Archive pour le 26 octobre, 2006

D’où vient le chapelet

26 octobre, 2006

du site:

http://www.christicity.com/chroniques/d_ou_vient_le_chapelet.asp  

D’où vient le chapelet
Christian Laffargue
Curé

C’était la coutume, au Moyen-âge, comme déjà chez les Romains pour les no les, de porter des couronnes de fleurs appelées chapels qui, plus tard, furent transformées en ces diadèmes d’or qui ceignaient le front des rois. Souveraine du Ciel et des âmes («, reine du Ciel» disent ses litanies), la Sainte Vierge a droit aux mêmes hommages ! Aussi, l’Eglise nous fait-elle reconnaître le titre de Marie comme reine du Saint Rosaire et nous exhorte-t-elle à lui offrir, comme fille du Père, Mère du Fils, Epouse du Saint-Esprit (cf. St Louiis-Marie Grignion de Montfort), un triple «», qui deviendra «». A la triple couronne de roses on donnera le nom de Rosaire.
Le chapelet est à la fois une prière vocale et une prière mentale (on contemple les mystères de la Foi). Mystères joyeux, lumineux (Cf.»Le Rosaire de la Vierge Marie», Lettre apostolique du Pape Jean-Paul II du 16 octobre 2002, n° 21), douloureux et glorieux dont les deux dernières dizaines évoquent l’Assomption et le Couronnement de la Vierge Marie au Ciel.
La première partie du «Je vous salue Marie» (l’Ave Maria) sont les paroles mêmes de l’Ange Gabriel à la Sainte Vierge (Luc 1). On l’appelle «salutation angélique».
La fête du Saint Rosaire, le 7 octobre, a été instituée par le Pape Saint PIE V pour commémorer la victoire de Lépante le dimanche 7 octobre 1571où la flotte chrétienne a repoussé et vaincu la flotte turque par laquelle l’Islam voulait envahir l’Europe chrétienne. C’est le Pape Clément XI qui l’étendit à l’Eglise universelle en action de grâces pour la victoire remportée par Charles VI sur les Sarrasins en 1716
Dans sa lettre apostolique sur le Rosaire, le Pape Jean-Paul II instituait une Année du Rosaire d’octobre 2002 à octobre 2003. Il n’entendait pas «mais plutôt unir et consolider les projets pastoraux des Eglises particulières» (n°3). «faut-écrivait-il– un christianisme qui se distingue avant tout dans l’art de la prière» (n°5). Et la première urgence était «’implorer de  
Dieu le don de la paix» après le terrible attentat du 11 septembre 2001 à New-York et la situation «la terre de Jésus», en Palestine (n°6).
Il rappelait les apparitions de Lourdes et de Fatima (le 13 octobre 1917, lors de la 6ème et dernière apparition, la Vierge Marie répond à Lucie qui la questionne : «suis Notre-Dame du Rosaire»). Le Pape Jean-Paul II cite les saints qui ont trouvé dans le Rosaire «voie authentique de sanctification» : St L M. de Montfort, St Padre Pio et Pietrelcina, le Bx Bartolo Longo. (n°8).
Le chapelet et le Rosaire (trois chapelets) ont pour but «contempler le Christ avec Marie (cf. chapitre I) en méditant «chemin ordinaire et douloureux de son humanité» (n°9) «à travers le cœur de celle qui fut la plus proche du Seigneur» (n°12).
Le Rosaire est aussi une prière contemplative. «Marie, on apprend à connaître le Christ (n°14), à se conformer au Christ avec Marie (n°17)».
«Rosaire est un résumé de l’Evangile» (chap. II, n° 18). Ne l’a-t-on pas appelé «’Evangile du pauvre» ? Après avoir rappelé l’Incarnation et la vie cachée de Jésus (mystères joyeux), avant de s’arrêter sur les souffrances de la Passion (mystères douloureux), puis sur le triomphe de la Résurrection (mystères glorieux), la méditation se tourne aussi vers quelques moments significatifs de la vie publique du Christ (mystères lumineux)» (n°19).
Les mystères joyeux sont déjà douloureux (n°20) :
Dans la Présentation de Jésus au Temple (4ème Mystère), le vieillard Siméon déclare à la Vierge Marie : «glaive vous percera l’âme» (Lc 2, 34-35). Dans le 5ème mystère (la perte et le recouvrement de Jésus au Temple), Joseph et Marie ne comprirent pas les paroles de Jésus («savez-vous pas que je dois être aux affaires de mon père ?» v.49-50).
Dans les mystères lumineux (n°21)
«c’est tout le mystère du Christ qui est lumière», Lui qui s’est dit «suis la lumière du monde» (Jn 8, 12) écrit le Pape Jean-Paul II. 
Il s’agit du Baptême du Christ dans les eaux du Jourdain, du premier miracle à Cana de Galilée (l’eau changée en vin, Jn 2, 1-12), l’annonce du Royaume de Dieu avec l’invitation à la conversion (Mc 1, 15), la Transfiguration du Christ sur le Mont Thabor (Mc 17, Mc 9, Lc 9) et l’institution de la Sainte Eucharistie le Jeudi-saint (Jn 13, 1-1 Co 11, 23-25).
Les mystères douloureux «le croyant à revivre la mort de Jésus en se mettant au pied de la croix, près de Marie pour pénétrer avec elle dans les profondeurs de l’amour de Dieu» (n°22).
Dans les mystères glorieux, «Rosaire nous invite à aller au-delà de l’obscurité de la Passion pour fixer notre regard sur la gloire du Christ dans la Résurrection». Les deux derniers mystères sont consacrés à Marie : l’Assomption et le Couronnement de la Sainte Vierge Marie au Ciel (n°23).
Le Rosaire «une méthode fondée sur la répétition. Loin d’^$etre une pratique aride et ennuyeuse, le chapelet est l’expression d’un amour qui ne se lasse pas de se tourner vers la personne aimée» (n°26).
On a bien dit «’amour se redit toujours et ne se répète jamais !».
«le mystère et regarder une image qui le représente, c’est camper un décor sur lequel se concentre l’attention». Le Pape cite la méthode des Exercices spirituels de St Ignace («composition de lieu» (n°29).
«centre de gravité de l’Ave Maria est le nom de Jésus (n°33) sans oublier «point d’arrivée de la contemplation chrétienne : le Gloria (il est recommandé de la chanter dans la récitation publique). Le Christ est en effet le chemin qui conduit au Père dans l’Esprit.» (n°34).
Le Rosaire débute par la récitation du Credo et peut se terminer par «splendide prière du Salve regina ou par les Litanies de Lorette ou «de la Sainte Vierge» (n°37). Pour sa «épartition dans le temps» (n°38) le Pape Jean Paul II rappelle l’usage courant : le lundi et je jeudi, les mystères joyeux ; le mardi et le vendredi, les mystères douloureux : le mercredi, le samedi et le dimanche  
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Benoît XVI salue les pèlerin suisse et le séminaire français de Rome

26 octobre, 2006

 du Zenith org. 

Benoît XVI salue les pèlerins suisses et le séminaire français de Rome

« A l’exemple de saint Paul, prenez le Christ pour modèle »

ROME, Mercredi 25 octobre 2006 (ZENIT.org) – A l’issue de sa catéchèse en français, sur l’apôtre Paul, Benoît XVI a salué les francophones, dont les pèlerins suisses, de Sion avec le cardinal Schwery, et le séminaire français de Rome.« Je salue cordialement les pèlerins francophones présents ce matin, en particulier le groupe de pèlerins de Sion, accompagné par Monsieur le Cardinal Henry Schwery, Evêque émérite de Sion, et la Communauté du Séminaire pontifical français de Rome, venue à l’occasion du cent-cinquantième anniversaire de son installation Via Santa Chiara », disait le pape.Il ajoutait cette invitation : « A l’exemple de saint Paul, prenez le Christ pour modèle: lui seul vous rendra capables d’annoncer avec audace la Bonne Nouvelle du salut! »Le seminaire français de Rome – link: http://www.seminairefrancaisderome.org/a en effet célébré en 2003-2004 les 150 ans de sa première installation à Rome, en 1853, grâce au P. Lannurien, dans les locaux de l’ancien collège irlandais. Il devait seulement ensuite s’installer non loin du Panthéon, rue Santa Chiara.La communauté du « Pontificio seminario Gallico », a participé lundi 23 octobre à la messe d’ouverture de l’année académique présidée par le cardinal préfet de la congrégation pour l’Education Catholique, Zénon Grocholewski, et à la rencontre qui a suivi avec Benoît XVI en la basilique Saint-Pierre, à l’occasion de la messe de rentrée des universités pontificales.Le jubilé a été l’occasion de grands travaux en particulier de la chapelle du séminaire – avec la découverte d’anciennes fresques du XIXe s. – et la restauration de l’orgue.La communauté a été reçue en audience par Jean-Paul II en 2003 pour ce jubilé. La chapelle, ornée de nouvelles mosaïques, a été inaugurée et le nouvel autel consacré par le cardinal Jean-Louis Tauran, le 24 mars 2004.Deux livres ont également été publiés, l’un sur le fondateur, le Père Lannurien, par le P. Roger Billy (Ed. Karthala) et un ouvrage sur les 150 ans du séminaire: un recueil d’articles, sous la direction des professeurs Levillain et Boutry, avec la participation de cardinaux, évêques, historiens et pères du séminaire, grâce à la coordination du recteur, le P. Yves-Marie Fradet (Ed. Karthala, collection « Mémoires d’Églises »).en ancienne photo de: Via di Santa Chiara, ou est le Seminaire française de Rome,

Benoît XVI salue les pèlerin suisse et le séminaire français de Rome dans Pape Benoit steclair

près, ou en continuant, il y a le Panteon, il y a pas très loin à gauche Place Navona, à gauche encore le sénat de la République et, près, l’Église Saint Luis de’ Français, église nationale française à Rome et la librairie Française; un peu lointain est l’ambassade de la France dans le très beau et ancien Immeuble « Farnese », (où il se déroule une partie de l’oeuvre « Tosca » de Puccini; je suis née voisine à ce petite Place de Sainte Chiara; que vous voyez: en revenant se trouve Large Argentine et une traverse en arrièr: rue Du Suaire où, je suis née, l’est un petite église où il se trouve une copie du suaire de Christ, elle est fermée souvent, je la trouvai pas il y a longtemps ouverte il y avait une célébration d’un groupe de Français mais pas touristes, peut-être l’Église a été confiée à une communauté ou je centre cultural français;

ou-dessous il-y-a la photo de le Palais « Farnese » ou est l’ambassade de France;plfarnese01 dans Pape Benoit