La catechesi de ce matin (par l’intérmediaire d’un traducteur on line)
je vous écris la traduction fait avec un traducteur on line du catechesi de ce matin à Saint Pietro, le Pape parle de San Paul, je l’ai prise de Korazym, le journal on line dit qu’aussi précédemment eux n’ont pas eu le texte, mais seul à 14 heures d’aujourd’hui, je vous copie le texte comme moi il du traducteur (Babelfish) et je le laisse, à des traductions bien fait, comme il est, il y a différentes fautes et « italianismi », mais je pense qu’il y fera plaire le lire également
Le teste intégral des catechesi
Chers frères et soeurs, nous avons conclu nos réflexions sur les douze Apôtres appelés directement de Jésus pendant sa vie terrena. Aujourd’hui nous entamons à approcher les figures d’autres personnages importants de l’Église primitiva. Même ils ont dépensé leur vie pour les Signore, pour l’Évangile et pour l’Église. Il s’agit d’hommes et même de femmes, qui, comme il écrit Luca dans le Livre des Actes, « ont voté leur vie au nom des Signore notre Jésus Christ » (15.26). Le premier de ceux-ci, appelé des Signore même, de René, à être même lui un vrai Apôtre, est sans doute Paolo de Tarse. Il grise comme étoile de première grandeur dans l’histoire de l’Église, et pas seulement de cette des origines. San Giovanni Crisostomo l’exalte comme personnage supérieur même à beaucoup à d’anges et archanges (cfr Panégyrique 7,3). Donnant Alighieri dans la Divine Commedia, en s’inspirant au récit de Luca dans les Actes (cfr 9,15), le définit simplement « vase d’élection » (Inf. 2,28), qui signifie : moyen prechoisi de Dieu. Autres l’ont appelé l’ »treizième Apôtre » – et réellement il insiste beaucoup d’être un vrai Apôtre, en étant appelé de René -, ou même « le premier après l’Unique ». Certes, après Jésus, il est le personnage des origines sur lesquelles nous sommes plus informés. En effet, nous possédons pas seulement le récit qui en fait Luca dans les Actes des Apôtres, mais même un groupe de Lettres qui proviennent directement de sa main et que sans intermediaires ils nous en révèlent la personnalité et la pensée. Luca nous informe que son nom originaire ère Saulo (cfr At 7.58 ; 8.1 etc), au contraire en hébreu Saul (cfr At 9,14.17 ; 22,7.13 ; 26,14), comme le roi Saul (cfr At 13,21), et il était un giudeo de la diaspora, en étant la ville de Tarse située entre l’Anatolia et la Syrie. Bien vite elle était allée à Gerusalemme pour étudier à fond la Loi mosaica aux pieds des grands Rabbì Gamaliele (cfr At 22,3). avait appris même un métier manuel et rude, le tarvail de tend (cfr At 18,3), qui en suite lui aurait permis de pourvoir personnellement à sa subsistance sans grever sur les Églises (cfr At 20.34 ; 1 Cor 4.12 ; 2 Cor 12.13-14). Il fut décisif pour lui connaître la comunnauté dont on professait des disciples de Jésus. D’il eux avait appris d’une nouvelle foi, – un nouveau « chemin », comme on disait – qu’il posait à son centre pas aussi bien la Loi de Dieu, combien plus plutôt la personne que Jésus, crocifisso et rené, lequel était maintenant relié la rémission des péchés. Comme giudeo zélé, il retenait ce message inacceptable, au contraire scandaleux, et il se sentit donc dans devoir persécuter les disciples de Christ même hors de Gerusalemme. Il fut vraiment sur la route de Damas, au début des ans ’30, qui Saulo, seconde ses mots, vinrent « ghermito de Christ » (Fil 3,12). Pendant que Luca recompte le fait avec dovizia de dite lui, – de comme la lumière de René il lu’a touché et a changé fondamentalement toute sa vie – il dans ses Lettres vont droit à l’essentiel et parlent pas seulement de vision (cfr 1 Cor 9,1), mais d’éclairage (cfr 2 Cor 4,6) et surtout de révélation et de vocation dans la rencontre avec le Renée (cfr Gal 1.15-16). En effet, on définira explicitement « apôtre pour vocation » (cfr Rm 1.1 ; 1 Cor 1,1) ou « apôtre pour volonté de Dieu » (2 Cor 1.1 ; Ef 1.1 ; Avec 1,1), comme souligner que sa conversion était pas le résultat de je développe de pensées, de réflexions, mais je proportione d’une intervention divine, d’une imprévisible grâce divine. Depuis lors, tout ce qui d’abord constituait pour lui une valeur divenne paradoxalement, en second lieu ses mots, perte et ordure (cfr Fil 3.7-10). Et de cet instant toutes ses énergies furent posées au service exclusif de Jésus Christ et de son Évangile. Maintenant le sien l’existence sera ce d’un Apôtre désireux de « se faire à tout à tous » (1 Cor 9,22) sans réserves. D’ici elle dérive pour nous une leçon très importante : ce qui compte est poser à centre de sa vie Jésus Christ, sicché notre identité soit marquée essenzialmente de la rencontre, de la communion avec Christ et avec son Mot. À sa lumière chaque autre valeur est récupérée et ensemble purifié d’eventuelles scories. Une autre fondamentale leçon offerte de Paolo est respire universel qui caractérise son apostolat. En sentant aigu le problème de l’accès des Gentils, c’est-à-dire des pagani, à Dieu, qui en Jésus Christ crocifisso et rené offre au salut à tous les hommes sans exceptions, dédia si même à rendre connu cet Évangile, littéralement « bonne nouvelle », c’est-à-dire annonce de grâce destinée à réconcilier l’uomo avec Dieu, avec si même et avec les autres. Du premier instant il avait arrive que celle-ci est une réalité qui ne concernait pas seulement les giudei ou un certain groupe d’hommes, mais qu’il avait une valeur universelle et concernait tous, parce que Dieu est le Dieu de tous. Point de départ pour le sien tu voyages fut l’Église d’Antiochia de Syrie, où pour la première fois l’Évangile fut annoncé aux Grecs et où même il fut frappé le nom de « chrétiens » (cfr At 11, 20.26), c’est-à-dire de croyants Christ. Là il visa d’abord sur Chypre et ensuite à plusieurs reprises sur les régions de l’Asia Minore (Pisidia, de Licaonia, de Galazia), ensuite sur ces de l’Europe (Macedonia, Grèce). Plus considérables elles furent les villes d’Efeso, de Filippi, de Tessalonica, Corinto, sans toutefois oublier Beréa, Atene et Mileto. Dans l’apostolat de Paolo ils ne manquèrent pas difficulté, qu’il affronta avec courage pour amore de Christ. Il même se rappelle d’avoir agi « dans les fatigues… dans les captivités… dans les coups… souvent en danger de mortes… : trois fois j’ai été battu avec les verghe, une fois j’ai été lapidé, trois fois ai fait naufrage… ; voyages innumerevoli, dangers des fleuves, dangers de briganti, dangers de mes compatriotes, dangers des pagani, dangers dans la ville, dangers dans le désert, dangers sur la mer, dangers de faux frères ; fatigue et tourment, veilles sans nombre, faim et soies, tu fréquentes des jeûnes, froid et de la nudité ; et outre tout ceci, ma hantise quotidienne, préoccupation pour toutes les Églises « (2 Cor 11.23-28). D’un passage de la Lettre aux Romains (cfr 15, 24.28) traspare son intention de se pousser jusqu’à l’Espagne, aux extrémités de l’Occident, pour annoncer l’Évangile partout, jusqu’aux frontières de la terre alors connue. Comment ne pas admirer un uomo ainsi ? Comment ne pas remercier les Signore pour nous avoir donné un Apôtre de cette taille ? Et ‘clair qu’il ne lui aurait pas été possible affronter des situations très difficiles et parfois désespérées, s’il n’y avait pas eu une raison de valeur absolue, face à laquelle aucune limite pouvait se retenir invalicabile. Pour Paolo, cette raison, nous le savons, est Jésus Christ, dont il écrit : « L’amore de Christ il nous pousse… parce que ceux qui vivent ne vivent plus pour si même, mais pour celui qui il est mort et risuscitato pour eux » (2 Cor 5.14-15), pour nous, pour tous. De fait, l’Apôtre rendra le suprême témoignage du sang sous l’empereur Nerone ici à Rome, où nous conservons et vénérons ses dépouillúx mortelles. Ainsi il écrivit d’lui Clément Romain, mien predecessore sur ce Siège Apostolique dans les derniers ans du siècle I° : « Pour la jalousie et la discorde Paolo fut obligé à nous montrer comme elle s’atteint le prix della patience… Après avoir prêché la justice à tout le monde, et après être joint jusqu’aux extrêmes frontières de l’Occident, soutint le martyre devant les gouvernantes ; ainsi il partit de ce monde et rejoignit le lieu saint, devenu avec cela le plus grand modèle de perseveranza « (aux Corinzi 5). Les Signore nous aides à mettre en pratique les esortazione laissée nous de l’Apôtre dans ses Lettres : « Fatevi mes imitatori, comme moi suis de Christ » (1 Cor 11,1).
Pope Benedict waves to the faithful during his weekly Wednesday general audience in Saint Peter’s Square at the Vatican October 25, 2006. REUTERS/Tony Gentile (VATICAN)
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