Archive pour le 28 octobre, 2006

la fête de Halloween – interview avec l’auteur d’un livre sur l’argue.

28 octobre, 2006

Zenith a publié une intéressante interview sur la fête de Halloween, mais pas en français, car j’il semble intéressant je la traduis avec un traducteur on line – comme pour l’autre foi il tourne trop de fautes et « italianismi », patience! (la vôtre, merci),

Donnée publication : 2006-10-27 - À la découverte de la plurisecolare tradition chrétienne derrière la fête de Halloween Il interviewe avec Paolo Gulisano, auteur d’un livre sur argue. ROME, vendredi, 27 octobre 2006 (ZENIT.org). – Grands zucche percées éclairées de l’intérieur, de squelettes et de sombres figures encapuchonnées, éclats de rire terrifiantes et un refrain obsédant : « dolcetto o scherzetto » ? Tout celui-ci est Halloween, une moda, une fête, une nouvelle coutume qui s’est imposée en derniers ans, merci même à la persuasivité de cinémà et télévision. Maintenant la fête de Halloween est entrée même dans le monde de l’école : peu ne sont pas les instituts égouttas nous, de l’école primaire à celle supérieure, où les enseignants font fête ensemble aux enfants, entre des jeux et des projets. J’argue Halloween a été affronté dans tous le sien attends de l’écrivain Paolo Gulisano, auteur de nombreux sages sur la littérature fantasy et sur la culture anglosassone, qui ensemble à l’studieuse irlandese transplantée en Etats Unis, Brid O’Neill, ont donné aux presses dans ces jours un petit volume de titre « la nuit des zucche » (Editrice Encore, pagg. 96, Euro 7,00). Pour enquêter plus approfonditamente sur signifié de la fête de Halloween, ZÉNITH a décidé d’interviewer Gulisano. Plus des parties, face à croître du « phénomène Halloween », on a commencé à manifester une certaine préoccupation. Elle qu’est-ce que en pense ? Gulisano : Il est vrai : il y a qui voit en Halloween reviens à des formes de « paganisme », et qui par contre un rite folkloristico et consumistico, une specie d’inoffensif carnaval dehors saisons. Fait est que maintenant qui plus on se rappelle, pas seulement entre les enfants et les jeunes et au niveau massmediatique populaire, de la fête chrétienne qui Halloween va en supplantant, ou bien d’Ognissanti. Le 1 novembre, lorsque il est rappellé dans l’acception chrétienne des moyens de communication, est pratiquement confondu avec la fête des défunts, qui tombe en réalité le giorno après. Mais qu’il signifie Halloween ? Gulisano : Le nom Halloween autre n’est pas que la storpiatura américaine du terme – dans l’inglese d’Irlande – All Hollows’Eve : La veille d’Ognissanti. Cette ancienne fête arriva dans le States ensemble à émigrant irlandais, et là radicò, pour subir ensuite, en temps récents, une radicale transformation. Des écrans de Hollywood la moda de Halloween est arrivée ainsi de quelque an dans la vieille Europe. Derrière Halloween il y a une des plus anciennes fêtes sacrées de l’Occident : une fête qui a traversé les siècles, avec des usages et des coutumes qui dans le temps se sont redéfinies mais qu’ils ont conservé le même signifié. le sien tu causes, les significations des symboles, sont toutefois inconnus plus au. Son livre porte les lecteurs en arrière dans les siècles, jusqu’à celle-là grande fête célébrée sin des temps plus lointains de la part des Celti le 1 novembre, une répétition qu’elle nous recompte « fut baptisée » de l’Église dans le Moyen âge, que la fit devenir la fête – double – des Saints et des défunts. Gulisano : Exact : celle que nous appelons « Halloween » est en réalité seulement la dernière version – secolarizzata – d’une orthodoxe fête catholique, et le livre cherche à expliquer comme il est pu arriver qu’une tradition plurisecolare chrétienne ait pu devenir l’actuelle carnevalata en style horror. Nous disons d’abord que les origine du « phénomène » Halloween est toute américaine : cette Amérique où ils arrivèrent millions d’émigrés irlandais avec leurs profonde devozione pour les saints, un culte oltremodo fastidieux pour la culture dominante de dérivation puritana, qui dans sa actuelle version secolarizzata ont décidé d’écarter le sens catholique d’Ognissanti, en retenant dans le soi-disant Halloween j’attends lugubre de l’au-delà, avec les fantômes, les morts que levano du tombe, les âmes perdues qui tourmentent ceux qui en vie les apportèrent donnent : j’attends qu’il tente de s’exorciser avec les masques et les blagues. Évidemment les Vieux Continente ne pouvait pas rester à le long sans à d’adopter du nouveau « culte ». En effet nous voyons se répandre toujours plus de nous de Halloween avec son corteo d’articles plus ou moins de macabri – crânes, squelettes, sorcières – qui ne se proposent pas comme une forme de neopaganesimo, pas comme un culte esotérique, mais simplement comme une parodie de la religiosità chrétienne authentification, à des fins principalement consumistici : vendre un peu de produits des carnevaleschi en plus, (le soi-disant merchandising de Halloween) des masques, crânes, zucche, manteaux cappellacci et autre, nonchè tu embrasses publicitaires dans les films de l’horreur envoyés sur les réseaux télévisés. Halloween est proposé commercialement comme une fête jeune, amusant, différent, « trasgressiva » ; on nous déguise de fantôme, de sorcière ou zombie et il se danse dans les fêtes. Toutefois Halloween ne peut pas être considéré simplement un phénomène commercial ou un second Carnaval… Gulisano : « En effet : il est important connaître et savoir évaluer bien ses racines culturelles, et même les implications esotériques qui sont allées à des sovrapporsi et à monter ambigument cette répétition. Le 31 octobre en effet est devenu une donnée importante pour l’esoterismo dans les témoins duquel nous trouvons ces définitions : « Il tourne la Grande Sabba pour quatre fois à l’an… Halloween qui est peut-être la fête plus chère « ; « Samhain est le giorno plus » magique « que tout l’an, jour de l’an de tout le monde esotérique ». Le monde de l’occulte ainsi le définit : « elle est la fête plus importante de l’an pour les disciples de satana ». Donnée d’une importante répétition de la culture celtica d’abord et de celle chrétienne après est entrée ainsi à faire une partie du calendrier de l’occultismo. » Alors qu’on fait le 31 octobre ? Gulisano : À mon j’avertis se peut et on doit fêter. Le 1 novembre, qui fut le Jour de l’an celtico et ensuite Ognissanti, est une fête extraordinaire pour les chrétiens, et ne vaut pas peine offrir lu’à des ciarlatani et occultisti. Il ne faut pas craindre le Halloween mauvais, et pour ceci il faut le connaître bien. Halloween, en tout cas, ne peut pas s’ignorer, et maintenant il fait une partie du scènario de nos temps. Que faire donc ? Lui combattre puisqu’usage qui raye les chères traditions de mémoire et de recueillement autour du souvenir de nos chers qui ne sont plus que ce monde, affirme quelqu’un, que mine aux racines le principe chrétien de la communion des Saints, cioé du rapport et de la solidarieté de tous les fidèles en grâce de Dieu, vivante ou défunte qui soient. Des éducateurs et des familles devraient se mobiliser contre ces diseducazione du bon goûte, contre ces profanazione du mystère des mortes et de la vie après les mortes, mais il n’est pas facile aller contre-courant, défier les mode imperanti. Alors on peut faire fête à Halloween, en se rappellant ce que ce giorno ait signifié pour des siècles et qu’est-ce que veut encore aujourd’hui nous témoigner. Halloween doit être sauvée : il les doit être redonné tout son ancien signifié, en lui libérant de la dimension purement consumistica et commerciale et surtout en extirpant la patine d’occultismo sombre dont elle a été revêtue. On fait fête, donc, et on explique clairement qu’on fête les morts et les saints, en mode positive et même sympathique pour que les enfants soient éduqués à considérer les mortes comme évènement humain, naturelle, delaquelle on ne doive pas avoir de la peur.

gif du site:

http://www.maestramette.it/english_corner/halloween/index_hw.htm

la fête de Halloween - interview avec l'auteur d'un livre sur l'argue. dans sujets interessants aujourd'hui hallowen

 

Le cardinal Bertone dénonce la partialié du film sur Jean-Paul Ier per la RAI

28 octobre, 2006

du Zenith: 

Le cardinal Bertone dénonce la « partialité » du film sur Jean-Paul Ier diffusé par la RAI

ROME, Vendredi 27 octobre 2006 (ZENIT.org) – Le film « Le pape Luciani – le sourire de Dieu » sur la vie et la mort de Jean-Paul Ier, transmis les 23 et 24 octobre par la télévision italienne RAI Uno et vu par plus de dix millions de téléspectateurs, a suscité un véritable débat.Dans un entretien publié jeudi 26 octobre par le quotidien italien « Avvenire », le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d’Etat, a émis certaines critiques.Le cardinal Bertone a notamment démenti le fait que Jean-Paul Ier ait été contraire à l’encyclique Humanae Vitae, et déclaré sans fondement l’information selon laquelle sœur Lucie, la voyante de Fatima, aurait prédit au cardinal Albino Luciani qu’il serait devenu pape et que son pontificat aurait été très bref. Le secrétaire d’Etat déplore par ailleurs la manière « déformée » dont est présentée la Curie romaine et le fait que le film présenté en avant-première au pape Benoît XVI ait été une version réduite du film.A un moment donné, le film présente le cardinal Luciani qui conteste l’encyclique de Paul VI Humanae Vitae. Le cardinal Bertone affirme : « Il me semble que le film n’a pas souligné clairement le fait que le pape Luciani, bien que doux et humble, était aussi ‘fort dans la foi’, ‘ferme dans les principes’ et ‘fidèle à la tradition’. Pour cette raison, le temps consacré à ses soi-disant ouvertures sur des questions délicates de morale sexuelle, qui seraient de toute façon à dater avant l’encyclique Humanae Vitae qu’il a, que je sache, soutenue sans réserve, m’a semblé exagéré. A ce sujet, d’autres ont par ailleurs rappelé que le patriarche Luciani avait dissout la FUCI (Fédération Universitaire Catholique Italienne, ndlr) de Venise, car celle-ci s’était prononcée en faveur du ‘oui’ au référendum sur le divorce de 1974, s’opposant aux indications qui faisaient autorité de la Curie romaine. Cet épisode n’apparaît cependant pas dans le film ».

Pour ce qui concerne la Curie, décrite dans le film comme hostile et conspiratrice, le cardinal Bertone affirme : « Je comprends que dans tout bon film, il faille toujours opposer la figure du méchant ou des méchants à celle du bon (…). Et ainsi, parmi les méchants nous avons retrouvé l’immanquable archevêque Paul Marcinkus, quelques cardinaux et un peu toute la Curie ».

« Personnellement, j’ai été frappé par le portrait négatif – et injuste ! – qui a été fait du secrétaire d’Etat de l’époque, le cardinal Jean Villot, et de mon grand prédécesseur à Gênes, le cardinal Giuseppe Siri. Raconter la Curie romaine à l’époque du pape Luciani, comme un groupe d’ecclésiastiques qui n’auraient rien eu d’autre à faire que mettre des bâtons dans les roues au nouveau pape, m’a semblé injuste à l’égard de la Curie, de l’Eglise catholique tout entière et même du pape Luciani lui-même ».

Concernant la mort subite du pape Jean-Paul Ier, après à peine 33 jours de pontificat, l’image s’arrête sur la tasse de café comme pour laisser planer le doute, indiquant que c’est là que réside le secret de la mort prématurée du pape. A ce sujet, le cardinal Bertone déclare : « Ceci, franchement, m’a semblé une chute de style que l’on aurait pu nous épargner, tout en respectant la liberté d’expression artistique qui est et doit être garantie à tous. Lancer une allusion aussi lourde, comme s’il s’agissait d’un commentaire obligatoire, m’a semblé déplacé. Egalement parce qu’il n’existe aucun élément sérieux et sûr pouvant conduire à ce type de conclusion, comme l’a par ailleurs répété son frère (du pape Luciani, ndlr) Edoardo ».

L’intrigue du film se base en grande partie sur la rencontre à Coïmbre, entre le cardinal Luciani et sœur Lucie qui dans le film annonce au patriarche de Venise qu’il serait devenu pape et que son pontificat aurait été très bref.

Le cardinal Bertone – qui connaissait très bien sœur Lucie – affirme à ce sujet : « Il s’agit d’une thèse ancienne mais privée de fondement. Je me souviens très bien que le 9 décembre 2003 je me suis rendu à Coïmbre où j’ai célébré la messe pour la communauté des carmélites, et que j’ai eu l’occasion de parler quelques heures avec sœur Lucie. A cette occasion, j’ai évoqué avec elle les relations qu’elle avait eues avec Jean-Paul Ier. Je l’ai déjà dit et je le répète : sœur Lucie, désignant le banc où ils s’étaient assis et où ils avaient longuement parlé, me déclara que de sa part il n’y avait eu aucune prédiction concernant Albino Luciani. Elle s’était seulement exclamée, devant la communauté, après son départ : « S’il devenait pape, cela ne me déplairait pas ! ». Par ailleurs, Albino Luciani lui-même a rédigé un rapport de cette rencontre dans lequel il n’est fait aucune mention de telles prophéties.

Le frère de Jean-Paul Ier dénonce quant à lui, toujours dans les colonnes de « l’Avvenire » du 26 octobre, les soi-disant intrigues du Vatican contre le pape Luciani, qui ne sont, affirme-t-il, que des « stupidités ».

Le directeur du Centre Pape Luciani, Mgr Giorgio Lise, dénonce également le fait que le film sous-entende que la mort de Jean-Paul Ier n’ait pas été une mort naturelle. Il affirme que lorsque l’entourage du pape a découvert qu’il n’était plus en vie, « la tasse de café était encore pleine et c’est ce qui a surpris sœur Vincenza ».

Le directeur du Centre parle non seulement d’« interprétation forcée » mais de « déformation de la vérité historique ».

Concernant le secrétaire d’Etat de l’époque, Edoardo Luciani affirme : « Mon frère appréciait beaucoup le cardinal Villot. Il l’appréciait tant qu’il me l’a dit directement ». Il raconte que son frère « a prié presque jusqu’aux larmes pour que le cardinal Villot reste à son poste » et ne se retire pas dans un monastère en France.

Edoardo Luciani précise par ailleurs que contrairement à ce que le film lui fait dire, il n’est pas lui non plus contre l’encyclique Humanae Vitae : « J’ai dix enfants et je n’avais absolument rien contre notre Mère l’Eglise. Cette partie du film… ne correspond absolument pas à la réalité ».

La nièce de Jean-Paul Ier, Pia Luciani déplore quant à elle dans les colonnes du « Corriere della Sera » du 25 octobre, le fait que ni l’acteur qui joue le rôle du pape Luciani, ni le metteur en scène du film, n’ait pris contact avec elle ou avec son père.

Pape Jean-Paul I, image du:

http://www.globalgeografia.com/attualita/scheda_articolo.php?ID=47Le cardinal Bertone dénonce la partialié du film sur Jean-Paul Ier per la RAI dans sujets interessants aujourd'hui giovanni_paolo_I

Evangile du dimanche 29.10.06 et commentaire

28 octobre, 2006

du site Evangile aux Quotidien:

Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc 10,46-52.

Jésus et ses disciples arrivent à Jéricho. Et tandis que Jésus sortait de Jéricho avec ses disciples et une foule nombreuse, un mendiant aveugle, Bartimée, le fils de Timée, était assis au bord de la route.
Apprenant que c’était Jésus de Nazareth, il se mit à crier : « Jésus, fils de David, aie pitié de moi ! »
Beaucoup de gens l’interpellaient vivement pour le faire taire, mais il criait de plus belle : « Fils de David, aie pitié de moi ! »
Jésus s’arrête et dit : « Appelez-le. » On appelle donc l’aveugle, et on lui dit : « Confiance, lève-toi ; il t’appelle. »
L’aveugle jeta son manteau, bondit et courut vers Jésus.
Jésus lui dit : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? — Rabbouni, que je voie. »
Et Jésus lui dit : « Va, ta foi t’a sauvé. » Aussitôt l’homme se mit à voir, et il suivait Jésus sur la route.

———————————-

Jean Tauler (v. 1300-1361), dominicain à Strasbourg
Sermon 10 (trad. Cerf 1979, t.1, p. 38)

« Aussitôt l’homme se mit à voir, et il suivait Jésus sur la route »

« Je suis la lumière du monde » (Jn 8,12). Il est cette lumière qui donne leur éclat à toutes les lumières de la terre : aux lumières matérielles telles que le soleil, la lune, les étoiles et les sens physiques de l’homme, et aussi à la lumière spirituelle, à l’intelligence de l’homme, grâce à laquelle toutes les créatures doivent refluer vers leur origine. Sans ce reflux, ces lumières créées sont en elles-mêmes de vraies ténèbres, comparées à cette véritable lumière par essence, qui est une lumière pour le monde entier.Notre cher Seigneur nous dit : « Renonce à ta lumière qui est vraiment ténèbres comparée à ma lumière et qui m’est contraire, car je suis la vraie lumière et je veux, en échange de tes ténèbres, te donner ma lumière éternelle, afin qu’elle t’appartienne comme à moi-même et que tu aies, comme moi-même, mon être, ma vie, mon bonheur et ma joie. »Quel est donc le chemin le plus court qui conduit à la vraie lumière ? Voici ce chemin : se renoncer vraiment soi-même, aimer et n’avoir en vue que Dieu seul…, ne vouloir en aucune chose son intérêt propre mais désirer et rechercher seulement l’honneur et la gloire de Dieu, attendre tout immédiatement de Dieu et, sans aucun détour ni intermédiaire, lui rapporter toutes choses, d’où qu’elles viennent, afin qu’entre Dieu et nous il y ait un flux et un reflux tout à fait immédiats. Voilà le vrai, le droit chemin.

image du site:

http://www.maranatha.it/

Evangile du dimanche 29.10.06 et commentaire dans commentaire à la Sacrée Écriture pour le jour courant B30-w