Archive pour le 23 juin, 2006

un poesie pour Pape Benoit

23 juin, 2006

 un homme  vêtu de blanc marche 

« Arbeit macht frei »

et un homme vêtu de blanc marche

seul, douleur, politesse du coeur

le temps passe vite

les heures, les siècles, l’éternité

 vivant, l’homme vêtu de blanc est arrivé à Dieu

et avec lui les temps changent

une nouvelle saison arrive

après l’aridité et  la pluie,

le soleil, la lumière

un arc-en-ciel signe du passage

sur une terre nouvelle

nous vivons, éblouis, un temps nouveau

Gabriella (moi)

quelque chose du livre que donne le titre a ce Blog

23 juin, 2006

je desire vous écrire quelque chose du livre que donne le titre a ce Blog:

du chapitre Ier du livre « Dieu nous et proche »

Dieu avec nou et parmi nous

le débout

« Le Symbole de Nicéee-Constantinople est, comme toute le propositions de la foi de l’Église primitive, fondamentalment un profession de foi en Dieu Trinité. Dans son contenu, il est esséntialment adehésion au Dieu vivant, notre Seigneur en qui notre vie trouve son origine et à qui elle retourne. Il est une profession de foi en Dieu. Mais qu’est-ce que cela signifie de dire de Dieu qu’il est vivant? Cela veut dire que ce Dieu n’est pas une conclusione de nostre pensée que nous proposerions avec la certitude de notre intelligense et de notre comprénsion.

Si la signification se réduisait a cela, ce Dieu ne serait qu’une pensée d’homme et toute tentative de se tourner vers lui pourrait bien être un tâtonnement plein d’esperance et d’atente, mais conduirait dans l’indéfini. Parler du Dieu vivant signifie: ce Dieu se révèle à nous; de son éternité il regarde notre temps et il crée des rapports avec nous. Il s’est lui-même et ainsi il se tient comme notre Seigneur devant nous, au dessus de nous e au milieu de nous. Cette auto-révélation de Dieu – grâce à laquelle il n’est pas notre pensée, mais notre Seigneur – constitue à juste titre le centre du symbole de la foi; la profession de foi en l’Histoire divine au milieu de l’Histoire humaine ne sort pas de la simplicité de la profession du foi en Dieu, mais elle en est la condition intrinséque. C’est pour-quoi l’adhésion à Jésus-Christ est le coeur de toute profession de foi. En prononçant cette phrase, nous fléchisson les genous puisqu’à cet entroit le Ciel, le voile qui dissimule le Dieu caché, est déchiré et le mystère nous touche immédiatement. Ce Dieu lointain devien notre Dieu, devient – Dieu avec nous> (Mt 1,23)… »