie qui dans le film annonce au patriarche de Venise qu’il serait devenu pape et que son pontificat aurait été très bref.

Le cardinal Bertone – qui connaissait très bien sœur Lucie – affirme à ce sujet : « Il s’agit d’une thèse ancienne mais privée de fondement. Je me souviens très bien que le 9 décembre 2003 je me suis rendu à Coïmbre où j’ai célébré la messe pour la communauté des carmélites, et que j’ai eu l’occasion de parler quelques heures avec sœur Lucie. A cette occasion, j’ai évoqué avec elle les relations qu’elle avait eues avec Jean-Paul Ier. Je l’ai déjà dit et je le répète : sœur Lucie, désignant le banc où ils s’étaient assis et où ils avaient longuement parlé, me déclara que de sa part il n’y avait eu aucune prédiction concernant Albino Luciani. Elle s’était seulement exclamée, devant la communauté, après son départ : « S’il devenait pape, cela ne me déplairait pas ! ». Par ailleurs, Albino Luciani lui-même a rédigé un rapport de cette rencontre dans lequel il n’est fait aucune mention de telles prophéties.

Le frère de Jean-Paul Ier dénonce quant à lui, toujours dans les colonnes de « l’Avvenire » du 26 octobre, les soi-disant intrigues du Vatican contre le pape Luciani, qui ne sont, affirme-t-il, que des « stupidités ».

Le directeur du Centre Pape Luciani, Mgr Giorgio Lise, dénonce également le fait que le film sous-entende que la mort de Jean-Paul Ier n’ait pas été une mort naturelle. Il affirme que lorsque l’entourage du pape a découvert qu’il n’était plus en vie, « la tasse de café était encore pleine et c’est ce qui a surpris sœur Vincenza ».

Le directeur du Centre parle non seulement d’« interprétation forcée » mais de « déformation de la vérité historique ».

Concernant le secrétaire d’Etat de l’époque, Edoardo Luciani affirme : « Mon frère appréciait beaucoup le cardinal Villot. Il l’appréciait tant qu’il me l’a dit directement ». Il raconte que son frère « a prié presque jusqu’aux larmes pour que le cardinal Villot reste à son poste » et ne se retire pas dans un monastère en France.

Edoardo Luciani précise par ailleurs que contrairement à ce que le film lui fait dire, il n’est pas lui non plus contre l’encyclique Humanae Vitae : « J’ai dix enfants et je n’avais absolument rien contre notre Mère l’Eglise. Cette partie du film… ne correspond absolument pas à la réalité ».

La nièce de Jean-Paul Ier, Pia Luciani déplore quant à elle dans les colonnes du « Corriere della Sera » du 25 octobre, le fait que ni l’acteur qui joue le rôle du pape Luciani, ni le metteur en scène du film, n’ait pris contact avec elle ou avec son père.

Pape Jean-Paul I, image du:

http://www.globalgeografia.com/attualita/scheda_articolo.php?ID=47Le cardinal Bertone dénonce la partialié du film sur Jean-Paul Ier per la RAI dans sujets interessants aujourd'hui giovanni_paolo_I

Evangile du dimanche 29.10.06 et commentaire

28 octobre, 2006

du site Evangile aux Quotidien:

Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc 10,46-52.

Jésus et ses disciples arrivent à Jéricho. Et tandis que Jésus sortait de Jéricho avec ses disciples et une foule nombreuse, un mendiant aveugle, Bartimée, le fils de Timée, était assis au bord de la route.
Apprenant que c’était Jésus de Nazareth, il se mit à crier : « Jésus, fils de David, aie pitié de moi ! »
Beaucoup de gens l’interpellaient vivement pour le faire taire, mais il criait de plus belle : « Fils de David, aie pitié de moi ! »
Jésus s’arrête et dit : « Appelez-le. » On appelle donc l’aveugle, et on lui dit : « Confiance, lève-toi ; il t’appelle. »
L’aveugle jeta son manteau, bondit et courut vers Jésus.
Jésus lui dit : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? — Rabbouni, que je voie. »
Et Jésus lui dit : « Va, ta foi t’a sauvé. » Aussitôt l’homme se mit à voir, et il suivait Jésus sur la route.

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Jean Tauler (v. 1300-1361), dominicain à Strasbourg
Sermon 10 (trad. Cerf 1979, t.1, p. 38)

« Aussitôt l’homme se mit à voir, et il suivait Jésus sur la route »

« Je suis la lumière du monde » (Jn 8,12). Il est cette lumière qui donne leur éclat à toutes les lumières de la terre : aux lumières matérielles telles que le soleil, la lune, les étoiles et les sens physiques de l’homme, et aussi à la lumière spirituelle, à l’intelligence de l’homme, grâce à laquelle toutes les créatures doivent refluer vers leur origine. Sans ce reflux, ces lumières créées sont en elles-mêmes de vraies ténèbres, comparées à cette véritable lumière par essence, qui est une lumière pour le monde entier.Notre cher Seigneur nous dit : « Renonce à ta lumière qui est vraiment ténèbres comparée à ma lumière et qui m’est contraire, car je suis la vraie lumière et je veux, en échange de tes ténèbres, te donner ma lumière éternelle, afin qu’elle t’appartienne comme à moi-même et que tu aies, comme moi-même, mon être, ma vie, mon bonheur et ma joie. »Quel est donc le chemin le plus court qui conduit à la vraie lumière ? Voici ce chemin : se renoncer vraiment soi-même, aimer et n’avoir en vue que Dieu seul…, ne vouloir en aucune chose son intérêt propre mais désirer et rechercher seulement l’honneur et la gloire de Dieu, attendre tout immédiatement de Dieu et, sans aucun détour ni intermédiaire, lui rapporter toutes choses, d’où qu’elles viennent, afin qu’entre Dieu et nous il y ait un flux et un reflux tout à fait immédiats. Voilà le vrai, le droit chemin.

image du site:

http://www.maranatha.it/

Evangile du dimanche 29.10.06 et commentaire dans commentaire à la Sacrée Écriture pour le jour courant B30-w

Commentaire aux évangile du jour

27 octobre, 2006

Commentaire aux èvangile du jour (27-10-06):

Jean-Pierre de Caussade (1675-1751), jésuite
L’Abandon à la Providence divine (DDB, p. 142)

« Le temps où nous sommes, pourquoi ne savez-vous pas le juger ? »

Comment se peut-il qu’étant continuellement avertis que tout ce qui se passe dans le monde n’est qu’une ombre, qu’une figure, que mystère de foi, nous nous conduisions toujours humainement et par le sens naturel des choses, qui n’est qu’énigme ? Nous donnons toujours dans le piège, comme des insensés, au lieu de lever les yeux et de remonter au principe, à la source, à l’origine des choses où tout est surnaturel, divin, sanctifiant, où tout est partie de la plénitude de Jésus Christ, où tout est pierre de la Jérusalem céleste, où tout entre et fait entrer dans cet édifice merveilleux…La foi est la lumière du temps…; elle ôte le voile et découvre la vérité éternelle (cf 2Co 3,16). Quand une âme a reçu cette intelligence de la foi, Dieu lui parle par toutes les créatures ; l’univers est pour elle une écriture vivante que le doigt de Dieu trace incessamment devant ses yeux. L’histoire de tous les moments qui coulent est une histoire sainte ; les Livres saints que l’Esprit de Dieu a dictés ne sont pour elle que le commencement des divines instructions. Tout ce qui arrive et qui n’est point écrit est pour elle la suite de l’écriture. Ce qui est écrit est le commentaire de ce qui ne l’est pas. La foi juge de l’un par l’autre.image du:

http://guardianodelfaro.splinder.com/archive/2004-11

Commentaire aux évangile du jour  dans commentaire à la Sacrée Écriture pour le jour courant TRAMONTO

Artisan de paix au milieu des armes : la mission des évêques aux armées

27 octobre, 2006

 du Zenit:

Artisan de paix au milieu des armes : la mission des évêques aux arméesBenoît XVI reçoit les participants au Ve congrès internationalROME, Jeudi 26 octobre 2006 (ZENIT.org) – Artisan de paix au milieu des armes, c’est ainsi que le pape caractérise la mission des évêques aux armées qu’il a reçus jeudi matin à l’issue de leur 5e congrès à Rome.Le congrès était organisé par la congrégation romaine pour les Evêques, dont le préfet est le cardinal Giovanni Battista Re qui a ouvert les travaux le 23 octobre, et assisté du P. Giulio Cerchietti, responsable du Bureau pastoral central des ordinariats militaires. Il se conclura demain, 27 octobre, par la célébration eucharistique à Saint-Pierre, sous la présidence du cardinal secrétaire d’Etat Tarcisio Bertone. Il s’est déroulé en la vieille salle du synode au Vatican, sur le thème : « Les militaires au service de la paix ».Il a réuni 70 délégués des conférences épiscopales des 35 ordinariats militaires.« Si le Concile appelle les militaires ministres de la paix, a fortiori leurs pasteurs ! Je vous encourage par conséquent tous à faire en sorte que les aumôniers soient de vrais experts en ce que l’Eglise enseigne et fait pour la paix dans le monde », exhortait Benoît XVI.

En milieu militaire, l’Eglise, ajoutait le pape, est appelée à être « sel », « lumière » et « levain », « pour que les esprits et les structures aillent vers le plein accomplissement de la paix ».

Le magistère relatif à la paix, insistait le pape, constitue « un aspect essentiel de la doctrine sociale ».

« L’appel insistant à la paix a influencé la culture occidentale, a fait observer Benoît XVI, en développant l’idée que les armées sont au service exclusif de la défense de la liberté et de la sécurité des peuples ».

Il déplorait cependant que « des intérêts divergents, économiques et politiques, provoquent des tensions internationales », ainsi que « des obstacles et des retards » comme en témoigne « la difficulté du désarmement ».

Ce congrès coïncidait avec le 20e anniversaire de la constitution apostolique de Jean-Paul II sur le soin pastoral et spirituel des militaires « Spirituali Militum Curae ».

Benoît XVI a rappelé que ce document de Jean-Paul II prenait en charge les « indications conciliaires », et « l’évolution des forces armées et de leurs missions ».

Vingt ans après, en dépit des changements, le pape a souligné que ce document demeure « encore adapté à la situation actuelle ».

Benoît XVI a rappelé également la communion entre les ordinaires militaires et les Eglises locales en disant : « Ceux à qui s’adressent les ordinariats sont des fidèles d’Eglises particulières, auxquelles ils continuent d’appartenir, a fait observer Benoît XVI. Cette situation impose donc une exigence de communion et de coordination entre diocèses et ordinariats ».

Et pour ce qui est de la formation et de l’accompagnement des personnes, le pape a souligné que « mettre au premier rang la personne signifie privilégier la formation religieuse du militaire, l’accompagner lui et sa famille durant l’initiation chrétienne, son parcours vocationnel, le renforcement de sa foi et dans son témoignage, tout en favorisant les diverses formes de fraternité et de communauté telle une prière liturgique adaptée aux contextes et conditions de vie militaires ».

Les débats ont évoqué cinq questions: « La nature des ordinariats selon la constitution apostolique Spirituali Militum Curae et des documents successifs du magistère »; « La mission des ordinariats et leurs priorités actuelles »; « Le sacerdoce et les autres ministères ordonnés au service de la mission pastorale des ordinariats »; « Le droit à l’assistance religieuse des militaires en mission de paix, et la formation au droit humanitaire »; « Les rapports d’un ordinariat avec la conférence épiscopale et les évêques diocésains »; « Soldats et serviteurs de la paix », et le statut juridique des ordinariats.

image du:

http://psg.com/~sghuter/maya/inverno-2002/compleanno/

Artisan de paix au milieu des armes : la mission des évêques aux armées dans Pape Benoit fiori

Pape Benoît à l’Ambassadeur de Belgique – 26-10-06

27 octobre, 2006

du site Vatican: 

DISCOURS DU PAPE BENOÎT XVI
À S.E. M. FRANK DE CONINCK
AMBASSADEUR DU ROYAUME DE BELGIQUE
PRÈS LE SAINT-SIÈGE À L’OCCASION DE
LA PRÉSENTATION DES LETTRES DE CRÉANCE

Jeudi 26 octobre 2006

Monsieur l’Ambassadeur,

J’accueille avec plaisir Votre Excellence au Vatican pour la présentation des Lettres qui L’accréditent en qualité d’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume de Belgique près le Saint-Siège et je La remercie vivement de m’avoir transmis le message courtois de Sa Majesté le Roi Albert II et de Sa Majesté la Reine. Me souvenant de la visite que m’ont rendue Leurs Majestés en avril dernier, je vous saurais gré de bien vouloir Leur exprimer en retour mes vœux les meilleurs pour Leurs personnes, pour la Reine Fabiola, pour le Prince Philippe et la Princesse Mathilde, ainsi que pour les responsables de la vie civile et pour tout le peuple belge.

Cinquante ans après le lancement du grand projet de la construction européenne, qui provient de l’esprit chrétien et dont la Belgique était partie prenante dès le début, les avancées sont considérables, même si de nouvelles difficultés sont apparues récemment : le continent européen retrouve peu à peu son unité dans la paix, et l’Union européenne est devenue, dans le monde, une force économique de premier plan, ainsi qu’un signe d’espérance pour beaucoup. Devant les exigences de la mondialisation des échanges et de la solidarité entre les hommes, l’Europe doit continuer de s’ouvrir et de s’engager dans les grands chantiers de la planète. Au premier rang de ces défis, se trouve la question de la paix et de la sécurité, alors qu’on observe une situation internationale fragilisée par des conflits qui durent, en particulier au Moyen-Orient avec les situations toujours dramatiques de la Terre Sainte, du Liban et de l’Irak, mais aussi en Afrique et en Asie. Il importe au plus haut point que la communauté internationale et tout spécialement l’Union européenne se mobilisent avec détermination en faveur de la paix, du dialogue entre les nations et du développement. Je sais que la Belgique ne ménage pas ses efforts en ce sens et je salue particulièrement ceux qu’elle déploie pour aider les pays d’Afrique centrale à déterminer dans la paix leur propre avenir, comme ceux qu’elle accomplit dans le cadre du Liban, auquel vous venez de faire référence. Pour ma part, je peux vous assurer de l’engagement résolu du Saint-Siège à œuvrer de toutes ses forces en faveur de la paix et du développement.

Un autre défi concerne l’avenir de l’homme et son identité. Les immenses progrès de la technique ont bousculé bien des pratiques dans le domaine des sciences médicales, tandis que la libéralisation des mœurs a considérablement relativisé des normes qui paraissaient intangibles. De ce fait, dans les sociétés occidentales caractérisées de plus par la surabondance des biens de consommation et par le subjectivisme, l’homme est affronté à une crise de sens. Dans un certain nombre de pays, on voit en effet apparaître des législations nouvelles qui remettent en cause le respect de la vie humaine de sa conception jusqu’à sa fin naturelle, au risque de l’utiliser comme un objet de recherche et d’expérimentation, portant ainsi gravement atteinte à la dignité fondamentale de l’être humain. Se fondant sur sa longue expérience et sur le trésor de la Révélation qu’elle a reçu en dépôt pour le partager, l’Église entend rappeler avec force ce qu’elle croit à propos de l’homme et de sa prodigieuse destinée, donnant à chacun la clé de lecture de l’existence et des raisons d’espérer. C’est ce qu’elle souhaite proposer au cours de la mission qui commencera dans quelques jours, «Bruxelles Toussaint 2006». Quand les Évêques de Belgique plaident en faveur du développement des soins palliatifs, afin de permettre à ceux qui le désirent de mourir dans la dignité, ou quand ils interviennent dans les débats de la société, pour rappeler qu’il existe «une frontière morale invisible devant laquelle le progrès technique doit s’incliner : la dignité de l’homme» (Déclaration des Évêques de Belgique, Dignité de l’enfant et technique médicale), ils entendent servir la société tout entière en indiquant les conditions d’un véritable avenir de liberté et de dignité pour l’homme. Avec eux, j’invite les responsables politiques qui sont chargés d’établir les lois pour le bien de tous à mesurer avec gravité la responsabilité qui est la leur et les enjeux de ces questions d’humanité.

Votre pays, le Royaume de Belgique, s’est construit autour du principe monarchique, faisant du Roi le garant de l’unité nationale et du respect des particularités linguistiques et culturelles de chaque communauté au sein de la Nation. L’unité d’un pays, toujours à parfaire, nous le savons bien, requiert de la part de tous la volonté de servir l’intérêt commun et de se connaître toujours mieux grâce au dialogue et à l’enrichissement mutuel. Aujourd’hui, l’accueil d’immigrés de plus en plus nombreux et la multiplication sur un même sol de communautés différentes par leur culture d’origine ou leur religion rendent absolument nécessaire, dans nos sociétés, le dialogue entre les cultures et entre les religions, comme je l’ai rappelé au cours de mon récent voyage en Bavière et comme vous venez vous-même de le souligner. Il convient d’approfondir la connaissance mutuelle, en respectant les convictions religieuses de chacun et les légitimes exigences de la vie sociale, conformément aux lois en vigueur, et d’accueillir les immigrés, de sorte qu’on respecte toujours leur dignité. Pour cela, il importe de mettre en œuvre une politique d’immigration qui sache concilier les intérêts propres du pays d’accueil et le nécessaire développement des pays les moins favorisés, politique soutenue aussi par une volonté d’intégration qui ne laisse pas se développer des situations de rejet ou de non-droit, comme le révèle le drame des sans-papiers. On évitera ainsi les risques du repli sur soi, du nationalisme exacerbé ou même de la xénophobie, et on pourra espérer un développement harmonieux de nos sociétés pour le bien de tous les citoyens.

Au terme de notre entretien, permettez-moi, Monsieur l’Ambassadeur, de saluer par votre entremise les Évêques et tous les membres de la communauté catholique de Belgique, afin de les encourager à témoigner sans se lasser de leur espérance, dans tous les secteurs de la vie sociale et professionnelle, sans oublier les prisons, les hôpitaux et toutes les nouvelles situations de pauvreté qui peuvent exister. Qu’ils portent avec eux la Bonne Nouvelle de l’amour de Dieu !

Au moment où vous inaugurez votre noble mission, sûr que vous trouverez toujours un accueil attentif auprès de mes collaborateurs, je vous offre, Monsieur l’Ambassadeur, mes vœux les meilleurs pour son heureux accomplissement et pour que se poursuivent et se développent des relations harmonieuses entre le Saint-Siège et le Royaume de Belgique.

Sur Votre Excellence, sur sa famille et tout le personnel de l’Ambassade, ainsi que sur la famille royale, sur les Responsables et tous les habitants du pays, j’invoque l’abondance des Bénédictions divines.

Bruxelles, Grand Place – tappeto di fiori, du:

http://www.sinequanon.it/immagini/belgio.7.bruxelles.jpg

Pape Benoît à l'Ambassadeur de Belgique - 26-10-06 dans Pape Benoit belgio.7.bruxelles

Avis: j’ai mes le troi chatéchèse du Pape Benoit sur Pierre…

27 octobre, 2006

sous « Pages »

 

D’où vient le chapelet

26 octobre, 2006

du site:

http://www.christicity.com/chroniques/d_ou_vient_le_chapelet.asp  

D’où vient le chapelet
Christian Laffargue
Curé

C’était la coutume, au Moyen-âge, comme déjà chez les Romains pour les no les, de porter des couronnes de fleurs appelées chapels qui, plus tard, furent transformées en ces diadèmes d’or qui ceignaient le front des rois. Souveraine du Ciel et des âmes («, reine du Ciel» disent ses litanies), la Sainte Vierge a droit aux mêmes hommages ! Aussi, l’Eglise nous fait-elle reconnaître le titre de Marie comme reine du Saint Rosaire et nous exhorte-t-elle à lui offrir, comme fille du Père, Mère du Fils, Epouse du Saint-Esprit (cf. St Louiis-Marie Grignion de Montfort), un triple «», qui deviendra «». A la triple couronne de roses on donnera le nom de Rosaire.
Le chapelet est à la fois une prière vocale et une prière mentale (on contemple les mystères de la Foi). Mystères joyeux, lumineux (Cf.»Le Rosaire de la Vierge Marie», Lettre apostolique du Pape Jean-Paul II du 16 octobre 2002, n° 21), douloureux et glorieux dont les deux dernières dizaines évoquent l’Assomption et le Couronnement de la Vierge Marie au Ciel.
La première partie du «Je vous salue Marie» (l’Ave Maria) sont les paroles mêmes de l’Ange Gabriel à la Sainte Vierge (Luc 1). On l’appelle «salutation angélique».
La fête du Saint Rosaire, le 7 octobre, a été instituée par le Pape Saint PIE V pour commémorer la victoire de Lépante le dimanche 7 octobre 1571où la flotte chrétienne a repoussé et vaincu la flotte turque par laquelle l’Islam voulait envahir l’Europe chrétienne. C’est le Pape Clément XI qui l’étendit à l’Eglise universelle en action de grâces pour la victoire remportée par Charles VI sur les Sarrasins en 1716
Dans sa lettre apostolique sur le Rosaire, le Pape Jean-Paul II instituait une Année du Rosaire d’octobre 2002 à octobre 2003. Il n’entendait pas «mais plutôt unir et consolider les projets pastoraux des Eglises particulières» (n°3). «faut-écrivait-il– un christianisme qui se distingue avant tout dans l’art de la prière» (n°5). Et la première urgence était «’implorer de  
Dieu le don de la paix» après le terrible attentat du 11 septembre 2001 à New-York et la situation «la terre de Jésus», en Palestine (n°6).
Il rappelait les apparitions de Lourdes et de Fatima (le 13 octobre 1917, lors de la 6ème et dernière apparition, la Vierge Marie répond à Lucie qui la questionne : «suis Notre-Dame du Rosaire»). Le Pape Jean-Paul II cite les saints qui ont trouvé dans le Rosaire «voie authentique de sanctification» : St L M. de Montfort, St Padre Pio et Pietrelcina, le Bx Bartolo Longo. (n°8).
Le chapelet et le Rosaire (trois chapelets) ont pour but «contempler le Christ avec Marie (cf. chapitre I) en méditant «chemin ordinaire et douloureux de son humanité» (n°9) «à travers le cœur de celle qui fut la plus proche du Seigneur» (n°12).
Le Rosaire est aussi une prière contemplative. «Marie, on apprend à connaître le Christ (n°14), à se conformer au Christ avec Marie (n°17)».
«Rosaire est un résumé de l’Evangile» (chap. II, n° 18). Ne l’a-t-on pas appelé «’Evangile du pauvre» ? Après avoir rappelé l’Incarnation et la vie cachée de Jésus (mystères joyeux), avant de s’arrêter sur les souffrances de la Passion (mystères douloureux), puis sur le triomphe de la Résurrection (mystères glorieux), la méditation se tourne aussi vers quelques moments significatifs de la vie publique du Christ (mystères lumineux)» (n°19).
Les mystères joyeux sont déjà douloureux (n°20) :
Dans la Présentation de Jésus au Temple (4ème Mystère), le vieillard Siméon déclare à la Vierge Marie : «glaive vous percera l’âme» (Lc 2, 34-35). Dans le 5ème mystère (la perte et le recouvrement de Jésus au Temple), Joseph et Marie ne comprirent pas les paroles de Jésus («savez-vous pas que je dois être aux affaires de mon père ?» v.49-50).
Dans les mystères lumineux (n°21)
«c’est tout le mystère du Christ qui est lumière», Lui qui s’est dit «suis la lumière du monde» (Jn 8, 12) écrit le Pape Jean-Paul II. 
Il s’agit du Baptême du Christ dans les eaux du Jourdain, du premier miracle à Cana de Galilée (l’eau changée en vin, Jn 2, 1-12), l’annonce du Royaume de Dieu avec l’invitation à la conversion (Mc 1, 15), la Transfiguration du Christ sur le Mont Thabor (Mc 17, Mc 9, Lc 9) et l’institution de la Sainte Eucharistie le Jeudi-saint (Jn 13, 1-1 Co 11, 23-25).
Les mystères douloureux «le croyant à revivre la mort de Jésus en se mettant au pied de la croix, près de Marie pour pénétrer avec elle dans les profondeurs de l’amour de Dieu» (n°22).
Dans les mystères glorieux, «Rosaire nous invite à aller au-delà de l’obscurité de la Passion pour fixer notre regard sur la gloire du Christ dans la Résurrection». Les deux derniers mystères sont consacrés à Marie : l’Assomption et le Couronnement de la Sainte Vierge Marie au Ciel (n°23).
Le Rosaire «une méthode fondée sur la répétition. Loin d’^$etre une pratique aride et ennuyeuse, le chapelet est l’expression d’un amour qui ne se lasse pas de se tourner vers la personne aimée» (n°26).
On a bien dit «’amour se redit toujours et ne se répète jamais !».
«le mystère et regarder une image qui le représente, c’est camper un décor sur lequel se concentre l’attention». Le Pape cite la méthode des Exercices spirituels de St Ignace («composition de lieu» (n°29).
«centre de gravité de l’Ave Maria est le nom de Jésus (n°33) sans oublier «point d’arrivée de la contemplation chrétienne : le Gloria (il est recommandé de la chanter dans la récitation publique). Le Christ est en effet le chemin qui conduit au Père dans l’Esprit.» (n°34).
Le Rosaire débute par la récitation du Credo et peut se terminer par «splendide prière du Salve regina ou par les Litanies de Lorette ou «de la Sainte Vierge» (n°37). Pour sa «épartition dans le temps» (n°38) le Pape Jean Paul II rappelle l’usage courant : le lundi et je jeudi, les mystères joyeux ; le mardi et le vendredi, les mystères douloureux : le mercredi, le samedi et le dimanche  
D'où vient le chapelet dans sujets interessants aujourd'hui 02-oct-16-rosa 

 

Benoît XVI salue les pèlerin suisse et le séminaire français de Rome

26 octobre, 2006

 du Zenith org. 

Benoît XVI salue les pèlerins suisses et le séminaire français de Rome

« A l’exemple de saint Paul, prenez le Christ pour modèle »

ROME, Mercredi 25 octobre 2006 (ZENIT.org) – A l’issue de sa catéchèse en français, sur l’apôtre Paul, Benoît XVI a salué les francophones, dont les pèlerins suisses, de Sion avec le cardinal Schwery, et le séminaire français de Rome.« Je salue cordialement les pèlerins francophones présents ce matin, en particulier le groupe de pèlerins de Sion, accompagné par Monsieur le Cardinal Henry Schwery, Evêque émérite de Sion, et la Communauté du Séminaire pontifical français de Rome, venue à l’occasion du cent-cinquantième anniversaire de son installation Via Santa Chiara », disait le pape.Il ajoutait cette invitation : « A l’exemple de saint Paul, prenez le Christ pour modèle: lui seul vous rendra capables d’annoncer avec audace la Bonne Nouvelle du salut! »Le seminaire français de Rome – link: http://www.seminairefrancaisderome.org/a en effet célébré en 2003-2004 les 150 ans de sa première installation à Rome, en 1853, grâce au P. Lannurien, dans les locaux de l’ancien collège irlandais. Il devait seulement ensuite s’installer non loin du Panthéon, rue Santa Chiara.La communauté du « Pontificio seminario Gallico », a participé lundi 23 octobre à la messe d’ouverture de l’année académique présidée par le cardinal préfet de la congrégation pour l’Education Catholique, Zénon Grocholewski, et à la rencontre qui a suivi avec Benoît XVI en la basilique Saint-Pierre, à l’occasion de la messe de rentrée des universités pontificales.Le jubilé a été l’occasion de grands travaux en particulier de la chapelle du séminaire – avec la découverte d’anciennes fresques du XIXe s. – et la restauration de l’orgue.La communauté a été reçue en audience par Jean-Paul II en 2003 pour ce jubilé. La chapelle, ornée de nouvelles mosaïques, a été inaugurée et le nouvel autel consacré par le cardinal Jean-Louis Tauran, le 24 mars 2004.Deux livres ont également été publiés, l’un sur le fondateur, le Père Lannurien, par le P. Roger Billy (Ed. Karthala) et un ouvrage sur les 150 ans du séminaire: un recueil d’articles, sous la direction des professeurs Levillain et Boutry, avec la participation de cardinaux, évêques, historiens et pères du séminaire, grâce à la coordination du recteur, le P. Yves-Marie Fradet (Ed. Karthala, collection « Mémoires d’Églises »).en ancienne photo de: Via di Santa Chiara, ou est le Seminaire française de Rome,

Benoît XVI salue les pèlerin suisse et le séminaire français de Rome dans Pape Benoit steclair

près, ou en continuant, il y a le Panteon, il y a pas très loin à gauche Place Navona, à gauche encore le sénat de la République et, près, l’Église Saint Luis de’ Français, église nationale française à Rome et la librairie Française; un peu lointain est l’ambassade de la France dans le très beau et ancien Immeuble « Farnese », (où il se déroule une partie de l’oeuvre « Tosca » de Puccini; je suis née voisine à ce petite Place de Sainte Chiara; que vous voyez: en revenant se trouve Large Argentine et une traverse en arrièr: rue Du Suaire où, je suis née, l’est un petite église où il se trouve une copie du suaire de Christ, elle est fermée souvent, je la trouvai pas il y a longtemps ouverte il y avait une célébration d’un groupe de Français mais pas touristes, peut-être l’Église a été confiée à une communauté ou je centre cultural français;

ou-dessous il-y-a la photo de le Palais « Farnese » ou est l’ambassade de France;plfarnese01 dans Pape Benoit

La catechesi de ce matin (par l’intérmediaire d’un traducteur on line)

25 octobre, 2006

je vous écris la traduction fait avec un traducteur on line du catechesi de ce matin à Saint Pietro, le Pape parle de San Paul, je l’ai prise de Korazym, le journal on line dit qu’aussi précédemment eux n’ont pas eu le texte, mais seul à 14 heures d’aujourd’hui, je vous copie le texte comme moi il du traducteur (Babelfish) et je le laisse, à des traductions bien fait, comme il est, il y a différentes fautes et « italianismi », mais je pense qu’il y fera plaire le lire également

Le teste intégral des catechesi

Chers frères et soeurs, nous avons conclu nos réflexions sur les douze Apôtres appelés directement de Jésus pendant sa vie terrena. Aujourd’hui nous entamons à approcher les figures d’autres personnages importants de l’Église primitiva. Même ils ont dépensé leur vie pour les Signore, pour l’Évangile et pour l’Église. Il s’agit d’hommes et même de femmes, qui, comme il écrit Luca dans le Livre des Actes, « ont voté leur vie au nom des Signore notre Jésus Christ » (15.26). Le premier de ceux-ci, appelé des Signore même, de René, à être même lui un vrai Apôtre, est sans doute Paolo de Tarse. Il grise comme étoile de première grandeur dans l’histoire de l’Église, et pas seulement de cette des origines. San Giovanni Crisostomo l’exalte comme personnage supérieur même à beaucoup à d’anges et archanges (cfr Panégyrique 7,3). Donnant Alighieri dans la Divine Commedia, en s’inspirant au récit de Luca dans les Actes (cfr 9,15), le définit simplement « vase d’élection » (Inf. 2,28), qui signifie : moyen prechoisi de Dieu. Autres l’ont appelé l’ »treizième Apôtre » – et réellement il insiste beaucoup d’être un vrai Apôtre, en étant appelé de René -, ou même « le premier après l’Unique ». Certes, après Jésus, il est le personnage des origines sur lesquelles nous sommes plus informés. En effet, nous possédons pas seulement le récit qui en fait Luca dans les Actes des Apôtres, mais même un groupe de Lettres qui proviennent directement de sa main et que sans intermediaires ils nous en révèlent la personnalité et la pensée. Luca nous informe que son nom originaire ère Saulo (cfr At 7.58 ; 8.1 etc), au contraire en hébreu Saul (cfr At 9,14.17 ; 22,7.13 ; 26,14), comme le roi Saul (cfr At 13,21), et il était un giudeo de la diaspora, en étant la ville de Tarse située entre l’Anatolia et la Syrie. Bien vite elle était allée à Gerusalemme pour étudier à fond la Loi mosaica aux pieds des grands Rabbì Gamaliele (cfr At 22,3). avait appris même un métier manuel et rude, le tarvail de tend (cfr At 18,3), qui en suite lui aurait permis de pourvoir personnellement à sa subsistance sans grever sur les Églises (cfr At 20.34 ; 1 Cor 4.12 ; 2 Cor 12.13-14). Il fut décisif pour lui connaître la comunnauté dont on professait des disciples de Jésus. D’il eux avait appris d’une nouvelle foi, – un nouveau « chemin », comme on disait – qu’il posait à son centre pas aussi bien la Loi de Dieu, combien plus plutôt la personne que Jésus, crocifisso et rené, lequel était maintenant relié la rémission des péchés. Comme giudeo zélé, il retenait ce message inacceptable, au contraire scandaleux, et il se sentit donc dans devoir persécuter les disciples de Christ même hors de Gerusalemme. Il fut vraiment sur la route de Damas, au début des ans ’30, qui Saulo, seconde ses mots, vinrent « ghermito de Christ » (Fil 3,12). Pendant que Luca recompte le fait avec dovizia de dite lui, – de comme la lumière de René il lu’a touché et a changé fondamentalement toute sa vie – il dans ses Lettres vont droit à l’essentiel et parlent pas seulement de vision (cfr 1 Cor 9,1), mais d’éclairage (cfr 2 Cor 4,6) et surtout de révélation et de vocation dans la rencontre avec le Renée (cfr Gal 1.15-16). En effet, on définira explicitement « apôtre pour vocation » (cfr Rm 1.1 ; 1 Cor 1,1) ou « apôtre pour volonté de Dieu » (2 Cor 1.1 ; Ef 1.1 ; Avec 1,1), comme souligner que sa conversion était pas le résultat de je développe de pensées, de réflexions, mais je proportione d’une intervention divine, d’une imprévisible grâce divine. Depuis lors, tout ce qui d’abord constituait pour lui une valeur divenne paradoxalement, en second lieu ses mots, perte et ordure (cfr Fil 3.7-10). Et de cet instant toutes ses énergies furent posées au service exclusif de Jésus Christ et de son Évangile. Maintenant le sien l’existence sera ce d’un Apôtre désireux de « se faire à tout à tous » (1 Cor 9,22) sans réserves. D’ici elle dérive pour nous une leçon très importante : ce qui compte est poser à centre de sa vie Jésus Christ, sicché notre identité soit marquée essenzialmente de la rencontre, de la communion avec Christ et avec son Mot. À sa lumière chaque autre valeur est récupérée et ensemble purifié d’eventuelles scories. Une autre fondamentale leçon offerte de Paolo est respire universel qui caractérise son apostolat. En sentant aigu le problème de l’accès des Gentils, c’est-à-dire des pagani, à Dieu, qui en Jésus Christ crocifisso et rené offre au salut à tous les hommes sans exceptions, dédia si même à rendre connu cet Évangile, littéralement « bonne nouvelle », c’est-à-dire annonce de grâce destinée à réconcilier l’uomo avec Dieu, avec si même et avec les autres. Du premier instant il avait arrive que celle-ci est une réalité qui ne concernait pas seulement les giudei ou un certain groupe d’hommes, mais qu’il avait une valeur universelle et concernait tous, parce que Dieu est le Dieu de tous. Point de départ pour le sien tu voyages fut l’Église d’Antiochia de Syrie, où pour la première fois l’Évangile fut annoncé aux Grecs et où même il fut frappé le nom de « chrétiens » (cfr At 11, 20.26), c’est-à-dire de croyants Christ. Là il visa d’abord sur Chypre et ensuite à plusieurs reprises sur les régions de l’Asia Minore (Pisidia, de Licaonia, de Galazia), ensuite sur ces de l’Europe (Macedonia, Grèce). Plus considérables elles furent les villes d’Efeso, de Filippi, de Tessalonica, Corinto, sans toutefois oublier Beréa, Atene et Mileto. Dans l’apostolat de Paolo ils ne manquèrent pas difficulté, qu’il affronta avec courage pour amore de Christ. Il même se rappelle d’avoir agi « dans les fatigues… dans les captivités… dans les coups… souvent en danger de mortes… : trois fois j’ai été battu avec les verghe, une fois j’ai été lapidé, trois fois ai fait naufrage… ; voyages innumerevoli, dangers des fleuves, dangers de briganti, dangers de mes compatriotes, dangers des pagani, dangers dans la ville, dangers dans le désert, dangers sur la mer, dangers de faux frères ; fatigue et tourment, veilles sans nombre, faim et soies, tu fréquentes des jeûnes, froid et de la nudité ; et outre tout ceci, ma hantise quotidienne, préoccupation pour toutes les Églises « (2 Cor 11.23-28). D’un passage de la Lettre aux Romains (cfr 15, 24.28) traspare son intention de se pousser jusqu’à l’Espagne, aux extrémités de l’Occident, pour annoncer l’Évangile partout, jusqu’aux frontières de la terre alors connue. Comment ne pas admirer un uomo ainsi ? Comment ne pas remercier les Signore pour nous avoir donné un Apôtre de cette taille ? Et ‘clair qu’il ne lui aurait pas été possible affronter des situations très difficiles et parfois désespérées, s’il n’y avait pas eu une raison de valeur absolue, face à laquelle aucune limite pouvait se retenir invalicabile. Pour Paolo, cette raison, nous le savons, est Jésus Christ, dont il écrit : « L’amore de Christ il nous pousse… parce que ceux qui vivent ne vivent plus pour si même, mais pour celui qui il est mort et risuscitato pour eux » (2 Cor 5.14-15), pour nous, pour tous. De fait, l’Apôtre rendra le suprême témoignage du sang sous l’empereur Nerone ici à Rome, où nous conservons et vénérons ses dépouillúx mortelles. Ainsi il écrivit d’lui Clément Romain, mien predecessore sur ce Siège Apostolique dans les derniers ans du siècle I° : « Pour la jalousie et la discorde Paolo fut obligé à nous montrer comme elle s’atteint le prix della patience… Après avoir prêché la justice à tout le monde, et après être joint jusqu’aux extrêmes frontières de l’Occident, soutint le martyre devant les gouvernantes ; ainsi il partit de ce monde et rejoignit le lieu saint, devenu avec cela le plus grand modèle de perseveranza « (aux Corinzi 5). Les Signore nous aides à mettre en pratique les esortazione laissée nous de l’Apôtre dans ses Lettres : « Fatevi mes imitatori, comme moi suis de Christ » (1 Cor 11,1). La  catechesi de ce matin (par l'intérmediaire d'un traducteur on line) dans Pape Benoit

Pope Benedict waves to the faithful during his weekly Wednesday general audience in Saint Peter’s Square at the Vatican October 25, 2006. REUTERS/Tony Gentile (VATICAN)  

 

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