Archive pour le 9 octobre, 2006

Ne Pleure pas si tu m’aimes

9 octobre, 2006

Ne Pleure pas si tu m’aimes. 

La mort n’est rien

Je suis seulement passé de l’autre côté

Je suis moi-Tu es toi

Ce que nous étions l’un pour l’autre,

Nous le sommes toujours.

Donne-moi le nom

Que tu m’as toujours donné.

Parle-moi comme tu l’as toujours fait.

N’emploie pas un ton différent.

Ne prends pas un air solennel ou triste.

Continue à rire de ce qui

Nous faisait rire ensemble…

Prie, souris, pense à moi,

Prie avec moi.

Que mon nom soit prononcé à la

Maison comme il l’a toujours été.

Sans emphase d’aucune sorte,

Sans une trace d’ombre.

La vie signifie toujours

Ce qu’elle a toujours signifié.

Elle est ce qu’elle a toujours été.

Le fil n’est pas coupé.

Pourquoi serai-je hors de ta pensée ?

Simplement

Parce que je suis hors de ta vue ?

Je ne suis pas loin,

Juste de l’autre côté du chemin…

Tu vois, tout est bien…

Tu retrouveras mon cœur,

Tu en retrouveras les tendresses

Épurées.

Ensuite tes larmes

Et ne pleure pas si tu m’aimes. 

Saint Augustin

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Saint Denis de Paris

9 octobre, 2006

Saint Denis de Paris
et ses compagnons, Eleuthère et Rustique, martyrs à Paris (+ 258)

Le Patron de Paris et de la Seine-St Denis fut le premier évêque de la capitale de la France. Il meurt martyr vers 250 ou 270 et est enseveli là où s’élève la basilique de Saint Denis. C’est tout ce qu’on sait de lui avant le 9ème siècle. Le récit parle également de ses deux compagnons Eleuthère, le prêtre, et Rustique, le diacre, ainsi que du portement de tête du saint après sa décapitation depuis Montmartre jusqu’à St Denis. Les faits sont les suivants : Le nom de saint Denis apparaît vers 520 dans « la Vie de Sainte Geneviève » qui témoigne de la dévotion de la sainte envers l’évêque martyr, son père dans la foi. Elle obtint du clergé parisien l’érection d’une église sur sa tombe au « vicus Catulliacus » situé à huit kilomètres au nord de la Seine, l’actuelle basilique Saint Denys, rue Catullienne. Elle se rendait également et souvent dans une église de la Cité dont il était le titulaire. Un demi-siècle plus tard, le martyrologe hieronymien mentionne la déposition de saint Denis et de ses compagnons au 9 octobre et saint Venance Fortunat atteste la diffusion de son culte jusqu’à Bordeaux. Dans les mêmes années, l’historien Grégoire de Tours raconte que vers 250, le pape de Rome avait envoyé Denis en Gaule avec six autres évêques pour y porter l’Evangile. Celui-ci se fixa à Lutèce où il ne tarda pas à être mis à mort. On pense en effet qu’il subit le martyre sous la persécution de Dèce (250) ou de Dioclétien (258). Près de la basilique où reposait le premier évêque de Paris, une abbaye fut fondée au 7ème siècle et elle devint prestigieuse grâce aux largesses royales depuis Dagonert. Elle contribua au rayonnement de son saint patron en le dotant d’une merveilleuse légende. A partir de 835, Hilduin, abbé du monastère, se mit en effet à propager en Occident un récit selon lequel Denis de Paris ne ferait qu’un même personnage avec Denys l’Aréopagite, converti par saint Paul. Ce Denys l’Aréopagite serait lui-même l’auteur des célébres ouvrages de théologie attribués à Denys le Mystique. L’obscur et courageux fondateur de l’Eglise de Paris devenait, ainsi et pour des siècles, un grand de la sainteté.

Le plus chers voeux à toute ceux qui s’appellent Denis

9 octobre, 2006

les plus chers voeux à toutes ceux qui s’appellent Denis, je connais un Français, un ami qu’il s’appelle Denis et je me suis ainsi rappelée de faire les voeux à tous, en Italie le nom n’est pas très diffus, je ne l’ai pas ou mieux entendu jamais, mais en France je les crois, encore voeux

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decapitation de Saint Denis

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Miniatura francese del 1250: San Dionigi in carcere riceve la Comunione da Gesù